manu a écrit :ouah le raprochement... ça me pique les yeux...tu y etais , tu as vecu cette époque ,tu as refusé??? on ne parlais pas de pression sociale ,la mais de veritables menaces donc autant eviter les raprochements bidons à la mode .
Cool, je me doutais bien qu'au moins un réagirait.
rmd a écrit :Y'a un truc qui s'appelle la pression sociale et qui fait que si, dans certains milieux, tu ne bois pas, ce sera plus dur de s'intégrer. Alors évidemment, tu n'es pas forcé stricto sensu, mais bon, le résultat est à peu près le même.
Hahahahahaha! Et une pression pour les moutons, une!
Pascal a écrit :Voilà, moi, je crois que c'est comme ça que ça a commencé. Ou non ?...
Oui, c'est vrai dans ton cas.
Listen now. Whoever you are, with these eyes of yours that move themselves along this line of text; whoever, wherever, whenever. If you can read this sentence, this one fragile sentence, it means you're alive. (Jeff Noon - Falling out of cars)