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Laurent Genefort est en interview dans numéro 11 de Khimaira. Il évoque longuement ses projets.
Il travaille en ce moment sur un roman. Il a puisé son inspiration d'une exposition d'architecture d'avant garde qui a eu lieu il y a un an. Elle avait déjà donné naissance à une nouvelle partue dans Le Monde 2. D'ailleurs il précise que Bruce Sterling prépare lui aussi un roman à partir de l'expo.

Laurent Genefort a aussi une uchronie en cours pour la jeunesse et un almanach de fantasy.

Je vous le lien du site du magazine : http://www.khimaira-magazine.com

Pauvre Laurent, interviewé par ce canard de merde…

Roland C. Wagner a écrit :Pauvre Laurent, interviewé par ce canard de merde…

bah ils ont fait amende honorable sur la chronique du Baxter et ils ont quand même de bons dossiers. Et puis ils ont le mérite d'essayer l'aventure en kiosque...

jerome a écrit :bah ils ont fait amende honorable sur la chronique du Baxter

Ben pas vraiment.

Bon, je vais prendre mon train.

Ils ont aussi le mérite de me faire beaucoup rire.

jerome a écrit :

Roland C. Wagner a écrit :Pauvre Laurent, interviewé par ce canard de merde…

bah ils ont fait amende honorable sur la chronique du Baxter et ils ont quand même de bons dossiers. Et puis ils ont le mérite d'essayer l'aventure en kiosque...

ils ont un numéro sur deux d'achetable, quand on me donne l'argent pour l'acheter encore. Sinon c'est hors de question !!

Laurent Genefort publie dans les prochains jours chez Bragelonne Hordes.

Il a eu la gentillesse de nous envoyer un petit résumé afin que nous en sachions plus sur ce nouveau cycle :

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LE CYCLE DES HORDES

Le cycle des Hordes se compose de trois volets composant un unique roman de fantasy sombre et violente : L’Ascension du Serpent, Le Vol de l’Aigle et Les Crocs du Tigre. Il relate principalement l’histoire de la horde du Serpent et celle de son ennemie jurée, la horde de l’Aigle… et suit le destin de ses deux capitaines, Audric et Marween, dont la lutte modèlera le destin du monde.

L’UNIVERS DES HORDES
Le monde est un patchwork de domaines seigneuriaux se livrant une guerre perpétuelle, un univers médiéval dominé par des ducs et des comtes. Ceux-ci habitent des forteresses littéralement imprenables : des skambahs, les Arbres de Vie des temps anciens à partir desquels toute vie est née. En mourant, les skambahs se sont pétrifiés et les premiers seigneurs y ont élu domicile, creusant leur château dans les souches dont le bois est devenu inattaquable en se pétrifiant. C’est pourquoi les conflits se règlent à l’extérieur, sur des champs de bataille. Les soldats seigneuriaux s’y affrontent – ainsi que les compagnies de mercenaires, ou hordes. Cette multitude de petits conflits a engendré un équilibre qui dure depuis des temps immémoriaux. Dirigées par des capitaines, les hordes comptent de quelques centaines à plusieurs milliers de mercenaires. Elles portent toutes un nom d’animal fétiche, que les mercenaires se tatouent sur la peau. Elles se divisent en escouades, commandées par des lieutenants. Les hordes ne sont pas assujetties aux seigneurs ; très mobiles, elles peuvent passer d’un maître à l’autre selon les opportunités – c’est pourquoi elles constituent un élément essentiel de cet équilibre.
Il existe quelques animaux exotiques, surtout hostiles : les taurochs, sortes de chars blindés vivants ; les scorpions-rats (comme leur nom l’indique) ; les woorms, terrifiants vers souterrains…
La magie est essentiellement au service de la guerre. Les seigneurs disposent de puissants sorciers censés les mettre à l’abri du danger. Chaque horde dispose d’une augure : de leurs visions dépendent – parfois – l’issue d’une bataille. La magie a également produit des rakinns, hybrides d’hommes et d’animaux, vivant en tribus ou solitaires.

L’ASCENSION DU SERPENT
Sur un champ de bataille, Audric, capitaine de la horde du Serpent, sauve la vie de Marween, un jeune paysan molesté par des soldats. Celui-ci en profite pour s’engager dans la horde, où il ne tarde pas à faire ses preuves. Le garçon est intrigué par le bras d’Audric, toujours revêtu d’un brassard en acier articulé qui lui permet de manier une épée que nul ne peut seulement soulever. On le surnomme le « fléau du démon », et l’on murmure qu’il a conclu un pacte démoniaque pour obtenir cette force surhumaine. Audric néglige ces rumeurs, tout comme il ne tient pas compte des mises en garde d’Umiade, son augure personnel, à l’encontre de Marween.
Après plusieurs succès qui hissent le Serpent au premier plan, le duc Coresh engage la horde pour une mission extraordinaire en pays ennemi : enlever une augure légendaire, qui, dit-on, est capable non seulement de prédire l’avenir, mais de le modifier. Celui qui l’obtiendra dominera le monde… mais n’est-ce pas justement le but caché de Marween ?"

Les éditions Le Bélial vont publier le prochain roman SF de Laurent Genefort, intitulé Mémoria en 2008.

C'est un pur roman SF, l'histoire d'un tueur à gage qui possède la faculté, grâce à un artefact Vangk, d'implanter l'entièreté de sa personnalité dans le cerveau de tout être humain puis d'en prendre le contrôle, en s'accaparant sa mémoire. Une manière de vampire psychique futuriste, en somme, potentiellement immortel. La couverture sera signée Manchu.

jerome a écrit :Les éditions Le Bélial vont publier le prochain roman SF de Laurent Genefort, intitulé Mémoria en 2008.

Mémoires mortes de C. Dufour et maintenant Mémoria, tous les deux au Bélial, il n'y a que moi que cela interpelle (dans quel sens j'en sais rien, mais le fait est là)

Charlotte a écrit :Mémoires mortes de C. Dufour et maintenant Mémoria, tous les deux au Bélial, il n'y a que moi que cela interpelle (dans quel sens j'en sais rien, mais le fait est là)

Y'a pas aussi un recueil "memoire vive, memoire morte" de Gérard Klein qui doit sortir bientot ?

Laurent Genefort est en interview ce matin sur le site elbakin.

Il revient sur Hordes, cycle de fantasy à paraître chez Bragelonne dans les prochaines semaines.
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Une question fort banale pour commencer : comment est né le projet Hordes ?
« Hordes » est issu de différentes lectures : Berserk de Miura, La Compagnie noire (dont je n’ai lu que le premier volume), et, plus lointainement, certains romans de dark fantasy lus lorsque j’étais adolescent. Berserk a été le déclencheur, mais à vrai dire, cette idée me trottait dans la tête depuis des lustres – pratiquement à l’époque où j’ai imaginé le personnage d’Alaet et l’univers de fantasy chaude et légère où il évoluait. J’avais envie d’écrire une sorte d’alternative sombre, plus cruelle, au monde de Wethrïn. Les revers éditoriaux d’Alaet, à sa création vers 1988, m’ont ôté la volonté d’écrire un autre cycle. Quand j’ai présenté le premier volume de « Hordes » chez Bragelonne, j’ai été presque étonné qu’il soit accepté car cela ne ressemblait pas à ce que j’écrivais d’habitude."

Toute l'interview est ici

Laurent Genefort est en interview ce matin sur fantasy.fr à propos de son nouveau roman chez Bragelonne : Hordes.

Petit extrait :

"Pourquoi avoir retenu pour cadre un monde médiéval et barbare ? Est-ce par convention ?Finalement, le problème de la convention se pose-t-il en Fantasy ? C’est une vraie question, car ce que moi je recherche en Fantasy n’est pas forcément la nouveauté. J’ai retenu un monde médiéval et barbare parce que je n’avais jamais écrit d’histoire dans ce cadre-là, tout simplement."

Le reste est ici