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Anne
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Message par Anne » lun. oct. 30, 2006 11:19 am

Une copine disait à juste titre que les "petites" maisons d'édition publiaient autant de jolies choses que les "grosses". Simplement, les petites ont moins droit à l'erreur...Et pour cause!

Le principe de l'édition, si je ne m'abuse, ça a toujours été "un best seller pour neuf livres qui marcheront moins mais qui valent peut-être plus la peine..." Ou que l'éditeur a envie de défendre.

Des livres dits "de qualité" qui s'adressent surtout à un autre public.

Parce que tout est là: le lectorat.
J'ai toujours pensé qu'il y avait un livre pour chacun d'entre nous, voire même un livre pour chaque période de la vie et même chaque humeur.
Ce que j'aime dans la littérature, c'est cette diversité...

Et je trouve que les éditeurs répondent justement à cette diversité.

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marc
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Message par marc » lun. oct. 30, 2006 11:39 am

Anne a écrit :J'ai toujours pensé qu'il y avait un livre pour chacun d'entre nous, voire même un livre pour chaque période de la vie et même chaque humeur.
Comme c'est bien dit. Je pense que tu es dans le vrai. Reste à découvrir pendant notre existence ces livres qui nous collent au coeur et au corps. :)
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Papageno
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Message par Papageno » lun. oct. 30, 2006 12:19 pm

"Définissez moi "mauvais livre"
Facile ! J’aime pas = Mauvais livre CQFD ;-)

En plus c’est très relativiste comme théorie car

Pour l’éditeur
Vente faible = Mauvais livre

Pour l’intellectuelle
Vente forte = Mauvais livre

Pour le critique de littérature générale
SF = Mauvais livre

Pour l’amateur de SF
Fantasy = Mauvais livre
[/quote]

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marc
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Message par marc » lun. oct. 30, 2006 12:52 pm

Anne a écrit :Définissez moi "mauvais livre", young fellow! :)
Hum... un mauvais livre c'est :
- un livre où on sent que l'auteur l'a juste écrit pour se faire plaisir à lui (le spécialiste du nombrilisme).
- un livre trop facile (je préfère la collection pour les nuls qui est bien faite)
- un livre top compliqué (où seul l'écrivain comprend ce qu'il a écrit)
- un bestseller qu'on trouve sur tous les présentoirs des libraires
- un livre dont on fait trop de pub (au plus on fait de pub, au moins il y a de chances que je le lise)
- un roman où l'auteur essaie de faire passer ses convictions politiques (si je veux lire un livre sur le sujet, j'achèterai un essai)
- un livre écrit dans une langue que je ne comprends pas (en dehors du français ou de l'anglais). Il ne devient bon qu'une fois traduit !

Et puis comme Papageno, on a tous nos moments de mauvaise foi :)

En dehors de ça, je suis toujours ouvert à toute suggestion littéraire venant de la part des autres.
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Natacha
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Message par Natacha » lun. oct. 30, 2006 2:10 pm

Hop, rebonjour,

Finalement je vais passer plus de temps là-dessus que je ne l'aurais pensé :)
jerome a écrit : j'ai les mêmes échos d'une copine qui travaillait en 2004 dans une grosse librairie parisienne et qui m'expliquait qu'ils n'avaient pas toujours le temps d'ouvrir les cartons pour mettre les bouquins en place et que donc certains cartons repartaient aux éditeurs sans quasiment avoir été ouvert.
Je ne pense pas que ça ait changé.
Non, ça a même empiré en fait. Il suffit de faire une recherche sur Google, genre "rentrée littéraire 2006", et on tombe sur pas mal d'articles intéressants sur la question.
Avant de répondre je cherchais désespérement dans mes archives un article qu'il me semblait avoir enregistré sur la couleur "politique" de la rentrée, et la recrudescence des livres liés à ce topic, ainsi que des multiples biographies, "moi-moi-moi-j'ai vécu ça dans ce monde" et autres écrits de stars. Pas moyen de retrouver ce truc :/
Bref il y était aussi question, pourtant, de la façon sauvage dont certains diffuseurs placent d'office en librairie des quantités faramineuses d'ouvrages, dont certains n'ont même pas été commandés, ou commandés en plus petite quantité (genre, j'en veux 3, j'en reçois 10).
On imagine bien au final ce que ça donne quand les cartons de bouquins arrivent.
jerome a écrit :L'avenir n'est-il alors pas dans la spécialisation ? et encore à Paris peut-être, mais ailleurs ? Je ne sais pas comment fonctionne les librairies "spé" à Toulouse, Tours, Rennes ou Lyon...
Où est l'avenir, justement, toute la question est là. Et je ne prétends pas y répondre d'ailleurs.

Le truc c'est que justement, plus personne n'a de vision claire de ce que tout ça est en train de devenir. L'imprévisibilité des comportements d'achat fait partie de ce grand flou total.
La spécialisation ? Je ne sais pas. L'ésotérisme (on est dans le très spécialisé là) marchait plutôt pas mal jusqu'à il y a encore deux ou trois ans. Et là comme ailleurs, les chiffres dégringolent depuis quelques temps. Belles Lettres s'était fait une spécialité, notamment, des essais, des bouquins critiques. Et l'année dernière, moins 30% de vente dans cette branche-là. Ouch. Le genre de pente que tu ne remontes que si tu as par ailleurs des bouées de sauvetage un peu partout.

L'éditeur qui a un catalogue très spécialisé est en totale dépendance des évolutions du marché de sa branche et de sa branche seulement. Si elle commence à trembler, le risque de chute est grand. Je suppose que c'est pour ça que tous les majors ont des catalogues multispécialisés.
C'est ce qu'on aurait fait avec l'Oxymore si on en avait eu le temps et la possibilité. "Ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier", hum ? Quand ça va mal d'un côté, tu peux espérer que les autres aident à surmonter la vague.

Mais en ce moment, ça commence à aller mal de tous les côtés, pour tout le monde. Et ça se ressent dans l'inflation éditoriale.

Mouaip.

Natacha

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Natacha
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Message par Natacha » lun. oct. 30, 2006 2:43 pm

marc a écrit :Bonjour Natacha. Bienvenue sur ce forum.
Thanks :)
marc a écrit :C'est vrai qu'à certaines périodes on a l'impression que les éditeurs nous inondent de livres, que les libraires ne savent plus ou mettre les nouveautés, et que le lecteur a toutes les peines du monde à retrouver ses petits dans cette avalanche de sorties littéraires.
Dorénavant, ce n'est plus tant "à certaines périodes" que "tout le temps".
Notre diffuseur nous disait que certaines maisons d'édition disparaissaient des rayons par catalogues entiers, faute de place. Ce printemps / cet été, la plupart multipliaient les opérations commerciales (un livre offert pour un livre acheté, la photo de ma mère pour un livre acheté, enfin vous voyez quoi, des opérations) pour tenter de retrouver une place en rayon. Et le diffuseur disait que les représentants étaient reçus "à coup de pelle" (sic) par les libraires, qui n'en pouvaient plus. Parce que la place matérielle est une chose, et que tu as beau multiplier les opérations tant que tu veux, tu ne fais pas augmenter le nombre de mètres de linéaire disponible.
marc a écrit :Sans parler du fait que ce dernier a un budget et un temps limité.
Ah oui, le budget. De fait. Je quote ma sister sur ce coup-là, puisqu'il est question de son "claviers libres" par ailleurs :
Léa Silhol a écrit :Mais aussi et surtout, ils achètent moins. Et pour cause… que ceux qui n’ont pas vu leurs revenus s’effondrer ces dernières années lèvent la main. Que ceux qui ne sont pas étranglés par leurs loyers et les prix du ‘minimum vital’(mais non mais non qui ne montent pas c’est une illusion tout va bien) fassent de même.
Yep. On n'a plus un rond, ou pas grand-chose, tous autant qu'on est. Donc par une simple équation on peut déduire que "plus de livres tirés"+"moins d'argent chez les lecteurs"=beaucoup de livres au pilon en fin d'année.

Mais voilà. Les éditeurs n'étant plus capables (ce n'est pas un reproche, mais un constat) d'anticiper ce qui va, ou non, pouvoir se vendre, beaucoup d'entre eux tirent dans toutes les directions, en espérant qu'ils feront mouche sur au moins quelques cibles. Et le résultat, à mon avis, est encore plus catastrophique.
marc a écrit :Je n'ai pas encore compris la stratégie des éditeurs à ce sujet. Il faudrait que quelqu'un m'explique...
Je ne sais pas s'il y a grand-chose de plus à expliquer. On peut essayer de brosser un panorama global des différentes attitudes possibles, mais ce sera forcément schématique.
Bon, essayons quand même :

- Tu es un éditeur à conviction (désolée, je ne trouve pas de mot plus adéquat) : aka, tu aimes un certain genre de livres, de littérature, tu as un message à faire passer, une vision précise des livres que tu veux accoucher. Exemples concrets : en imaginaire, les Moutons électriques, évidemment. En ésotérisme, les éditions de Janus, par exemple. En ethno (et autres), les éditions Indigènes. A la base tu trouves toujours une petite équipe qui partage des valeurs littéraires qui leur sont communes. Le processus de publication d'un livre part du livre comme source ("Tiens, on a envie de travailler sur ça. Tiens, l'auteur X nous a proposé ça, whaaaa, quel projet de feu !"). On fantasme un livre en tant qu'entité parfaite qui a sa place en ce monde. On lui donne vie. Il arrive en librairie. Et ensuite, tu commences à prier pour que ça marche. Si tu as de la chance / un bon service de com / un pays où les gens ont du temps et des sous / whatever, le livre marche bien. Ouééé ! Tu peux en sortir d'autres. Merveilleux.

- Tu es un éditeur dans un grand groupe. Tu as 300 employés à payer à la fin de chaque mois, et des factures d'imprimeur qui compte plus de zéros que la plupart d'entre nous n'en verraient même en additionnant leurs salaires sur 10 ans. Tu peux avoir dans tes équipes éditoriales des gens qui veulent défendre et publier certains bouquins auxquels ils tiennent. Oui. Mais. Les factures à payer. Le service de pub qui se chiffre en dizaine de milliers d'euros (au moins). Alors la plupart du temps, le processus de publication d'un livre va partir de l'étude marché comme source. Qu'est-ce qui a une chance de rapporter gros ? Ok. Faire un tour sur l'imdb pour voir le planning de sortie des films de l'année prochaine, et trouver trois auteurs (ou sortir de la pile de manuscrits) pour écrire des études sur Marie-Antoinette. Faire le tour de l'actualité et sortir trois bouquins sur les crises / la politique / etc., si possible sous couverture accrocheuse. Faire le tour des stars du moment et regarder si on peut publier un livre sur elles (ou d'elles, encore mieux). On est à quelle époque de l'année ? Printemps ? Hop, trois livres sur les régimes. Automne ? Hop, trois livres sur les régimes. Eté ? "Mes vacances idéales à Ibizza", etc.
Avec ça, tu espères tirer ton épingle du jeu, et pouvoir financer le reste (quand il y en a.)

- Tu es un éditeur entre ces deux extrêmes. Et pour pouvoir financer les livres auxquels tu crois, tu acceptes parfois de transiger un peu et de publier des choses que tu considères comme pourries ou sans intérêt, juste parce qu'il faut gagner le blé.

Bon, je fais une pause, j'ai les doigts qui chauffent :)

Natacha

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Anne
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Message par Anne » lun. oct. 30, 2006 5:30 pm

marc a écrit :
Anne a écrit :Définissez moi "mauvais livre", young fellow! :)
Hum... un mauvais livre c'est :
- un livre où on sent que l'auteur l'a juste écrit pour se faire plaisir à lui (le spécialiste du nombrilisme).
- un livre trop facile (je préfère la collection pour les nuls qui est bien faite)
- un livre top compliqué (où seul l'écrivain comprend ce qu'il a écrit)
- un bestseller qu'on trouve sur tous les présentoirs des libraires
- un livre dont on fait trop de pub (au plus on fait de pub, au moins il y a de chances que je le lise)
- un roman où l'auteur essaie de faire passer ses convictions politiques (si je veux lire un livre sur le sujet, j'achèterai un essai)
- un livre écrit dans une langue que je ne comprends pas (en dehors du français ou de l'anglais). Il ne devient bon qu'une fois traduit !

Et puis comme Papageno, on a tous nos moments de mauvaise foi :)

En dehors de ça, je suis toujours ouvert à toute suggestion littéraire venant de la part des autres.
J'adhère!

Et on est donc d'accord que l'objectivité n'entre pas en ligne de compte dans ce cas précis! :)

Moi, j'ai rien contre les best sellers: j'ai lu le Seigneur des Anneaux! !! :)

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Qui?
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Message par Qui? » lun. oct. 30, 2006 5:37 pm

tiens j'ai une autre façon de dire les chose.
Pour moi il n'y a pas de mauvais livres juste des livres que j'aime et d'autre que je n'aime pas.

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Laurent Kloetzer
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Message par Laurent Kloetzer » mar. oct. 31, 2006 10:16 am

Qui? a écrit :tiens j'ai une autre façon de dire les chose.
Pour moi il n'y a pas de mauvais livres juste des livres que j'aime et d'autre que je n'aime pas.
Un peu facile, n'est-il pas?
On tombe sur le travers habituel de la critique artistique: "tous les gouts sont dans la nature, on ne peut pas critiquer parce qu'on a des goûts différents, etc".
Deux choses:
* il existe des "mauvais" livres. Et des "bons" livres. Avec des critères partageables (et discutables et qui évoluent dans le temps, mais relativement fiables) qui permettent de les identifier. Si ce genre de critères d'appréciation n'existaient pas, jamais un écrivain ne pourrait progresser dans son travail.
* il existe des livres que j'aime et des livres que je n'aime pas.
(on peut appliquer ça à des films, à des images, ce que vous voulez)

Et, corollaire très important, il n'y a pas de honte à aimer un mauvais livre. Et les gens qui aiment de mauvais livres ne sont pas des cons.

Par exemple, j'adore Robert Howard (pas seulement, mais notamment). Howard a écrit un paquet de textes très mauvais, alimentaires, que j'aime beaucoup. Mais jamais je ne dirai que ce sont de bons textes. Littérairement, ils sont mauvais. Point.
De même, je viens de relire un de mes textes fondateurs, le début du "cycle des épées", mauvaise rencontre à Lankhmar. L'histoire est cool, les personnages aussi... Mais l'écriture, la narration... Pfff... Quelle plaie! J'aime toujours, ça ne m'empêche pas d'aimer, mais il faut bien reconnaître que ça ne tient pas bien la route (j'ai l'intention de relire d'autres textes de Leiber pour voir s'ils me font le même effet).

Bon pardon, j'ai dévié un peu du sujet
:roll:

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Message par marc » mar. oct. 31, 2006 11:52 am

Laurent Kloetzer a écrit :..., il n'y a pas de honte à aimer un mauvais livre. Et les gens qui aiment de mauvais livres ne sont pas des cons. :roll:
Je plussoie. Je crois qu'on a tous des mauvais livres qu'on aime bien, et cela ne fait pas de nous des cons pour autant. C'est un paradoxe, mais c'est comme ça. :)
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Message par Papageno » mar. oct. 31, 2006 1:53 pm

On tombe sur le travers habituel de la critique artistique: "tous les gouts sont dans la nature, on ne peut pas critiquer parce qu'on a des goûts différents, etc".
En fait, je crois qu’on veut deux choses contradictoires
D’une part on voudrait une définition suffisamment solide pour permettre de distinguer sans ambiguïté entre ce qui est bon ou ce qui est mauvais. Mais cela dévient très vite rigide, et élimine des écris qui ne correspondent pas aux critères définis. D’Ailleurs, quand on parle de style, il suffit de lire des avis diamétralement opposés pour avoir quelque doute sur la pertinente de ce point de vue.
Du coup, on penchera plutôt en faveur d’une définition que laisse de la place à la subjectivité, mais la, on en arrive très vite à un relativisme absolu qui dit que tout se vaut, que c’est seulement une affaire de goût. Cette façon de voir n’est pas très satisfaisante non plus, dire par exemple que J Guieu vaut C Priest, Cela gène un peu aux entournures!
Alors que faire? Moi j’ai renoncé à chercher une définition, je reste dans l’approximatifs! Mais, en tant que professionnel et en raison de sa plus grande expérience, je comprends qu’un écrivain ou un critique ait besoin d’une vision bien plus précise et beaucoup plus pertinente.
Bon je crois qu’on continue a faire dévier le sujet!

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Nick_Holmes
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Message par Nick_Holmes » mar. oct. 31, 2006 5:28 pm

Papageno a écrit : Pour l’amateur de SF
Fantasy = Mauvais livre
Je sors mon fouet ou mon phaser ? :p

Du bon Howard, cela vaudra tjs mieux qu'un mauvais Aubenque.
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