Les Solitudes de l'ours blanc

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marie.m
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Les Solitudes de l'ours blanc

Message par marie.m » mar. mai 07, 2013 10:47 am

Le 6 juin sortira notre troisième titre de Thierry Di Rollo, un polar légèrement fantastique, Les Solitudes de l'ours blanc.

On vous propose dès aujourd'hui de précommandez l'ouvrage et de le recevoir dédicacé (valable jusqu'au 24 mai).

La fiche de l'ouvrage sur notre site Internet.

212 p.
12 €
ISBN : 978-2-917689-50-9

Extrait de l'interview présente à la fin de l'ouvrage.

Image
(Couverture : Lasth)

Contrat...

Cible...

Élimination...

Lui est un tueur à gages. Il a commis une unique erreur, et celle-ci pourrait bien s’avérer fatale.

Elle est la fille de l’une de ses victimes. Elle ne vit désormais que pour assouvir sa vengeance.

Entre eux, s’esquisse un pas de deux mortel.

Du polar à la science-fiction, Thierry Di Rollo imprime sa marque : une écriture incisive au service d’univers sombres, fascinants.

Auteur des désormais classiques La Lumière des morts et La Profondeur des tombes, lauréat du Prix Elbakin.net 2011 avec Bankgreen, et après un passage en Série Noire avec Préparer l’enfer, il revient aux éditions ActuSF, avec Les Solitudes de l’ours blanc, son treizième ouvrage.

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Message par marie.m » jeu. sept. 19, 2013 7:18 am

Une interview de l'auteur à retrouver sur le blog d'Unwalkers :
Sur une trame à deux balles, voire plus si le chargeur était plein, tu éclates le genre de la vengeance. Comment t’as fait, et pourquoi la vengeance ? T’as les dents en ce moment ?

Ce n’est pas la première fois que je traite ce sujet. Déjà, dans « Les trois reliques d’Orvil Fisher », il s’agissait d’une vengeance froide. Pourquoi ce thème? Parce qu’il est d’abord terriblement humain, quoi qu’on en dise; c’est une des principales signatures de notre chère espèce de primates prétendument évolués. Et à ce titre, elle nous renvoie à nous-mêmes, à notre capacité plus ou moins ferme et déterminée à encaisser et passer à autre chose. Certains êtres humains n’arrivent pas à passer à autre chose. Et c’est cette obstination obsessionnelle qui me fascine, toujours vaine mais irrépressible. C’est le côté inéluctable que j’essaie de comprendre. Sans y parvenir, bien sûr, mais ça, c’est une autre histoire.
Accompagnée d'une chronique :
Et pourtant il en tire une belle histoire, créant une empathie du lecteur aux personnages, il y a aussi une brume comme dans bankgreen, une brume qui se distille dans notre cerveau pour se demander, mais putain, attend qui est qui ? Rajouter à cela un travail de forme judicieux, des chapitres par perso, avec des intermèdes, qui brouillent les pistes. Parfait.

Auteur sous estime du moins je le pense, il frappe fort chez actu SF avec un roman rapide qui se délie, se replie tout au long du fil de la trame.

Une autre chez Contre-critique :
Toujours sinueux et sombre, "Les Solitudes de l'ours blanc" devient malgré tout lumineux en fin de parcours. Et son côté philosophique ravira les amoureux de la pensée.
Court et dense, ce polar noir est une expérience à tenter.

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Message par marie.m » mer. oct. 23, 2013 10:28 am

L'avis de Laurent Leleu dans Bifrost n° 72 :
Comme à son habitue, l'écriture de Thierry Di Rollo fait merveille. Sa faculté à traiter une information avec parcimonie, à en faire émerger le sens de manière progressive, impose le respect. Son style très visuel, pour ne pas dire cinématographique - on pense à David Fincher - impressionne par sa maîtrise et son naturel. Sur ce point, la narration à rebours du chapitre sept est un modèle du genre. Son art de l'ellipse, ni trop appuyé, ni relâché, se conjugue avec bonheur au pouvoir d'évocation de ses descriptions, conférant à ce court roman une densité émotionnelle fascinante.
A l'instant de l'ours blanc, Thierry Di Rollo se sert du noir pour capter un peu de chaleur humaine. Une chaleur chiche, mais généreuse pour qui sait la mettre à profit. Bref, on ne saurait trop recommander la lecture de ce roman dont l'histoire vous suit longtemps, une fois la dernière page tournée.

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Message par marie.m » jeu. déc. 19, 2013 9:07 am

L'avis de Louve :
(...) c'est le dénouement le plus étonnant qu'il m'ait été donné de lire sur un roman de ce genre.
Les solitudes de l'ours blanc est une perle, une monstruosité littéraire qui (...) m'a littéralement transportée de par le style poétique et fluide de l'auteur et par le duo Jenny/Marc si différent et pourtant si proche. À lire !

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