Modérateurs : Estelle Hamelin, Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
Félicitations : tu viens de gagner le prix du cliché le plus éculé de toute cette enfilade.Aikau le bô a écrit :Non. Si c'était vrai, les lecteur de sf ne liraient que des articles scientifiques...Bouse Bleuâtre a écrit : On s'en branle du style. Ce qui compte, c'est les idées.
On discute, hein ?Chacun a parfaitement le droit de lire ce qu'il a envie de lire, et Benford a le droit d'écrire comme il a envie d'écrire, et même de trouver des lecteurs, s'il en trouve.Fabien Lyraud a écrit :Pour la Hard SF des critiques comme Chouinard, Horton ou Mac Almont disent la même chose que moi : c'est mal écrit.
Bref j'attend que la SF aussi me raconte des histoires et me fassent pas une novelisationn de cours de physique. Le science de science fiction est mis pour raison pas pour technologie. La SF est la littérature de l'imaginaire rationnel.
J'ai relu récemment Perdido Street Station de China Mièville et il y a des passages qui me font littéralement pleurer dans ce bouquin. Et si être littéraire c'était être capable de transmettre des émotions à son lecteur. Et pourquoi la SF n'en serait pas capable (et à fortiori la fantasy) ?
(ad hominem)Virprudens a écrit : Non, non, non. Ca marche pas comme ça. On se sent agressé, donc on répond 'vas-y voir, balance des noms, hein, hein, ose un peu qu'on rigole'. Pas d'attaque ab nominem.
Sauf quelques-uns.
Désolé, je ne comprends toujours pas ton argumentation, vu qu'il n'est absolument pas question de leur demander de réécrire leur bouquin.Erion a écrit :
Demander à un auteur anglo-saxon de mieux écrire, c'est absurde, puisque le roman a déjà été publié. Ensuite, ca signifie que les éditeurs choisiraient les ouvrages à traduire en fonction du style de l'auteur américain. Et enfin, il y a la traduction et un bon styliste en VO peut être mal traduit, et c'est la responsabilité du traducteur.
Donc 3 sources qui rendent absurdes la question pour la SF anglo-saxonne. (et je ne parle même pas du fait qu'on traduise des ouvrages qui se sont vendus déjà sur place)
C'est du charabia, ma bouse. Tu le sais, ça ? Servir l'histoire, ouais, OK, quand t'as dit ça t'as rien dit. Comme si le style, la construction, la forme que tu donnes à cette histoire, à ces idées, étaient de l'ordre du "reste", sans lien avec ces idées, avec ces histoires.Bouse Bleuâtre a écrit :En effet. La manière dont un texte de SF est écrit est tout à fait secondaire par rapport au fond dudit texte. L'écriture doit servir l'histoire, et tout le reste est superfétatoire.
... Éric évoquait M.J. Harrison, une demi-seconde plus tôt.Bouse Bleuâtre a écrit :Je croyais qu'on parlait de science fiction ?Eric a écrit :S'il achète un Vellum, c'est aussi pour l'écriture de Duncan, il va sans dire.
Je pensais qu'avec ta haute intelligence et ta grande finesse d'esprit tu aurais compris que c'était une manière de dire que, dans un roman de science fiction, c'est le fond qui détermine la forme, et non le contraire.Transhumain a écrit :C'est du charabia, ma bouse. Tu le sais, ça ? Servir l'histoire, ouais, OK, quand t'as dit ça t'as rien dit. Comme si le style, la construction, la forme que tu donnes à cette histoire, à ces idées, étaient de l'ordre du "reste", sans lien avec ces idées, avec ces histoires.Bouse Bleuâtre a écrit :En effet. La manière dont un texte de SF est écrit est tout à fait secondaire par rapport au fond dudit texte. L'écriture doit servir l'histoire, et tout le reste est superfétatoire.
je vois pas du tout ce qui peut te faire supposer une chose pareille : j'ai cours dans dix minutes, j'aurais pas le temps matériel de tenter d'étrangler Daylon 