jerome a écrit :Munon.blodhorn a écrit : Peut-être un des derniers à faire à ce point le lien entre SF et sciences.
Il y a Pratchett, et tous ces pauvres auteurs de hard-SF qui se décarcassent pour caser dans leurs romans l'explication complète de la théorie des cordes (je pense notamment à Robert Forward, j'ai adoré L'Oeuf du Dragon...)
Asimov
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Je plussoie. Mais je crois qu'il y a un âge pour lire Asimov (disons 8-16 ans) où c'est une introduction fanatstique à la SF.Jean a écrit :Ben oui, j'en ai lu d'autres, mais c'était il y a longtemps... Je me souviens avoir tot aimé.jerome a écrit :En même temps, hormis Fondation et les Robots, que vaut le reste d'Asimov ? quelqu'un a-t-il lu autre chose ?
- Eric
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En même temps... replace dans le contexte. Je suis bien convaincu que si on avait présenté Bear ou Baxter à Campbell, il en aurait éclaté sa couche Confiance, les aurait enchaîné de suite à un bureau et aurait fait pipi autour pour marquer son territoire.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
Y a un tas de trucs moyens mais on peut trouver de bons textes dans l'ensemble des nouvelles.jerome a écrit :En même temps, hormis Fondation et les Robots, que vaut le reste d'Asimov ? quelqu'un a-t-il lu autre chose ?
Et pour les romans je trouve qu'il y a quand même quelques bons trucs comme "Les dieux eux-mêmes" et "La fin de l'éternité", et une autobiographie "Moi Asimov" pas inintéressante.
Franchement c'est pas mal du tout. Le découpage en chapitre relativement court permet d'avancer par petit bout si l'on veut.jerome a écrit :Le gros paveton de 600 pages et quelques écris en 4 ? J'ai jamais eu le courage de m'y mettreHerbefol a écrit :et une autobiographie "Moi Asimov" pas inintéressante.
On y ressent évidemment tout l'égo de l'auteur, mais pas de la manière casse pied d'Harlan Helisson, ça reste supportable, surtout qu'Asimov en est conscient et qu'il en joue.
Il y a un panorama assez intéressant des auteurs qu'il a pu cotoyé pendant sa carrière ainsi que le monde de l'édition de l'époque. Et puis j'ai vraiment eu l'impression d'un type sympathique. Enfin il n'hésite pas non plus à aborder certains de ses échecs (sa carrière scientifique, son premier mariage, etc.).
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Entièrement d'accord avec Herbefol sur l'autobio d'Asimov. A la fois vaniteux et humble, sarcastique et élogieux sur ses pairs, il arrive à séduire en racontant sa vie que je trouve particulièrement intéressante.
Et le chapitrage fait qu'on peut s'arrêter quand on veut et reprendre plus tard - par exemple quelques chapitres entre 2 romans.
Et le chapitrage fait qu'on peut s'arrêter quand on veut et reprendre plus tard - par exemple quelques chapitres entre 2 romans.