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La version anglaise de Dans le jardin d'Iden de Kage Baker est gratuit sur le net.

c'est ici

Je préfererai avoir la suite en francais payant (bouhouhou).

Vous êtes sûr que ce n'est pas un pirate ?

En principe quand c'est officiel, ça ne se présente pas du tout comme ça.

C'est effectivement bien dommage que tout ne soit pas traduit. Nous avons lu les huit ou dix volumes. Absolument jubilatoire et de plus grandiose à la fin.

Je ne connaissais pas du tout et ça a l'air plutôt sympa (j'en suis encore au début, un chapitre de temps en temps, lire à l'écran ça pique les yeux)
Pour ce qui est de la "présentation" du truc, je ne sais pas, mais c'est vrai que l'url ne fait pas très officielle.
Bon d'un autre côté "offrir" sur le net le 1er tome d'une série de 4 ça ne me parrait pas non plus aberrant.

Le premier tome ne donne pas une idée juste du truc: c'est un bon bouquin, bien fait, mais sans plus. Par contre, avec le deuxième, on voit se développer un intrigue plus générale liée à l'univers globale de la série, intrigue esquissée très légèrement dans la premier tome. Et cette intrigue donne vraiment un gros interet à la série.

Malheureusement, rivages fantasy n'existe plus et si je me souviens bien Bénédicte Lombardo avait déclaré que les faibles ventes en pocket des 2 premiers tomes rendaient difficile la continuation de la série en francais chez pocket.

Arf, dommage en effet. Ca doit être frustrant de ne pas avoir la suite en français.

Bon, je verais bien si ce tome me botte ou pas, et si j'ai le courage, je tenterais peut-être les 4 en anglais.

domellen a écrit :Vous êtes sûr que ce n'est pas un pirate ?

Oui. TOR met un roman en ligne toutes les semaines (l'un chassant l'autre). On peut s'inscrire ici.

Bon, Jérôme, j'te casse un peu ton coup, mais enfin...

rore a écrit :Bon, je verais bien si ce tome me botte ou pas, et si j'ai le courage, je tenterais peut-être les 4 en anglais.

il y en a plus que cela ( je dirais presque dix). Certains, comme Black projects, white knights ou dans une moindre mesure Gods and pawns ne sont pas indispensables pour suivre l'arc narratif principal.



(Golden Gryphon, 2002, couverture de J. K. Potter)