Lensman a écrit :Le_navire a écrit :Lensman a écrit :OK. C'est donc la marque "officielle" d'inféodation à la censure d'état (dont, je rassure tout le monde, je gros du travail est assuré par l'auto-censure des éditeurs).
J'espère que les jeunes vont lire en cachette les autres publications Bragelonne...
Oncle Joe
HEY ! Y a des éditeurs jeunesse qui s'en cognent de la censure !!

Je n'ironisai que sur les éditeurs jeunesse qui font figurer la mention infamante, pas les éditeurs jeunesse libres, bien sûr!
Oncle Joe
On a pas le choix, tonton.
Ou alors on fait comme Brage, de la jeunesse sans le dire, mais on se ferme du coup à tous les circuits officiels de diffusion et de travail et on se soumet à la loi de l'offre et de la demande. On ne touchera pas non plus tout à fait le même public.
Soslan a écrit :En même temps il n'y a eu aucune affaire de censure d'Etat depuis que la loi existe. Par contre, le cachet de la commission fait un bon alibi face à la vraie censure, celle des groupes de pressions.
La commission est paritaire : représentants de l'état, des professionnels du livres jeunesse (bibliothécaires, CDI...), et des associations de parents et de prescripteurs (Chroniqueurs, presse.)
Résultat, il y a deux ans, deux cas de censure contre Magnier.
Tu appelles ça comme veux, hein ? Mais, sans refaire le débat sur le terme de censure, je considère personnellement qu'il y a eu censure d'Etat sous l'effet des groupes de pression.