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C'est le sujet d'un article en anglais intitulé : Collecting Philip K. Dick: Science Fiction’s Most Powerful Gateway Drug

Arf.
Chuis trop nul en anglais pour lire ça, mais j'en doute un peu quand même...

Qui n'a pas ressenti l'incontournable envie de se noyer dans l'alcool ou d'allumer un gros pétard après un Egan, un Banks, un Brunner, un Huxley, voire certains Andrevon ou Ligny ou Ayerdhal ?
(À moins que ce ne soit après un Priest, un Tchiang, un Strougatski, un Vonarburg ou un Butler ?)
(Ou un autre, hein ? Chacun sa came...)

À moins de considérer que la SF est « hors du monde », ce qui, à mon sens, est le souhait opposé à celui des auteurs (de SF ou pas, d'ailleurs).

(À la louche, il dit quoi et de qui, cet article ?)

(J'ai fini, vous pouvez reprendre une activité normale.)

Ah ah, mélangeons les deux, la science fiction et la drogue

jerome a écrit :Ah ah, mélangeons les deux, la science fiction et la drogue

Avec un peu de Soma ? un zeste d'Epice assaisonné de jaspé ? et rêver de Gloire ?

ça ferait presque une idée d'article tout ça : "droguez vous avec la science fiction !". Et on liste tout ce qui explose la tête dans les récits de SF...

La SF pour détourner les jeunes de la drogue. Quand je le disais il y a bien quinze ans sur SF Franco (ça nous rajeunit pas), on se foutait de ma gueule.

Fabien Lyraud a écrit :La SF pour détourner les jeunes de la drogue.

Ben, si tu leur proposes Dick, il se peut que ce soit contre-productif...

Sinon, quelqu'un l'a lu, cet article ?