Page 1 sur 3
Critic, parution octobre
Posté : jeu. sept. 26, 2013 8:36 am
par jerome
Les éditions Critic publient un gros Space Opera en octobre :
Dominium mundi de François Baranger.
Le résumé et la couverture : (et
le trailer)
2202. Né des cendres d’une conflagration planétaire, l’Empire Chrétien Moderne règne sur une Terre ravagée et irradiée. Urbain IX, pape tout puissant, contraint les populations à vivre selon un mode de vie médiéval, restaurant ainsi le Dominium Mundi. Sous son impulsion, un vaisseau colonisateur est envoyé vers Alpha du Centaure, dans l’espoir d’y trouver de nouveaux territoires pour l’humanité. Lorsque les passagers abordent une planète et son peuple, les Atamides, le choc est grand. Mais ce n’est rien en comparaison d’une découverte encore plus bouleversante : le véritable tombeau du Christ ! Guidés par leur foi inébranlable, les missionnaires tentent de s’en emparer, en vain. Les indigènes les massacrent. Sur Terre, la nouvelle se répand comme une traînée de poudre. Deux ans plus tard Urbain IX achève d’armer un gigantesque vaisseau, le St-Michel, capable d’abriter un million d’hommes. Pour Tancrède de Tarente, le Méta-guerrier héros des champs de bataille, et Albéric Villejust, le génie de l’Infocosme enrôlé de force, débutera une Croisade sanglante vers une nouvelle Jérusalem… Les événements feront-ils bégayer l’Histoire ?

Posté : jeu. sept. 26, 2013 10:47 am
par Herbefol
Celui là est sur ma liste de futurs achats depuis des mois.

Posté : jeu. sept. 26, 2013 12:58 pm
par Pontiac
Herbefol a écrit :Celui là est sur ma liste de futurs achats depuis des mois.

Pas moi, mais il m'intéresse beaucoup.

Posté : jeu. sept. 26, 2013 4:13 pm
par Bruno
Et, si je me souviens de ce que me disait Éric Marcelin à Saint-Malo, c'est un _très_ gros roman.
Posté : jeu. sept. 26, 2013 4:27 pm
par Herbefol
Bruno a écrit :Et, si je me souviens de ce que me disait Éric Marcelin à Saint-Malo, c'est un _très_ gros roman.
Oui, c'est pour ça qui a finalement été divisé en deux volumes.

Posté : jeu. sept. 26, 2013 5:32 pm
par Simatural
Tout à fait.
Le premier tome dépasse les 600 pages et le second (parution en mars prochain) devrait être plus gros encore.
Simon
Posté : ven. sept. 27, 2013 4:09 am
par yogo
C'est pour çà que j'attends qu'il paraisse en numérique, ca sera moins lourd (et moins cher !)
Posté : ven. sept. 27, 2013 7:54 am
par bormandg
yogo a écrit :C'est pour çà que j'attends qu'il paraisse en numérique, ca sera moins lourd (et moins cher !)
D'une certaine façon, tu justifies totalement le maintien de prix élevés du numérique, sans lesquels l'auteur d'un livre vendu en numérique pourra crever de faim... Même si CERTAINS frais disparaissent (ceux de papier; pour les frais de distribution, ils restent là, la chaine du livre numérique est rarement plus courte que celle du livre papier à l'étape impression près).
Posté : sam. sept. 28, 2013 8:33 pm
par yogo
bormandg a écrit :yogo a écrit :C'est pour çà que j'attends qu'il paraisse en numérique, ca sera moins lourd (et moins cher !)
D'une certaine façon, tu justifies totalement le maintien de prix élevés du numérique, sans lesquels l'auteur d'un livre vendu en numérique pourra crever de faim... Même si CERTAINS frais disparaissent (ceux de papier; pour les frais de distribution, ils restent là, la chaine du livre numérique est rarement plus courte que celle du livre papier à l'étape impression près).
Pas tout a fait d'accord sur la comparaison de la chaine du livre. Transport et pilon sont surement couteux et ils n'ont pas leur équivalent en numérique !
10€ un livre numérique je prends (sans DRM bien sur) - plus de 20€ un livre papier, je prends pas ! Reste à savoir combien gagne l'auteur sur chacun de ces 2 supports ?
Posté : dim. sept. 29, 2013 10:38 am
par bormandg
Bon, je sais que c'est plus compliqué; d'un côtéles prix que tu proposes se tiennent, de l'autre l'auteur devrait recevoir à peu près le même montant dans les deux cas, si les éditeurs étaient honnêtes; mais, surtout depuis la loi de confiscation du 31 mars 2012 et le décret d'aggravation de mars 2013, on en est loin...
Posté : dim. sept. 29, 2013 10:42 am
par justi
yogo a écrit :bormandg a écrit :yogo a écrit :C'est pour çà que j'attends qu'il paraisse en numérique, ca sera moins lourd (et moins cher !)
D'une certaine façon, tu justifies totalement le maintien de prix élevés du numérique, sans lesquels l'auteur d'un livre vendu en numérique pourra crever de faim... Même si CERTAINS frais disparaissent (ceux de papier; pour les frais de distribution, ils restent là, la chaine du livre numérique est rarement plus courte que celle du livre papier à l'étape impression près).
Pas tout a fait d'accord sur la comparaison de la chaine du livre. Transport et pilon sont surement couteux et ils n'ont pas leur équivalent en numérique !
10€ un livre numérique je prends (sans DRM bien sur) - plus de 20€ un livre papier, je prends pas ! Reste à savoir combien gagne l'auteur sur chacun de ces 2 supports ?
Quand je pense aux incroyables publications numériques qui nous sont offertes gratuitement par les anglo-saxons, je ne peux m'empêcher de penser que l'édition numérique francophone fait tout à l'envers ou presque.
Par exemple, des magazines d'une qualité exceptionnelle proposant des nouvelles inédites (
Beneath Ceaseless Skies,
Clarkesworld,
Lightspeed,...) sont disponibles gratuitement online, des romans importants (
Osama,
The lives of Tao,...) ont été rendus disponibles gratuitement par leurs éditeurs durant quelques jours...
Alors, certes, le marché et le modèle économique ne sont pas les mêmes, mais je ne peux m'empêcher de regretter la frilosité de nos éditeurs à nous. Quel est l'intérêt de payer une copie numérique quasiment aussi cher qu'une version papier ? Cela n'invite pas les lecteurs à franchir le pas de l'achat et représente plus qu'un manque à gagner pour l'éditeur. A mes yeux, cela ressemble fort à une situation perdant/perdant...
La révolution numérique n'est pas encore passée par la Gaule !
Posté : dim. sept. 29, 2013 11:39 am
par bormandg
La publication numérique offerte gratuitement n'est envisageable que quand l'éditeur et l'auteur ont assuré un minimum de revenu. Parce que si elle doit aboutir à ce que tous deux travaillent sans gagner d'argent.....
La gratuité pendant une période limitée à titre promotionnel est un risque non négligeable. Le livre se vendra-t-il après?
Posté : dim. sept. 29, 2013 11:51 am
par justi
désolé, doublon
Posté : dim. sept. 29, 2013 11:52 am
par justi
bormandg a écrit :La publication numérique offerte gratuitement n'est envisageable que quand l'éditeur et l'auteur ont assuré un minimum de revenu. Parce que si elle doit aboutir à ce que tous deux travaillent sans gagner d'argent.....
En ce qui concerne les magazines, ce n'est pas le cas. La publication est gratuite de base ! Et les auteurs sont payés et les zines reconnus par la SFWA. Les dons, souscriptions et rééditions en version papier maintiennent la publication financièrement à flot.
bormandg a écrit :La gratuité pendant une période limitée à titre promotionnel est un risque non négligeable. Le livre se vendra-t-il après?
La gratuité pendant une période limitée à titre promotionnel est un risque non négligeable. Le livre bénéficiera-t-il d'une telle promotion et d'un tel bouche à oreille qu'il s'en vendra plus d'exemplaires, voire même sera un succès inespéré ?
Pourquoi toujours voir les choses de manière négative ?
Cela me rappelle la remarque de Neil Gaiman sur la publication de ses romans en Russie. Après une première édition, les ventes ne décollaient pas. Puis, les "pirates" ont mis ses bouquins gratuitement online. Et les ventes (les vraies) ont connu un boom substantiel suite à cette mise à disposition.
Alors, certes, ici on a affaire à des pirates. Mais si les éditeurs avaient pris ce risque eux-mêmes, le résultat aurait également pu être significatif.
Encore une fois, je pointe le négativisme, la frilosité et le manque de prise de risques de nombre d'ésiteurs francophones.
Posté : dim. sept. 29, 2013 1:54 pm
par Herbefol
Parce qu'en France la partie diffusion/distribution du livre papier est détenu par les principales maisons d'édition, qui n'ont donc pas d'intérêt à plomber une partie de leurs revenus ?