Parution avril Le Diable Vauvert
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Parution avril Le Diable Vauvert
En avril paraîtra Ferrailleurs des mers, le nouveau roman de Paolo Bacigalupi.
Fin du XXIe siècle, il n’y a plus de pétrole, la mondialisation est un vieux souvenir et la plupart des États-Unis un pays du tiers-monde. Dans un bidonville côtier de Louisiane, Nailer, un jeune ferrailleur, dépouille avec d’autres enfants et adolescents les carcasses de vieux pétroliers. Le précieux cuivre récupéré dans les câblages électriques au péril de leur vie leur permettent à peine de se nourrir. Un jour, après une tempête dévastatrice, Nailer découvre un bateau ultramoderne qui s’est fracassé contre les rochers. Le bateau renferme une quantité phénoménale de matériaux rares, d’objets précieux, de produits luxueux et une jeune fille en très mauvaise posture. Nailer se retrouve face à un dilemme. D’un côté, pour récupérer une partie de ce trésor et en tirer de quoi vivre à l’aise parmi les siens, il doit sacrifier la jeune fille. De l’autre, l’inconnue est aussi belle que riche et lui promet une vie encore bien meilleure, faite d’aventures maritimes dont il rêve depuis longtemps. Passionnant de bout en bout, racontant avec réalisme les violences sociales, Ferrailleurs des mers connaît déjà une suite avec The Drowned Cities, à paraître en France en novembre 2013. Dans ses fictions, Paolo Bacigalupi développe différents aspect de l’ère post-pétrole et nous fait découvrir un univers saisissant, par la lucidité et le réalisme de sa vision de notre avenir. Il ajoute, dans ce premier roman jeunes adultes, la dimension du roman d’initiation, qui aborde la construction émotionnelle d’un adolescent à travers des questions existentielles très contemporaines (violence, séparation et abandon, trahison, destin et survie, amour et amitié, idéal) qui renouvellent là encore le genre ! Un grand roman, finaliste du National Book award, la distinction littéraire la plus prestigieuse aux États-Unis !
Fin du XXIe siècle, il n’y a plus de pétrole, la mondialisation est un vieux souvenir et la plupart des États-Unis un pays du tiers-monde. Dans un bidonville côtier de Louisiane, Nailer, un jeune ferrailleur, dépouille avec d’autres enfants et adolescents les carcasses de vieux pétroliers. Le précieux cuivre récupéré dans les câblages électriques au péril de leur vie leur permettent à peine de se nourrir. Un jour, après une tempête dévastatrice, Nailer découvre un bateau ultramoderne qui s’est fracassé contre les rochers. Le bateau renferme une quantité phénoménale de matériaux rares, d’objets précieux, de produits luxueux et une jeune fille en très mauvaise posture. Nailer se retrouve face à un dilemme. D’un côté, pour récupérer une partie de ce trésor et en tirer de quoi vivre à l’aise parmi les siens, il doit sacrifier la jeune fille. De l’autre, l’inconnue est aussi belle que riche et lui promet une vie encore bien meilleure, faite d’aventures maritimes dont il rêve depuis longtemps. Passionnant de bout en bout, racontant avec réalisme les violences sociales, Ferrailleurs des mers connaît déjà une suite avec The Drowned Cities, à paraître en France en novembre 2013. Dans ses fictions, Paolo Bacigalupi développe différents aspect de l’ère post-pétrole et nous fait découvrir un univers saisissant, par la lucidité et le réalisme de sa vision de notre avenir. Il ajoute, dans ce premier roman jeunes adultes, la dimension du roman d’initiation, qui aborde la construction émotionnelle d’un adolescent à travers des questions existentielles très contemporaines (violence, séparation et abandon, trahison, destin et survie, amour et amitié, idéal) qui renouvellent là encore le genre ! Un grand roman, finaliste du National Book award, la distinction littéraire la plus prestigieuse aux États-Unis !
- bormandg
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Je sais, c'est à côté; mais quand je lis une aberration telle que "la plupart des Etats-Unis" (la faute à la 4° de couv, pas à ActuSF)... je ne peux pas aller plus loin. Je sens que je vais commander la VO....
Modifié en dernier par bormandg le mar. avr. 02, 2013 9:13 pm, modifié 1 fois.
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
- bormandg
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Ce genre de co(q)uilles laisse présager une trahison digne de Google translateur à l'intérieur.Hoêl a écrit :Pas d'importance les coquilles , je l'veux .
Bon, je sais, pas souvent au Diable.... Mais tu connais ma citation: a miss is worse than a mile....
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Pour clarifier: Georges a écrit "la plupart des Eats-Unis".
=> la faute à "Eats" est une faute de frappe de Georges ou c'est la coquille dénoncée ?
=> la faute de français consistant à accoler "la plupart" au nom propre "Etats-Unis", bien différent de "Etats unis", me choque bien plus, est-ce que c'est bien de cela que parle Georges ?
Personnellement ça me fait bizarre aussi... (la 2e, pas la première) mais je ne suis pas sûr que l'écriture de la 4e de couv' soit imputable au traducteur, si ?
=> la faute à "Eats" est une faute de frappe de Georges ou c'est la coquille dénoncée ?
=> la faute de français consistant à accoler "la plupart" au nom propre "Etats-Unis", bien différent de "Etats unis", me choque bien plus, est-ce que c'est bien de cela que parle Georges ?
Personnellement ça me fait bizarre aussi... (la 2e, pas la première) mais je ne suis pas sûr que l'écriture de la 4e de couv' soit imputable au traducteur, si ?
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"Il aura fallu des millions d'années à l'espèce humaine pour descendre des arbres et seulement dix de plus pour se mettre en vitrine." R. Powers
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- bormandg
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Normalement non, heureusement. D'autant que la traduction est probablement due à Sara Doke, et ne devrait donc pas comporter ce genre d'aberration (aggravée dans la suite de la phrase avec un "pays du tiers monde" au singulier, non?). Ceci étant, si je suis tellement énervé que je ne vois même pas que j'ai rajouté une fot de frapp, c'est signe que j'étais vraiment choqué.Sylvaner a écrit :Pour clarifier: Georges a écrit "la plupart des Eats-Unis".
=> la faute à "Eats" est une faute de frappe de Georges ou c'est la coquille dénoncée ?
=> la faute de français consistant à accoler "la plupart" au nom propre "Etats-Unis", bien différent de "Etats unis", me choque bien plus, est-ce que c'est bien de cela que parle Georges ?
Personnellement ça me fait bizarre aussi... (la 2e, pas la première) mais je ne suis pas sûr que l'écriture de la 4e de couv' soit imputable au traducteur, si ?
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."