Gérard Klein a écrit :Mais je ne crois pas que les grands groupes d'édition soient menacés. Au contraire, il y aura un mouvement supplémentaire de concentration. Sur quoi croyez-vous que Hachette se fasse du blé?: Dan Brown, Stephanie Meyer, très marginalement B.W. après qu'Albin s'est servi.
Et Editis: Marc Lévy et alii.
Les supports, comme Google, ont besoin de titres. Les éditeurs ont ou auront besoin de supports. Donc, ils passeront des accords comme aujourd'hui Hachette et Google.
Inversion de la cause et de l'effet.
La concentration a déjà eu lieu.
Les grands groupes ont intégré la distribution en leur sein.
Je ne vais pas t'apprendre qu'en économie appliquée au produits intellectuels, ce qui rapporte ce sont les flux et pas les produits eux-même.
Un tout petit peu de méca flux appliqué à la
chaine du livre permet de regarder le passé, le présent et de proposer des avenirs possibles.
Google n'a pas besoin de titres ; un seul lui suffirait si il était le seul gestionnaire du flux.
Ce serait 'achement plus rentable en terme de coût d'exploitation...
JDB a écrit :Hoêl a écrit :Je suis peut-être naïf , mais des livres piratés , il y en a vraiment beaucoup ?
J'ai plutôt l'impression que ça intéresse des lecteurs qui , majoritairement , semblent se reporter sur des occases .
Et des librairies qui voient plonger leur chiffre d'affaire, il y en a beaucoup ?
Mais, si ça se trouve, ça n'a aucun rapport.
The most merciful thing in the world, I think, is the inability of the human mind to correlate all its contents.
H.P. Lovecraft, "The Call of Cthulhu"
Quelques éléments d'appréciation si l'on veut faire des corrélations.
Pour chaque C$lt$ra qui s'est ouvert dans une ville préfecture sur les années 2009 et 2010, il s'est fermé dans ces mêmes villes, en moyenne, 1,3 librairie.
Des fois je me demande si les rapports "économiques" payés à grands frais par les professionnels sont lus par ces mêmes professionnels ?