scooooop!Florent a écrit :Je sais que ça n'est pas le sujet, mais dans la chaîne de l'édition, l'écrivain, sans qui ce marché n'existerait pas, c'est vraiment le parent pauvre. 5%...
les maisons d'éditions honnêtes vont à 8 quand même
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Frédéric Dard – le papa de San-Antonio – avait réussi, les dernières années, à obtenir 27% (mais Fleuve Noir ne lui payait plus ses frais de représentation, sinon il restait à... 24%).Florent a écrit :J'ai entendu dire que certaines stars montaient à 20%.:
Alors déjà, auteur reconnu, ce n'est pas vraiment mon cas (ou alors on n'a pas la même définition du truc). Disons que je suis dans la catégorie des auteurs dont l'éditeur pense que les livres ne vont pas faire un four absolu (genre 300 exemplaires vendus), mais pas cartonner non plus, loin de là. Ça aussi, ça peut jouer : pas tant le fait d'être reconnu ou pas, mais celui d'avoir publié des livres qui se sont très bien vendus.Florent a écrit :En général, on dit que les auteurs reconnus gravitent autour de 10%, ce qui est probablement le cas de Mélanie, qui ne nous le dira sûrement pas
Ca n'existe probablement pas. Lire un tas de nouvelles demande déjà un sacré travail, je vois mal un jury s'attelant à la lecture de romans tapuscrits.céline B a écrit :connaissez vous des concours où on peut soumettre un premier roman (quelque soit le sujet, ps forcément SF) ? j'ai fait quelques recherches sur le net et j'ai pas trouvé grand chose d'enthousiasmant.
Pour un premier roman, soit un pourcentage tout seul (moi, je vote pour 8 %), soit un a-valoir (1000 ou 2000 euros) + pourcentage (je vote pour 7 %).sans vouloir être indiscrète, pour un premier roman, les auteurs touchent combien ? c'est un pourcentage sur les ventes ? c'est un montant global ?..
On LIT son contrat et on le corrige, on le discute, on négocie.> on cède tous nos droits à l'éditeur ?
Tout ça est contractualisé en même temps, en principe. Et aussi (un peu moins) probable que de devenir Houellebecq à la place de Houellebecq. Aussi convient-il de ne pas trop se prendre la tête à l'avance.traduction, possibilité d'adaptation cinématographique ?...
J'ai souvenir d'un prix du roman fantastique décerné à Gérardmer, je crois, qui fonctionnait sur ce principe. Il en existe peut-être d'autres, mais je n'en connais aucun exemple actuel.Katioucha a écrit :Ca n'existe probablement pas. Lire un tas de nouvelles demande déjà un sacré travail, je vois mal un jury s'attelant à la lecture de romans tapuscrits.
Puisqu'on en parle... il ne rase pas les murs, ce monsieur, depuis que sa maman est revenue d'entre les morts ? Je ne connais pas les détails de l'histoire mais elle m'a semblé rigolote, sa maman.céline B a écrit :devenir Houellebecq à la place de Houellebecq
Mélanie, c'est également une question qui m'intéresse, pour un premier roman, c'est quoi un chiffre de vente pas trop mal ? 500 ?Mélanie a écrit :Alors déjà, auteur reconnu, ce n'est pas vraiment mon cas (ou alors on n'a pas la même définition du truc). Disons que je suis dans la catégorie des auteurs dont l'éditeur pense que les livres ne vont pas faire un four absolu (genre 300 exemplaires vendus), mais pas cartonner non plus, loin de là. Ça aussi, ça peut jouer : pas tant le fait d'être reconnu ou pas, mais celui d'avoir publié des livres qui se sont très bien vendus.Florent a écrit :En général, on dit que les auteurs reconnus gravitent autour de 10%, ce qui est probablement le cas de Mélanie, qui ne nous le dira sûrement pas
Et dans mon cas, c'est plutôt 7% que 10%, mais le pourcentage augmente au-delà d'un certain seuil de ventes.
Bon je ne m'appelle pas Mélanie, mais je me permets de m'incruster dans la discussion :céline B a écrit : Mélanie, c'est également une question qui m'intéresse, pour un premier roman, c'est quoi un chiffre de vente pas trop mal ? 500 ?