Pas faux, mais pour un gouvernement qui est obsédé par par le contrôle des infos qui transitent sur le net, on frôle l'abstraction : une opinion émise sur un média public, donc laissant une trace, mais relevant de l'ordre du privé.Erion a écrit : On peut très bien imaginer que le législateur étende ce qui appartient à la vie privée à ces réseaux sociaux (plutôt que restreindre). Ca témoignerait de l'évolution de la société sous l'influence d'internet, et ne ferait que revenir à des situations antérieures qui n'étaient pas forcément mal vécues.
Pas sûr que ce genre de gymnastique conceptuelle soit à la portée du premier législateur d'hadopi venu.