Et dire que le goût est objectif, un peu aussi.Virprudens a écrit :L'objectivité, c'est le mal.
Le retour de la légende?
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ubik: pas accès à youtube au boulot, je verrai ce soir.
Aldaran: T'es fou, tu vas te faire censurer par la Thought Police!
Virprudens: Le mal est une notion subjective.
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Listen now. Whoever you are, with these eyes of yours that move themselves along this line of text; whoever, wherever, whenever. If you can read this sentence, this one fragile sentence, it means you're alive. (Jeff Noon - Falling out of cars)
*lassitude*
C'est quand même pas ma faute si tant de gens ont mauvais goût.
(tiens, je pensais pas l'utiliser un jour celle-là.)
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- Virprudens
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Encore que... je me demande si la notion de vouloir être nuisible n'est pas objective, elle. C'est-à-dire, vouloir que les autres soient le plus mal possible. Evidemment, on peut se tromper, et améliorer leur sort par erreur au lieu de leur nuire, mais dans la volonté elle-même (nuire), je me demande si on ne peut parler de notion objective.Virprudens a écrit :Ouaip. Donc c'est bon, je suis cohérent.gutboy a écrit :Virprudens: Le mal est une notion subjective.
Oncle Joe
Ca c'est recevable. Si tu reconnais le fait que le gout est subjectif.Daelf a écrit :*lassitude*
C'est quand même pas ma faute si tant de gens ont mauvais goût.
(tiens, je pensais pas l'utiliser un jour celle-là.)
Mais ce n'était pas le moins du monde sur ce terrain que je me plaçais, si tu veux bien me relire. A aucun moment j'ai dit que je ne trouvais pas les couv. de Paternoster laides, ou que je les trouvais belles. Certaines sont laides. D'autres sont belles. Selon ma perception.
Je dis en revanche qu'en ce qui me concerne leur utilisation dans une collection de SF est pertinente, belles ou laides n'est pas pertinent de ce point de vue.
Et que dire que chose est belle ou laide n'est jamais objectif, malgré les tentatives fanatiques d'Eric "Thought Police"pour nous imposer le contraire .
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Ok vu. Old news pour qui a un enfant en bas age.kibu a écrit :Prévois les crayons de couleur.
Acidulées de préférence, les couleurs.
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Bon alors effectivement, je me suis mal exprimée. J'ai voulu dire que c'était objectivement mal fait. Et que donc je trouvais ça abominablement laid, avant et après analyse objective.
Quant à la "pertinence" de l'utilisation... tiens j'ai l'impression d'avoir déjà écrit cette phase.
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gutboy a écrit :
Et que dire que chose est belle ou laide n'est jamais objectif,
Si. Un étron est forcément moins beau qu'un collier de diamants. Ca, c'est objectif .
Tout comme je suis moins beau que Tom Cruise. Ca aussi c'est objectif, même si, sans me comparer à un collier de diamant, je le rapprocherais plus, lui, de l'étron...
"C'est comme une des œuvres de petits et exquis de l'art comme je pense que vous aimerez à croire que je suis droit dans votre propre de voir pour savoir."
Yoyoangel, bot.
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Non (le débat avance).Julien d'Hem a écrit :gutboy a écrit :
Et que dire que chose est belle ou laide n'est jamais objectif,
Si. Un étron est forcément moins beau qu'un collier de diamants. Ca, c'est objectif .
Tout comme je suis moins beau que Tom Cruise. Ca aussi c'est objectif, même si, sans me comparer à un collier de diamant, je le rapprocherais plus, lui, de l'étron...
Et des fois il suffit juste d'un détail : http://fr.youtube.com/watch?v=4xw3xmSk9l4
Pardon
Pardon
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De fait, je connais (hélas) des gens qui prennent plaisir à se comporter en nuisibles. Qui nuisent par méchanceté gratuite, sans rien en retirer sinon la satisfaction d'avoir causé des torts à autrui.Lensman a écrit :Encore que... je me demande si la notion de vouloir être nuisible n'est pas objective, elle. C'est-à-dire, vouloir que les autres soient le plus mal possible.
Plus objectif que ça, y'a pas !
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
1er stade de l'esthétique : les goûts et les couleurs. Chacun apprécie plus ou moins, réagit en fonction de son milieu culturel et de ses facultés de perception.
Pour moi, une couverture de livre se trouve dans ce domaine. On peut dégoiser sans fin là-dessus.
Rien d'objectif dans tout ça. Je suis même très étonné de trouver dans un forum de SF la notion d'objectivité appliquée à des éléments culturels. Il me semblait qu'une des choses qu'on retirait de la SF était une faculté à prendre du recul pour apprécier les divergences culturelles.
Dès lors qu'il est possible qu'une créature consciente considère réellement un étron comme plus beau qu'un collier en diamant, il est absurde de supposer entre ces deux objets un rapport objectif.
2e stade de l'esthétique : l'oeuvre d'art. Je ne suis pas qualifié pour en parler, mais je précise que la notion d'oeuvre d'art se confond pour moi avec le chef-d'oeuvre, c'est-à-dire avec l'oeuvre aboutie. La masse des artistes médiocres ou des simples artisans se situe dans le 1er stade. Le 2e stade de l'esthétique est transcendant. On n'est plus dans le comparatif, mais dans le superlatif. Une oeuvre d'art est en elle-même incomparable, parce que ce qui la fait chef-d'oeuvre est ineffable et indicible.
C'est dans ce 2e stade que se situe une éventuelle objectivité, fragile et indémontrable de toute façon.
tout ça pour dire que les couvertures paternoster n'ont aucun effet sur moi. Je préfère les couvertures métalliques, mais c'est parce qu'en vieillissant j'ai de moins en moins fait attention aux couvertures, de toute façon.
Pour moi, une couverture de livre se trouve dans ce domaine. On peut dégoiser sans fin là-dessus.
Rien d'objectif dans tout ça. Je suis même très étonné de trouver dans un forum de SF la notion d'objectivité appliquée à des éléments culturels. Il me semblait qu'une des choses qu'on retirait de la SF était une faculté à prendre du recul pour apprécier les divergences culturelles.
Dès lors qu'il est possible qu'une créature consciente considère réellement un étron comme plus beau qu'un collier en diamant, il est absurde de supposer entre ces deux objets un rapport objectif.
2e stade de l'esthétique : l'oeuvre d'art. Je ne suis pas qualifié pour en parler, mais je précise que la notion d'oeuvre d'art se confond pour moi avec le chef-d'oeuvre, c'est-à-dire avec l'oeuvre aboutie. La masse des artistes médiocres ou des simples artisans se situe dans le 1er stade. Le 2e stade de l'esthétique est transcendant. On n'est plus dans le comparatif, mais dans le superlatif. Une oeuvre d'art est en elle-même incomparable, parce que ce qui la fait chef-d'oeuvre est ineffable et indicible.
C'est dans ce 2e stade que se situe une éventuelle objectivité, fragile et indémontrable de toute façon.
tout ça pour dire que les couvertures paternoster n'ont aucun effet sur moi. Je préfère les couvertures métalliques, mais c'est parce qu'en vieillissant j'ai de moins en moins fait attention aux couvertures, de toute façon.
Eriiiiiiiiic !!!! Censure-moi ça vite fait!!!silramil a écrit :Rien d'objectif dans tout ça. Je suis même très étonné de trouver dans un forum de SF la notion d'objectivité appliquée à des éléments culturels. Il me semblait qu'une des choses qu'on retirait de la SF était une faculté à prendre du recul pour apprécier les divergences culturelles.
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