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c'est bien parce qu'il y a les anthos que je m'autorise à parler de l'équivalent d'une ligne éditoriale.MF a écrit :s" et les "anthologies du CC" (j'en parle librement, ne participant à aucun des deux).
On aime ou on aime pas, mais il se dégage au fil des mois (que dis-je, des mois, au fil des ans) l'équivalent d'une ligne éditoriale structurée à laquelle moi, lecteur, je peux ou pas m'identifier (et tout ou partie).
Non.Erion a écrit :Mais existe-t-il une "direction éditoriale" dans les anthos du CC ?MF a écrit :s" et les "anthologies du CC" (j'en parle librement, ne participant à aucun des deux).
On aime ou on aime pas, mais il se dégage au fil des mois (que dis-je, des mois, au fil des ans) l'équivalent d'une ligne éditoriale structurée à laquelle moi, lecteur, je peux ou pas m'identifier (et tout ou partie).c'est bien parce qu'il y a les anthos que je m'autorise à parler de l'équivalent d'une ligne éditoriale.
1% de 100 ça fait 1.Lensman a écrit :Là, tu as raison, je l'admets.MF a écrit :[C'est un des énormes avantages du net . Autant la relève était difficile à assurer du temps de la ronéo et du stencil (problème logistique, éloignement géographique...), autant aujourd'hui elle est devenue presque évidente.
Mais d'un autre côté, le nombre de propositions en texte augmente de manière effarante...
Oncle Joe
Seulement, plus ton échantillon sera énorme, plus tes chances de tomber sur une longue série de trucs impubliables va augmenter... les probabilités sont un domaine trompeur, par toujours compréhensible intuitivement...Fabien Lyraud a écrit :1% de 100 ça fait 1.Lensman a écrit :Là, tu as raison, je l'admets.MF a écrit :[C'est un des énormes avantages du net . Autant la relève était difficile à assurer du temps de la ronéo et du stencil (problème logistique, éloignement géographique...), autant aujourd'hui elle est devenue presque évidente.
Mais d'un autre côté, le nombre de propositions en texte augmente de manière effarante...
Oncle Joe
1% de 1000 ça fait 10 etc
Tout ça pour dire que plus il y a de textes reçus plus il y a de textes publiables.
Faire de la veille littéraire sur le net ne sert à rien pour la simple et bonne raison que ce qu'on reçoit directement + ce qu'on retient de la veille sur les parutions étrangères qui marchent suffisent à remplir le calendrier des parutions. Si jamais une publication internet atteint un niveau de notoriété fabuleux, l'information arrivera d'elle-même, inutile de faire de la veille.Fabien Lyraud a écrit :
1% de 100 ça fait 1.
1% de 1000 ça fait 10 etc
Tout ça pour dire que plus il y a de textes reçus plus il y a de textes publiables.
Voilà. Tous les éditeurs, gros ou petits que je connais vous diront la même chose : un bon bouquin finit toujours par trouver un éditeur. Toujours. le reste c'est du mythe. Ou un moyen de se rassurer...Virprudens a écrit :Ceux qui arguent du manque du troisième ont en réalité un déficit énorme du premier.Fabien Lyraud a écrit :C'est dommage pour ceux qui ont du talent, qui bossent et qui n'ont pas de chance. C'est ce dernier facteur qui pose problème.
Sans parler de mode, on peut avoir du talent, bosser, ne pas avoir spécialement de malchance (j'adore ceux qui éliminent le facteur chance comme si on était tous égaux face à ça) et faire des choses trop marginales, pour lesquelles le créneau est trop étroit...Fabien Lyraud a écrit :Il faut compter avec les modes. Quand l'agent américian Coleen Lidsay dit sur son blog (the swivet) qu'elle a du mal a placer certains de ses auteurs chez les éditeurs car ils ne correspondent pas aux tendances du moment. C'est également un facteur avec lequel il faut compter. C'est moins vrai en France qu'outre atlantique.
