Il y a (au moins) un troisième cas de figure : plus on écrit, plus certaines choses deviennent faciles et l'on en profite pour essayer des trucs qui le sont moins. Dans ce cas, les "automatismes" sont un tremplin.thomasday a écrit :Il y a deux cas de figure :
Plus on écrit, plus on se rend les choses dures (tout seul sans l'aide de personne).
Plus on écrit, plus on s'automatise.
Tu serais pas un peu luddite, toi ?thomasday a écrit :En fiction, chaque texte a besoin d'outils appropriés qui peuvent (doivent ?) être différents des outils utilisés lors de la rédaction du texte précédent ; ce qui, de fait, empêche l'automatisation.
Plus sérieusement, quand on écrit un texte, le précédent, on s'en fout, on l'a oublié, on ne le compare pas avec celui qu'on est en train de rédiger.
Généralisation abusive, et je sais de quoi je parle.thomasday a écrit :(C'est sans doute pour ça que je n'aime guère les séries, où vite l'écriture passe en mode automatique et perd grand intérêt).
Faut pas se focaliser comme ça sur l'écriture, camarade, c'est juste un vecteur.