Les femmes de Conan
Modérateurs : Estelle Hamelin, Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
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"Le fauteuil hanté" ce n'est pas plutôt de Maurice Renard ?
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Il parait que la cigüe, c'est hyper pas bon à boire et que ça donne une agonie pas cool, alors on mettait du miel et un narcotique avec (quand on était gentil).
Il parait que si on fait bouffer plein de cigüe à un crapaud et après, on le fait sécher et on le pile, ça fait une poudre hyper plus empoisonnée que la vraie cigüe.
En tout cas, à bouffer comme ça tout cru, c'est amer et ça fout juste la chiasse (c'était dans ma période socratique).
Moi, j'aime bien la ciguë (même si je n'ai jamais su où mettre ce foutu tréma).
Il parait que si on fait bouffer plein de cigüe à un crapaud et après, on le fait sécher et on le pile, ça fait une poudre hyper plus empoisonnée que la vraie cigüe.
En tout cas, à bouffer comme ça tout cru, c'est amer et ça fout juste la chiasse (c'était dans ma période socratique).
Moi, j'aime bien la ciguë (même si je n'ai jamais su où mettre ce foutu tréma).
- dracosolis
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un fauteuil pour mon académie tu veux dire...MF a écrit :Tu veux pas un fauteuil à l'Académie, non plus ?dracosolis a écrit :on peut s'assoir et prendre un thé ?
"votre dos perd son nom..."
ploum ploum
d'ailleurs ça n'a rien à voir mais mon principal parlait ce matin en réunion de "la mémoire du poignet"...
j'ai piqué un fou rire...
- dracosolis
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Pour en rajouter une couche sur le genre dans la SF, un extrait du Cycle de Tschaï (J. Vance) dont j'achève la lecture :
Quelle subtilité..., je préfère encore Howard...
Comme l'écrit Eric Holstein, le héros de ces 4 romans est "borné, psychorigide et monomaniaque".
Ce qui n'ôte pas toutes ses qualités aux romans, bien entendu.
Je crois le moment venu de t'expliquer les réalités de vie. Les instincts font partie de notre bagage biologique et il faut se faire une raison. Les hommes et les femmes sont différents.
Quelle subtilité..., je préfère encore Howard...
Comme l'écrit Eric Holstein, le héros de ces 4 romans est "borné, psychorigide et monomaniaque".
Ce qui n'ôte pas toutes ses qualités aux romans, bien entendu.
On offre de face la vérité à son égal : on la laisse entrevoir de profil à son maître.
(Chamfort, Eloge de La Fontaine)
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De fait, les personnages de romans bornés, psychorigides et monomaniaques sont souvent des éléments très agréables dans les romans (c'est moins vrai dans la vie réelle, parfois, mais qui se soucie de la vie réelle?)Tétard a écrit :Pour en rajouter une couche sur le genre dans la SF, un extrait du Cycle de Tschaï (J. Vance) dont j'achève la lecture :Je crois le moment venu de t'expliquer les réalités de vie. Les instincts font partie de notre bagage biologique et il faut se faire une raison. Les hommes et les femmes sont différents.
Quelle subtilité..., je préfère encore Howard...
Comme l'écrit Eric Holstein, le héros de ces 4 romans est "borné, psychorigide et monomaniaque".
Ce qui n'ôte pas toutes ses qualités aux romans, bien entendu.
Oncle Joe
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De plus dans Tschaî, cela fait partie du jeu.
Vance s'amuse beaucoup des réactions indignées et perplexes d'un Adam Reith rigide, devant les étrangetés des sociétés créés par les E.T. de Tschaî. Il joue souvent et volontairement de ce contraste pour créer de l'étonnement chez son lecteur.
Cela dit, rechercher dans un livre, la petite phrase qui tue, pour essayer de démonter, a tout pris, une thèse personnel. faut quand même être vicieux.
Dans ce cas, le fin du fin serait de rechercher ces même petites phrases dans des livres d'auteurs récents, admirés, considérés par ailleurs, comme comme exemplaire de ce point de vue. En trouver, serait particulièrement jubilatoire, n'est-ce pas !
Vance s'amuse beaucoup des réactions indignées et perplexes d'un Adam Reith rigide, devant les étrangetés des sociétés créés par les E.T. de Tschaî. Il joue souvent et volontairement de ce contraste pour créer de l'étonnement chez son lecteur.
Cela dit, rechercher dans un livre, la petite phrase qui tue, pour essayer de démonter, a tout pris, une thèse personnel. faut quand même être vicieux.
Dans ce cas, le fin du fin serait de rechercher ces même petites phrases dans des livres d'auteurs récents, admirés, considérés par ailleurs, comme comme exemplaire de ce point de vue. En trouver, serait particulièrement jubilatoire, n'est-ce pas !
J'ai écrit ce post juste après avoir découvert cette phrase, donc je n'ai pas parcouru les 850 pages du bouquin pour la trouver... Par contre la psychologie du personnage, elle, se dégage de l'ensemble du roman.
On offre de face la vérité à son égal : on la laisse entrevoir de profil à son maître.
(Chamfort, Eloge de La Fontaine)
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