Posté : sam. sept. 27, 2008 6:33 am
Deux couvertures réussies, à mon sens aussi. On peut aimer, ou pas aimer, ou être indifférent, mais elles répondent à une démarche réfléchie, en rapport avec le sujet.
Oncle Joe
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Il s'étend maintenant d'une extrémité à l'autre du cosmos.
Il rit. Il gronde. Il caresse les soleils. Il siffle. Il sanglote, Il hurle son nom, Il exulte.
Et les étoiles accordées se mettent à résonner.
tu étais descendu de l'arbre ?Eons a écrit :La première fois que j'ai lu Le fils de l’homme, dans les années 1970, il m'est très vite tombé des mains.
Je l'ai accidentellement racheté des années plus tard, et là je l'ai dévoré presque d'une traite.
Entre-temps, j'avais évolué...
un peu trop statique à mon gout, le livre se penche sur l'étude des réactions d'une société face à l'inconnu, ici un soit-disant (ou pas) voyageur temporel d'une façon similaire à Tevis et son extraterrestre.Pryrates a écrit :Seulement l'ouvrage contient aussi Les Masques du temps, dont je n'ai pas trouvé de chronique malgré l'abondance de la biblio de Silverberg sur Actusf. Quelqu'un l'a lu ici? Gérard Klein parle d'un bon livre dans une de ses préfaces sur 42. D'autres retours?
Honnêtement, écrire la 4 de couv' du Fils de l'Homme, voilà un défi qu'il est balèze.Papageno a écrit :Pour les couvertures, je ne me prononce pas ! (de toute façon j'ai lu la première édition de poche, celle avec des fleurs, alors :-) )
Pour le quatrième de couverture, ce que je lui reproche, c'est de sortir, de son contexte, un épisode du tout début (l'oiseau qui défèque) sans qu'il soit possible d'en restituer tout l'environnement poétique. Ceci dit, Je reconnais qu'il est difficile de faire autrement.
D'autant plus dans ce livre, les objets, les paysages, les êtres vivants se transforment constamment, change d'apparence, de formes, de signification, comme dans un rêve. On ne sait plus quoi est quoi, qui est qui, on ne sait plus ou est - c'est un Trip, c'est dit (du moins suggéré) dans la dédicace, mais moi, je n'en sais rien, je n'ai pas cette expérience la, et je compare a ce que je connais, le rêve.
Pour la signification profonde du livre, je ne suis pas sur de l'avoir capté, pour autant que cette signification existe, Il se pourrait qu'elle soit incessible. (pour moi du moins)
Par contre, ce que j'ai capté, c'est sa magie poétique, la fascination quasi hypnotique qu'exerce sur moi certaines des ces pages, que je relis souvent a voix haute.
Il s'étend maintenant d'une extrémité à l'autre du cosmos.
Il rit. Il gronde. Il caresse les soleils. Il siffle. Il sanglote, Il hurle son nom, Il exulte.
Et les étoiles accordées se mettent à résonner.
Non, j'y suis remonté, il fallait que je prenne de la hauteur.dracosolis a écrit :tu étais descendu de l'arbre ?Eons a écrit :La première fois que j'ai lu Le fils de l’homme, dans les années 1970, il m'est très vite tombé des mains.
Je l'ai accidentellement racheté des années plus tard, et là je l'ai dévoré presque d'une traite.
Entre-temps, j'avais évolué...
Merci Sandrine. Je vais peut-être me contenter de l'Homme dans le labyrinthe alors.sandrine.f a écrit :
un peu trop statique à mon gout, le livre se penche sur l'étude des réactions d'une société face à l'inconnu, ici un soit-disant (ou pas) voyageur temporel d'une façon similaire à Tevis et son extraterrestre.
un opta ça vaut toujours le coupPryrates a écrit :Vous m'avez donné envie de découvrir l'Homme dans le labyrinthe.
J'hésite à l'acquérir chez OPTA dans l'édition de 1970 (http://noosfere.com/icarus/livres/niour ... 1139469207).
Seulement l'ouvrage contient aussi Les Masques du temps, dont je n'ai pas trouvé de chronique malgré l'abondance de la biblio de Silverberg sur Actusf. Quelqu'un l'a lu ici? Gérard Klein parle d'un bon livre dans une de ses préfaces sur 42. D'autres retours?
Il y avait avant, chez J'ai Lu, la couverture signé Tibor Csernus, que quelqu'un de débrouillard (genre Sandrine) va nous reproduire pour compléter l'enquête.Florent a écrit :C'est intéressant de comparer les couvertures successives, ça donne une idée de la façon dont la SF était perçue et est perçue aujourd'hui.