Laurent Genefort parle des Trésors de la SF
Posté : ven. mai 07, 2010 7:06 am
Laurent Genefort est en interview sur le site Elbakin. Il parle des Trésors de la SF, la collection qu'il dirige chez Bragelonne.
"Cela fait un an et demi que vous êtes à la tête des Trésors de la SF. Que pensez-vous du chemin parcouru ? Si vous deviez retenir un seul titre des neuf volumes parus…
Laurent Genefort : C’est difficile, car ce sont tous mes bébés. J’aurais du mal à en déshériter un. Ils ont tous leur intérêt. J’ai peut-être, non pas une préférence, mais le sentiment que le volume sur Jacques Spitz est important. Car un inédit d’un romancier aussi classique que Jacques Spitz, c’est quelque chose d’exceptionnel. Mais même le Sprague de Camp a son intérêt. C’est un vrai travail éditorial que je suis heureux d’avoir fait. La SF c’est autant Jacques Spitz, avec son écriture précieuse et sa culture classique, que Sprague de Camp et son côté « pulp » au second degré.
Je suis aussi très content d’avoir réédité du Michael Coney, même si Le Crépuscule des mondes a obtenu les chiffres de vente les plus faibles de la collection. Mais le fait qu’il existe et que pendant quelques semaines, on ait vu du Michael Coney en librairie, m’a comblé. "
"Cela fait un an et demi que vous êtes à la tête des Trésors de la SF. Que pensez-vous du chemin parcouru ? Si vous deviez retenir un seul titre des neuf volumes parus…
Laurent Genefort : C’est difficile, car ce sont tous mes bébés. J’aurais du mal à en déshériter un. Ils ont tous leur intérêt. J’ai peut-être, non pas une préférence, mais le sentiment que le volume sur Jacques Spitz est important. Car un inédit d’un romancier aussi classique que Jacques Spitz, c’est quelque chose d’exceptionnel. Mais même le Sprague de Camp a son intérêt. C’est un vrai travail éditorial que je suis heureux d’avoir fait. La SF c’est autant Jacques Spitz, avec son écriture précieuse et sa culture classique, que Sprague de Camp et son côté « pulp » au second degré.
Je suis aussi très content d’avoir réédité du Michael Coney, même si Le Crépuscule des mondes a obtenu les chiffres de vente les plus faibles de la collection. Mais le fait qu’il existe et que pendant quelques semaines, on ait vu du Michael Coney en librairie, m’a comblé. "