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et tu te venges en remerciant l'éditeur quand tu reçois ta médaille d'or au pingpong (c'est un jeux olympiques au moins ?) ou tu l'inondes de macramé tout moche (je sais c'est presque un pléonasme) ?dracosolis a écrit : sauf si les raisons, c'est que le pingpong ou le macramé te rendraient plus utile au genre humain que l'écriture, et que lorsqu'on contemple ta prose, on pense immédiatement au prix darwin par pitié
en fait noncéline B a écrit :et tu te venges en remerciant l'éditeur quand tu reçois ta médaille d'or au pingpong (c'est un jeux olympiques au moins ?) ou tu l'inondes de macramé tout moche (je sais c'est presque un pléonasme) ?dracosolis a écrit : sauf si les raisons, c'est que le pingpong ou le macramé te rendraient plus utile au genre humain que l'écriture, et que lorsqu'on contemple ta prose, on pense immédiatement au prix darwin par pitié
Et quand ils font les deux successivement, on appelle ça du tir aux pigeons.céline B a écrit :ayant une nouvelle publiée dans un recueil d'une petite maison d'édition qui a un forum, on se trouve exposé aux critiques des gens qui soient te portent aux nues, soit te flinguent à la kalachnikov !!
J'ai perdu ma confiance à l'espèce humaine (les édieturs en font bien partie non ?Lensman a écrit :Dans ce vieux problème des relations auteurs/éditeurs, les auteurs débutants ont souvent tendance à voir l'éditeur comme un prof qui donnerait une note. Mais ce n'est pas du tout cela: l'éditeur est censé PUBLIER des livres. S'il se lance trop dans un discours du genre "c'est pas mal, mais", il va surtout s'attirer des problèmes avec l'apprenti-auteur, qui va se mettre à rêver, et qui a toute les chances d'essuyer un refus final. L'éditeur ne peut répondre sérieusement qu'à quelqu'un qu'il compte effectivement publier à 90% après avoir parcouru le manuscrit.
C'est vraiment un métier très dur.
Oncle Joe
) il y a bien longtemps. J'ai posté ma question intiale pour savoir à quoi m'attendre. J'ai eu ma réponse.
C'est quand même mieux qu'une lettre-type, non?Une fois de plus et plus que jamais, nous croulons sous les piles de manuscrits français à lire! Chers auteurs amateurs, nous vous aimons bien et ne voudrions pas vous décourager. Mais, dans le meilleur des cas même si votre texte génial était reconnu pour le petit chef-d'oeuvre qu'il est, il lui faudrait attendre des années avant de paraître dans la revue, en raison de l'embouteillage au portillon. Alors... reconvertissez-vous, recyclez-vous, lancez-vous dans la culture de la pomme de terre. C'est sain et c'est rentable...
Y'a aussi l'encart sur le site des Moutons Electriques :Patrice a écrit :C'est quand même mieux qu'une lettre-type, non?Une fois de plus et plus que jamais, nous croulons sous les piles de manuscrits français à lire! Chers auteurs amateurs, nous vous aimons bien et ne voudrions pas vous décourager. Mais, dans le meilleur des cas même si votre texte génial était reconnu pour le petit chef-d'oeuvre qu'il est, il lui faudrait attendre des années avant de paraître dans la revue, en raison de l'embouteillage au portillon. Alors... reconvertissez-vous, recyclez-vous, lancez-vous dans la culture de la pomme de terre. C'est sain et c'est rentable...
Au moins, c'est clair. Ils ont leur pool d'auteurs, et ils n'en sortent pas. C'est froid, c'est pas sympa, mais c'est honnête. J'hésite sincérement entre les applaudir et leur vomir dessus.Notre calendrier de publications étant complet pour le moment, nous informons les auteurs que nous ne désirons pas recevoir de textes qui n’auraient pas été sollicités. En conséquence, tout envoi de ce type ne sera pas retourné et aucune suite ne pourra y être donnée. Il est donc inutile de nous contacter sur la procédure à suivre pour soumettre des textes.
Je comprends bien qu'ils ne sont pas là pour corriger les manuscrits. Si vosu relisez ma question de départ, vous verrez que je voulais seulmemtn savoir s'il y aavit uns raison précise (voir les 3 exemples que j'ai donné) ou si c'était la même réponse qu'elle soit la raison."Le" applaudir ou "lui" vaumir dessus. Tu te crois en face de quoi ? D'un consortium de 20 000 personnes ? C'est UN gus, tout seul, qui a engagé toute ses éconocroques pour monter sa boite, qui bosse 20 h sur 24, et qui a 300 manuscrits non sollicités entassés dans son couloir au point qu'il en est réduit à passer par la fenêtre. Tout ça pour une société d'édition, où la faillite est un avenir bien plus probable que la fortune.Virprudens a écrit :Au moins, c'est clair. Ils ont leur pool d'auteurs, et ils n'en sortent pas. C'est froid, c'est pas sympa, mais c'est honnête. J'hésite sincérement entre les applaudir et leur vomir dessus.
ajoutons qu'il n'entre pas dans les obligations sociales des éditeurs de recevoir les manus, non plusKatioucha a écrit :"Le" applaudir ou "lui" vaumir dessus. Tu te crois en face de quoi ? D'un consortium de 20 000 personnes ? C'est UN gus, tout seul, qui a engagé toute ses éconocroques pour monter sa boite, qui bosse 20 h sur 24, et qui a 300 manuscrits non sollicités entassés dans son couloir au point qu'il en est réduit à passer par la fenêtre. Tout ça pour une société d'édition, où la faillite est un avenir bien plus probable que la fortune.Virprudens a écrit :Au moins, c'est clair. Ils ont leur pool d'auteurs, et ils n'en sortent pas. C'est froid, c'est pas sympa, mais c'est honnête. J'hésite sincérement entre les applaudir et leur vomir dessus.
D'ailleurs, le jour où il fera faillite, je me demande combien de ces auteurs qui trouvent que toute "son" attention "leur" est due auront la présence d'esprit de penser à lui offrir un sandwich...
Il n'y a pas que les écrivains qui travaillent et qui prennent des risques, en ce monde.
je suppose que quand t'es auteur, lecteur, éditeur, tu finis par te faire sauter le caisson de déprimegutboy a écrit :Les milliers d'auteurs se plaignent de ne pas pouvoir publier leux textes, les centaines d'éditeurs se plaignent de ne pas pouvoir vendre leurs livres, et les millions de lecteurs se plaignent qu'il y a trop de mauvais livres. Argh.
