Exposition Benjamin Lacombe
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jerome
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Exposition Benjamin Lacombe
Benjamin Lacombe est l'auteur de l'Herbier des fées. Voici les photos de Laura Vitali, prise au vernissage de l'expo Memories à la galerie Daniel Maghen, 47 quai des Grands Augustins 75006 Paris.
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
Mémoires de l'exposition Memories
En vitrine de la galerie Daniel Maghen, un magnifique vitrail surplombe des poupées à l'effigie de Mary et Anny, les soeurs siamoises du Grimoire des sorcières. Une invitation majestueuse à basculer dans l'univers de Benjamin Lacombe.
Pour l'inauguration, il fallait faire la queue tant l'affluence était grande pour pouvoir arpenter ce parcours dans son imaginaire.
La première salle réservait aux amateurs de son oeuvre comme aux heureux néophytes de belles découvertes. Sur des nappes soyeuses parsemées de roses, des cloches de verre protègent quatre poupées, dont une magnifique Blanche Neige dans son cercueil.
Dans cette même salle, des cadres précieux chinés par l'artiste accueillent des portraits que les cadres lui ont inspirés.
Ainsi un cadre du XVIIe abrite un portrait de Marie-Antoinette : un avant-goût d'un des projets de Benjamin Lacombe ?
La seconde salle toute en longueur accueille des illustrations de nombreux livres de l'artistes, aux cadres plus conventionnels même s'ils sont déclinés en trois teintes : marron, noir et blanc.
Vous avez jusqu'au 14 janvier pour vous immerger dans cet univers singulier et envoûtant.
Pour l'inauguration, il fallait faire la queue tant l'affluence était grande pour pouvoir arpenter ce parcours dans son imaginaire.
La première salle réservait aux amateurs de son oeuvre comme aux heureux néophytes de belles découvertes. Sur des nappes soyeuses parsemées de roses, des cloches de verre protègent quatre poupées, dont une magnifique Blanche Neige dans son cercueil.
Dans cette même salle, des cadres précieux chinés par l'artiste accueillent des portraits que les cadres lui ont inspirés.
Ainsi un cadre du XVIIe abrite un portrait de Marie-Antoinette : un avant-goût d'un des projets de Benjamin Lacombe ?
La seconde salle toute en longueur accueille des illustrations de nombreux livres de l'artistes, aux cadres plus conventionnels même s'ils sont déclinés en trois teintes : marron, noir et blanc.
Vous avez jusqu'au 14 janvier pour vous immerger dans cet univers singulier et envoûtant.