Thomas Burnett Swann
Posté : ven. juil. 24, 2009 4:22 pm
Je suppose qu'il est superflu de demander s'il y a sur ce forum des amateurs de ce grand monsieur de la fantasy.
N'étant pas un grand lecteur de fantasy (pas plus que de SF pure et dure, d'ailleurs), j'avoue avoir été conquis par l'univers inimitable dévellopé dans la trilogie du Minotaure, la trilogie du Latium (le Phénix vert reste mon préféré), et le petit cycle formé par la Forêt d'Envers-monde et Les Dieux demeurent.
La sensualité discréte et très fine de Swann, de nombreuses critiques l'ont soulignées sans que je sois obligée de renchérir dessus.
Rien à redire sur les peronnages (le pilier pour une fantasy intimiste, quand même), tous très attachants dans leur naiveté confrontée à la dureté du monde (il faut être fin aussi pour le roman initiatique, et Swann l'est).
L'humour léger et pétillant du Monsieur est aussi très agréable, cela change de la fantasy guindée.
Et ce que ma sensiblité personnelle apprécie particulièrement, nous avons là une imagination très riche, débridée et même particuièrement imprévisible (à cet égard, Le peuple de la mer et Les Dieux demeurent sont particuliérement surprenants ; il faut aussi être un grands conteur pour nous faire avaler le truc d'une vallée asiatique en Italie dans La dame des abeilles).
L'un de mes auteurs préférés sans doute. Je laisse maintenant la parole aux autres amateurs et -cela doit bien exister- détracteurs de l'oeuvre swanienne.
N'étant pas un grand lecteur de fantasy (pas plus que de SF pure et dure, d'ailleurs), j'avoue avoir été conquis par l'univers inimitable dévellopé dans la trilogie du Minotaure, la trilogie du Latium (le Phénix vert reste mon préféré), et le petit cycle formé par la Forêt d'Envers-monde et Les Dieux demeurent.
La sensualité discréte et très fine de Swann, de nombreuses critiques l'ont soulignées sans que je sois obligée de renchérir dessus.
Rien à redire sur les peronnages (le pilier pour une fantasy intimiste, quand même), tous très attachants dans leur naiveté confrontée à la dureté du monde (il faut être fin aussi pour le roman initiatique, et Swann l'est).
L'humour léger et pétillant du Monsieur est aussi très agréable, cela change de la fantasy guindée.
Et ce que ma sensiblité personnelle apprécie particulièrement, nous avons là une imagination très riche, débridée et même particuièrement imprévisible (à cet égard, Le peuple de la mer et Les Dieux demeurent sont particuliérement surprenants ; il faut aussi être un grands conteur pour nous faire avaler le truc d'une vallée asiatique en Italie dans La dame des abeilles).
L'un de mes auteurs préférés sans doute. Je laisse maintenant la parole aux autres amateurs et -cela doit bien exister- détracteurs de l'oeuvre swanienne.