Franchaoui !

[Eric]

Wagner pour son côté rock à la Eudeline

Eudeline ? On frôle la diffamation là.

Le Eudeline qui avait défendu Steve Estatoff par un plaidoyer enflammé dans le Figaro Mag.. euh je veux dire Rock & Folk ?

[Jed]

A tous ces noms, je rajouterais Pierre Pevel pour sa trilogie de Wielstadt... Rien que d'en parler j'ai envie des les relire...

[Bouse Bleuâtre]

Bloodhorn n'a pas tort pour Eudeline, mais je crains qu'il ne faille avoir fait le bœuf avec Riton et Grand Did pour saisir la subtilité de sa remarque..

[Eric]

Allez, et dans deux minutes on va reparler d'Asphalt Jungle, le plus grand groupe punk camenbert à avoir failli exister.

Cela dit, de toute la rédaction de RnF, Eudeline est le seul qui sache écrire.

[Bouse Bleuâtre]

Asphalt Jungle

Tiens, du coup, je me suis mis « Polly Magoo ». Un peu bancal, mais puissant.

[Eric]

Pitié !

Fais attention ! On commence comme ça pour rigoler, et on se retrouve à réécouter l'intégrale Shakin' Street.

[zomver]

Et j'en oublie quelques uns surement

Amha, tu oublies Jean-Michel Truong et tous ses romans qui dérangent : de Reproduction interdite à Eternity Express en passant par ce sommet qu’est Le successeur de pierre (sans majuscule à "pierre") dont les idées sont développées avec brio dans l'essai Totalement inhumaine.

Il ne faut pas passer à côté de Jean-Michel Truong. Même si ses livres ne sont pas publiés dans des collections SF, il est un des grands de la SF française.

[jerome]

Tiens, j'en rajoute un parmi les français, Richard Canal. je suis en train de lire son dernier roman chez Mnémos, Deloria, et c'est pour l'instant pas mal du tout...

[blodhorn]

Animamea fut une claque! Un début difficile mais une fois pris dans l'histoire... que du bonhur avec une fin bien plus noir et déséspérée que l'on ne saurait y penser

[oneill]

Dantec en number one
Bordage pour l'ensemble de son oeuvre
Ayerdhal tant ses "chroniques d'un rêve enclavé" m'ont séduit
Wagner pour son côté rock à la Eudeline

D'accord pour Bordage et notamment pour Wang.

[ruru]

Dantec en number one
Bordage pour l'ensemble de son oeuvre
Ayerdhal tant ses "chroniques d'un rêve enclavé" m'ont séduit
Wagner pour son côté rock à la Eudeline

Je suis au chapitre 9 des racines du mal et je ne crois pas que je vais continuer. Cette surenchère de la violence est véritablement malsaine mais surtout, je n'en vois pas l'utilité.

Bordage décrit la violence à plusieurs reprises dans ces romans mais ça n'atteind jamais un tel degrés.
Pour moi, je mets Bordage en tête et je renvois Dantec dans son asile.

[Eric]

Justement cette course de Schalzman est sans doute ce qu'il y a de mieux écrit dans le bouquin. Après il digresse, comme d'hab, mais Les Racines du Mal reste sans doute son meilleur roman.

Dantec est un cas. Entre deux bouquins, je ne peux pas m'empêcher de trouver qu'il est un triste bouffon, mais à chaque sortie, je replonge et je trouve qu'il y a quelque chose de fascinant chez le bonhomme.

[ruru]

Je ne veux pas jouer ma vierge effarouchée mais je trouve qu'autant de détails sur les actes barbares de Schalzman sont ininterressants et ne servent absolument pas l'histoire.
J'y vois plutôt un plaisir pervers de l'auteur, une surenchère de la violence gratuite qui n'amène franchement à rien si ce n'est dégouter le lecteur.

Tu laisses entendre que la suite du romain n'est que disgression... ça a fini de me convaincre : je referme ce bouquin et je le vends sur alapage.

Voyons le coté positif : j'ai trouvé ma limite en tout cas avec lui.

[Nicolo]

-

Et pour le futur, catherine dufour, maintenant qu'elle a écrit un vrai livre

Elle va sûrement adorer lire ça

Sinon, mes incontournables francophones :

* Ayerdhal, Parleur m'a donné une claque
* Serge Lehman, avec FAUST, les deux premiers tomes
* Les nouvelles de Fabrice Colin en général
* André-François Ruaud , des Ombres sous la pluie, heureusement réédité par Mnémos dans une version augmentée.
* Les nouvelles de Thomas Day
* Et enfin Charlotte Bousquet et Philippe Monot, qui m'ont scotché

[Eric]

Je ne veux pas jouer ma vierge effarouchée mais je trouve qu'autant de détails sur les actes barbares de Schalzman sont ininterressants et ne servent absolument pas l'histoire.
J'y vois plutôt un plaisir pervers de l'auteur, une surenchère de la violence gratuite qui n'amène franchement à rien si ce n'est dégouter le lecteur.

Tu laisses entendre que la suite du romain n'est que disgression... ça a fini de me convaincre : je referme ce bouquin et je le vends sur alapage. 8)

Voyons le coté positif : j'ai trouvé ma limite en tout cas avec lui.

Dommage, il n'y a qu'un (long) passage digressif avant la reprise de l'enquête. Mais il n'y a rien de gratuit dans la fuite en avant de Schalzman, pas plus que dans American Psycho ou Un Tueur sur la route, ça sert au contraire son propos. Il condense dans son tueur toutes les contradictions de sa vision de la société. Je trouve au contraire le passage des plus maîtrisés.