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Philippe K. Dick : Radio libre Albemuth cet automne
Posté : mar. juin 23, 2009 9:58 am
par jeromolko
Le site Le Bélial édition annonce la nouvelle traduction prochaine d'un Philippe K. Dick : Radio Libre Albemuth
L'adaptation par John Alan Simon du roman de Philip K. Dick Radio Libre Albemuth avance à grands pas ; il ne resterait plus que deux ou trois mois de travail dessus.
Le roman sera à nouveau disponible cet automne, dans une "édition définitive" établie par le traducteur Gilles Goullet, grand spécialiste de Dick (dans la collection Lunes d'encre).
Would you like to know more ?
Re: Philippe K. Dick : Radio libre Albemuth cet automne
Posté : mar. juin 23, 2009 10:09 am
par MF
jeromolko a écrit :Le roman sera à nouveau disponible cet automne, dans une "édition définitive" établie par le traducteur Gilles Goullet, grand spécialiste de Dick (dans la collection Lunes d'encre).
L'édition est définitive parce qu'après la SF meurt ?
Y se prendraient pas des fois un peu le melon, les éditeurs, avec ces "définitifs" à chaque nouvelle trad ?
Re: Philippe K. Dick : Radio libre Albemuth cet automne
Posté : mar. juin 23, 2009 10:15 am
par Travis
MF a écrit :jeromolko a écrit :Le roman sera à nouveau disponible cet automne, dans une "édition définitive" établie par le traducteur Gilles Goullet, grand spécialiste de Dick (dans la collection Lunes d'encre).
L'édition est définitive parce qu'après la SF meurt ?
Y se prendraient pas des fois un peu le melon, les éditeurs, avec ces "définitifs" à chaque nouvelle trad ?
Un peu comme les director's cut, recut, redux, cut cut, et Re redux...

Re: Philippe K. Dick : Radio libre Albemuth cet automne
Posté : mar. juin 23, 2009 11:33 am
par Lensman
MF a écrit :jeromolko a écrit :Le roman sera à nouveau disponible cet automne, dans une "édition définitive" établie par le traducteur Gilles Goullet, grand spécialiste de Dick (dans la collection Lunes d'encre).
L'édition est définitive parce qu'après la SF meurt ?
Y se prendraient pas des fois un peu le melon, les éditeurs, avec ces "définitifs" à chaque nouvelle trad ?
Il y a écrit "UNE édition définitive", pas "L'édition définitive"...
Oncle Joe
PS: et je rappelle que la SF est morte en 1960:
www.sfsignal.com/.../who-killed-science-fiction/
Re: Philippe K. Dick : Radio libre Albemuth cet automne
Posté : mar. juin 23, 2009 11:36 am
par MF
Lensman a écrit :PS: et je rappelle que la SF est morte en 1960
La nécrophilie est une activité fort respectable.
p.s. : @ Joe -> tu as, encore, raté ton lien url ^^
Re: Philippe K. Dick : Radio libre Albemuth cet automne
Posté : mar. juin 23, 2009 12:37 pm
par Lensman
MF a écrit :
p.s. : @ Joe -> tu as, encore, raté ton lien url ^^
Décidément, ça ne s'arrange pas, ma réputation de "lowtech" (entre autres tares) va encore grandir...
http://www.sfsignal.com/archives/2006/1 ... e-fiction/
Oncle Joe
Posté : mar. juin 23, 2009 2:41 pm
par Lem
Edition provisoirement définitive ou autre, le prénom de l'auteur reste "Philip", même en français.
Posté : mar. juin 23, 2009 2:49 pm
par Travis
Lem a écrit :Edition provisoirement définitive ou autre, le prénom de l'auteur reste "Philip", même en français.
Hissez la corde, la potence est installée
Re: Philippe K. Dick : Radio libre Albemuth cet automne
Posté : mar. juin 23, 2009 2:54 pm
par Erion
Ma réponse préférée (avec celle de Bradbury) est celle de James E. Gunn :
"We can never agree on more than a broad definition of science fiction, but perhaps we can agree on what constitutes the mainstream of science fiction and where we have wandered away from it. As a beginning, we must accept the thesis that the mainstream of science fiction is entertainment; and if science fiction is going to be popular, it must be popular entertainment. Whatever else science fiction is, it should be entertainment first and other things in addition, on other levels or other depths...Science fiction has been betrayed in many ways: by those who have sought to capitalize on its presumptive popularity and sought its least common denominator, by those who have underestimated the reading and viewing and listening public and the appeal and excitement of the drama of ideas, but also by those of us who should have known better. We have had our delusions of grandeur; we have committed the unpardonable sin of the storyteller—we have been dull. We have sought art for its own sake. Our primary function is to hold our audience and to add to it; we must never forget that."
"We have sought art for its own sake"
Hm, 1960 tu dis ?