Le Dernier Chant d'Orphée de Robert Silverberg
Modérateurs : Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m, Nathalie
Le Dernier Chant d'Orphée de Robert Silverberg
Le 18 octobre paraîtra Le Dernier Chant d'Orphée, un court roman inédit de Robert Silverberg datant de 2010.
Il sortira le 18 octobre en librairie mais vous pouvez d'ores et déjà le commander... et le recevoir chez vous !
Nb de pages : 188
ISBN : 978-2-917689-40-0
Prix : 12 €
Préface de Pierre-Paul Durastanti
Contient une interview de l'auteur en fin de livre.
Traduction : Florence DOLISI et Jacqueline CALLIER
(Couverture : ZARIEL)
On dit qu’il pouvait, par son chant, charmer les animaux et les arbres, sa voix fit chavirer les sirènes elles-mêmes. Mais son coeur appartenait à Eurydice, et lorsque la mort vint la lui ravir, Orphée se présenta aux portes des enfers, armé de sa seule lyre, afin de reprendre à Hadès l’âme de sa bien-aimée.
Robert Silverberg est l’un des derniers maîtres de la science-fiction américaine. Mais c’est dans la veine de Gilgamesh, Roi d’Ourouk que l’auteur des Monades Urbaines et du Cycle de Majipoor revient pour cette réécriture épique du mythe d’Orphée.
Un roman inédit qui est un véritable événement.
Il sortira le 18 octobre en librairie mais vous pouvez d'ores et déjà le commander... et le recevoir chez vous !
Nb de pages : 188
ISBN : 978-2-917689-40-0
Prix : 12 €
Préface de Pierre-Paul Durastanti
Contient une interview de l'auteur en fin de livre.
Traduction : Florence DOLISI et Jacqueline CALLIER
(Couverture : ZARIEL)
On dit qu’il pouvait, par son chant, charmer les animaux et les arbres, sa voix fit chavirer les sirènes elles-mêmes. Mais son coeur appartenait à Eurydice, et lorsque la mort vint la lui ravir, Orphée se présenta aux portes des enfers, armé de sa seule lyre, afin de reprendre à Hadès l’âme de sa bien-aimée.
Robert Silverberg est l’un des derniers maîtres de la science-fiction américaine. Mais c’est dans la veine de Gilgamesh, Roi d’Ourouk que l’auteur des Monades Urbaines et du Cycle de Majipoor revient pour cette réécriture épique du mythe d’Orphée.
Un roman inédit qui est un véritable événement.
Modifié en dernier par marie.m le mar. oct. 09, 2012 7:07 am, modifié 1 fois.
Bon , sans charre , le Bob , il m'a plus qu'enchanté avec Les ailes de la nuit , Le livre des crânes , L'oreille interne et quelques autres (L'homme dans le labyrinthe par exemple) , mais il m'a tout aussi souvent déçu par des titres (j'ai pas dit des bouses) figurant chez des tas d'éditeurs que je respecte par ailleurs...
Alors , wait and see...
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Là on est plus dans sa veine mythologique (Gilgamesh etc) que dans sa veine SF pure. Mais c'est très bien aussiHoêl a écrit :Bon , sans charre , le Bob , il m'a plus qu'enchanté avec Les ailes de la nuit , Le livre des crânes , L'oreille interne et quelques autres (L'homme dans le labyrinthe par exemple) , mais il m'a tout aussi souvent déçu par des titres (j'ai pas dit des bouses) figurant chez des tas d'éditeurs que je respecte par ailleurs...
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Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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J'ai pas la date d'écriture précise mais ce qui est sûr, c'est qu'il nous l'a envoyé en 2008...Bruno a écrit :Petite question pointue : est-on sûr que ce court roman date bien de 2008, et non de 2010 ? C'est en effet la date que donne l'ISFDb, le site quasi-officiel de Robert Silverberg n'en parlant pas...
Jérôme
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Première chronique signée Guillaume le Traqueur stellaire :
Mais alors, puisque la novella de Silverberg se présente au final comme une légère réécriture du mythe, que reste-t-il en faveur de ce dernier chant d’Orphée ? Une plume agréable et poétique, tout d’abord, qui rend hommage au grand musicien légendaire que fut Orphée, et un rythme nostalgique, pour ne pas dire fataliste, qui accompagne notre héros alors que le poids de sa destinée ne cesse de s’exercer sur ses épaules. Si cette novella inédite de Silverberg n’est assurément pas une de ses œuvres les plus fracassantes, il faut tout de même lui reconnaître un réel plaisir de lecture, et une ambiance fantastique compatible avec cette fabuleuse mythologie grecque. Silverberg demeure un grand conteur, et sait encore jouer de sa plume. Alors pourquoi se priver de ce petit plaisir littéraire ?
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Moi pas. Mais c'est parce que j'ai trop de réserves sur cette novella, que j'exprimerai prochainement dans ma critique pour Phenix. L'interview m'aide à les mettre en perspective, et parfois à les modifier... Et à relire différemment les oeuvres que j'avais le moins appréciées.
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
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