Les premières couvs du Livre de poche

[Mélanie]

C'est assez récant je pense je dirais avec la sortie de Neverwhere de Gaiman.

En France, oui. Il me semble que le terme existait en anglais bien avant ça, mais je peux me tromper.

[PEREKAAN]

En tout cas, je ne trouve pas que l'étiquette fantasy urbaine apporte grand chose au genre, fantastique, c'était si bien...

[Mélanie]

En tout cas, je ne trouve pas que l'étiquette fantasy urbaine apporte grand chose au genre, fantastique, c'était si bien...

Une question de nuances, surtout. Je n'associe pas les mêmes thèmes, les mêmes ambiances à chacune de ces deux étiquettes, même si je connais encore assez peu la fantasy urbaine.

[Papageno]

Si je comprend bien ce serait en sous-genre du fantastique? mais la, j'avoue avoir du mal à cerner, je suis un peu comme Perekaan, cela me paraît être du fantastique légèrement mâtiner de SF,
A part «Neverwhere» ou le récent «Perdido Street Station» c'est quoi les autres? et ne pourrait-on pas y ranger aussi des livres plus anciens comme le «Notre dame des ténébres» de Fritz Leiber ou "Les Rats" de James Herbert par exemple ?

[PEREKAAN]

Non Papageno, pas matiné de sf, plutôt saupoudré de fantasy, genre lutin, fées... etc


Les rats de James Herbert ne joue pas dans ce registre, plutôt dans la catégorie horreur, même si au départ l'idée d'un rat mutant est fantastico sf.

Tiens en parlant de James Herbert, il a touché à tout, puisqu'il a écrit une uchronie !

bon bref, Mélanie parle d'ambiance, je pense qu'elle veut dire un travail forcé au niveau du style, c'est bien ça ?

Jess, on est pas avancés...

[Mélanie]

bon bref, Mélanie parle d'ambiance, je pense qu'elle veut dire un travail forcé au niveau du style, c'est bien ça ?

Non, je voulais dire que, pour schématiser grossièrement, là où le fantastique joue plutôt sur la peur, l'angoisse, le dérapage, j'ai une image de la fantasy urbaine comme d'un genre où les éléments fantastiques se mêlent à notre monde de manière moins conflictuelle, plus en demi-teinte. L'auteur auquel je pense en premier quand j'entends parler de fantasy urbaine, c'est Charles De Lint, pour te donner une idée.

Et je ne classerais pas "Perdido Street Station" en fantasy urbaine, vu que c'est pour moi de la fantasy tout court, car situé dans un monde qui n'est pas le nôtre. Pour te donner d'autres exemples, je ne sais pas trop... En France, l'Oxymore en a pas mal publié, que ce soit dans les anthos Emblèmes, dans l'antho Traverses" ou le recueil "Musiques de la frontière" de Léa Silhol. A part ça, je ne m'y connais pas assez pour citer beaucoup plus de titres.

[rmd]

A part «Neverwhere» ou le récent «Perdido Street Station» c'est quoi les autres?

On pourrait y mettre "faerie hacker" de Johan Eliot et peut-etre "l'ivresse des providers" de catherine dufour.

[Nick_Holmes]

En fantasy urbaine on peut rajouter :

Le dernier Magicien

La nuit du prédateur

les 2 de M. Lindholm.

@+,
NicK.

[Papageno]

Merci bien pour ces précisions. Je vois maintenant un peu mieux de quoi il s'agit.

[jlavadou]

et peut-etre "l'ivresse des providers" de catherine dufour.

Ah non, ça c'est de la cyber fantasy. J'ai une dédicace de Catherine Dufour me désignant officiellement inventeur de ce terme

[Eric]

Wolôtrekomanyslajou !

[jerome]

Des nouvelles couvs du Livre de Poche Fantasy :

[jlavadou]

Pour le Pevel, je préfère nettement la couverture de l'édition grand format au Pré aux clercs...

[Nick_Holmes]

J'aime bien le style... Mais je n'achèterai pas quand même.

[kibu]

Un conseil !
Fuyez L'enfant de la prophétie de J. V. Jones !
C'est une merde crapoteuse ce roman.
Même Henri Loevenbruck fait figure de génie à côté.

Désolé, il n'y a pas d'autres mots.

PS : Eh ben. Les couvertures ne s'améliorent pas.