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1er chapitre Il est Parmi Nous et les dédicaces de Spinrad

Posté : jeu. mars 12, 2009 8:19 am
par jerome
Voici les premières pages d'Il est Parmi Nous de Norman Spinrad.

C'est à lire en pdf ici

En voici le résumé :
"Qui est vraiment Ralf, le « comique venu du futur » ? Et pourquoi « Le Monde selon Ralf », le talk-show qu’il anime à la télévision, est-il de plus en plus amer ? Quand Texas Jimmy Balaban, son agent, l’a découvert sur les planches d’un café-théâtre de troisième zone, il était pourtant d’un drôle…
Dexter D. Lampkin, un écrivain de science-fiction désabusé, et Amanda Robin, qui joue les coaches mystiques, pensaient avoir bien peaufiné le personnage. Le problème, c’est que Ralf ne sort jamais de son rôle. Comme s’il était son rôle. Comme s’il venait vraiment du futur… et quel futur!
Le pire que vous puissiez imaginer : la biosphère a été dévastée, l’air est irrespirable, et les derniers représentants de l’espèce humaine se sont réfugiés dans des centres commerciaux pressurisés. En un mot, l’homme survit sur le vaisseau devenu fou d’une planète morte qu’il n’a pas su sauver.
Ralf a-t-il été renvoyé dans le passé pour réveiller nos consciences ? Est-il celui dont nous avons besoin pour traverser l’inévitable « crise de transformation » que nous devons affronter ? Car ce qui est, est réel. Et nous ne pourrons y échapper.

Dans ce roman à l’humour ravageur, Norman Spinrad, l’auteur virtuose de Jack Barron et l’éternité, des Miroirs de l’esprit et des Années fléaux, met en scène notre époque avec intelligence et férocité face aux grands périls qui pèsent sur l’humanité et, comme dans Rêve de fer, poursuit sa réflexion sur son genre de prédilection, car Il est parmi nous est aussi le grand roman de la science-fiction.
"

Norman Spinrad sera présent à Paris du 16 mars au 15 avril 2009. Il sera en dédicace :

- 17 mars 2009, Salon du Livre de Paris, stand Fayard, à partir de 17 heures.

- 21 mars 2009, 15h30 : signature chez Gibert-Joseph, 30 bd Saint-Michel, 75005 Paris

- 26 mars 2009, 18 heures : signature à la librairie L’Amour du Noir, 11 rue du Cardinal-Lemoine 75005 Paris.

- 29-31 mai 2009 : Festival Etonnants Voyageurs, Saint-Malo.

Posté : jeu. mars 12, 2009 3:12 pm
par thomasday
Il semblerait que la version Fayard (à paraître incessamment sous peu) ait été très lourdement dégraissée (environ un quart du texte) comparée à la version que j'avais commencé à lire et refusée circa 2000.

Gilles Dumay,

Posté : jeu. mars 12, 2009 3:17 pm
par Bouse Bleuâtre
thomasday a écrit :Il semblerait que la version Fayard (à paraître incessamment sous peu) ait été très lourdement dégraissée (environ un quart du texte) comparée à la version que j'avais commencé à lire et refusée circa 2000.
Oh non, moins que ça.

Posté : jeu. mars 12, 2009 3:20 pm
par thomasday
De mémoire, le roman faisait 1 300 000 signes avant traduction (je dis bien "de mémoire").

GD

Posté : jeu. mars 12, 2009 3:21 pm
par Bouse Bleuâtre
Ben là il en fait 1 350 000 après traduction. 15 % au grand maximum.

Posté : jeu. mars 12, 2009 3:22 pm
par Pascal
Le bestiau approche les 700 pages, quand même.
EDIT : post croisé avec une bouse.

Posté : jeu. mars 12, 2009 4:26 pm
par Eons
Pascal a écrit :EDIT : post croisé avec une bouse.
Faudra noyer les petits ? :lol:

Posté : jeu. mars 12, 2009 5:26 pm
par Virprudens
M'en fous, je le veux.

Posté : jeu. mars 12, 2009 10:20 pm
par gutboy
Pourquoi on supprime du texte?
Pour des questions de taille maxi au delà de laquelle il faudrait faire 2 bouquins et donc casse gueule commercialement?
Ca m'échappe un peu qu'on ampute un roman.

Posté : jeu. mars 12, 2009 10:31 pm
par bormandg
gutboy a écrit :Pourquoi on supprime du texte?
Pour des questions de taille maxi au delà de laquelle il faudrait faire 2 bouquins et donc casse gueule commercialement?
Ca m'échappe un peu qu'on ampute un roman.
D'un autre côté, il aurait fallu demander à Spinrad de le désenfler lui-même; parce que dans un bestiau plus que mégalittéral, il y a certainement des tas de commentaires et de disgressions inutiles.
Mon prof d'écriture avait été surnommé Docteur Jivaro, réducteur de textes. Son premier commentaire, avant de lire: "Enlève la moitié!" :lol:

Posté : ven. mars 13, 2009 12:32 am
par Bouse Bleuâtre
bormandg a écrit :D'un autre côté, il aurait fallu demander à Spinrad de le désenfler lui-même
Pourquoi aurait ?

Posté : ven. mars 13, 2009 8:41 am
par Lensman
Bouse Bleuâtre a écrit :
bormandg a écrit :D'un autre côté, il aurait fallu demander à Spinrad de le désenfler lui-même
Pourquoi aurait ?
Ah, ah, il A fallu... il ne ne l'a pas fait de sa propre initiative... Ce n'est pas moi qui vais me plaindre: un directeur de collection (au sens "editor") a donc fait le vrai travail que doit faire... un directeur de collection (ça ne doit pas être forcément facile avec Norman... j'imagine les cris et les grognements outrés...).
C'était la minute de l'Oncle Joe sur les livres généralement trop longs, ce qui diminue fortement leur impact (je parle de l'impact au niveau de la force des idées, pas au niveau de ce que l'on ressent quand on se les ramasse sur la tête...)
Oncle Joe

Posté : ven. mars 13, 2009 2:12 pm
par Travis
"Villa Vortex" de Dantec 823 pages (un seul volume)

"Les Bienveillantes" de Littell 912 pages (un seul volume)

Posté : ven. mars 13, 2009 2:33 pm
par Bouse Bleuâtre
Travis a écrit :"Villa Vortex" de Dantec 823 pages (un seul volume)

"Les Bienveillantes" de Littell 912 pages (un seul volume)
Et combien de pages inutiles dans l'un comme dans l'autre ?

Posté : ven. mars 13, 2009 2:39 pm
par Lensman
Bouse Bleuâtre a écrit :
Travis a écrit :"Villa Vortex" de Dantec 823 pages (un seul volume)

"Les Bienveillantes" de Littell 912 pages (un seul volume)
Et combien de pages inutiles dans l'un comme dans l'autre ?
Dans "Villa Vortex", beaucoup. Dans l'autre, pas lu...
Oncle Joe