Aucune idée, sincèrement. A mon grand tort, je ne me suis jamais réellement intéressée à la question je dois dire, n'ayant jamais eu de problèmes auparavant (j'ai toujours retouché des impôts, et des sommes importantes en plus, je ne m'attendais pas à avoir ce problème).Fabien Lyraud a écrit :Le précompte professionnel je suppose que c'est l'équivalent de notre assurance chomage.
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Je viens de regarder: nous, c'est l'équivalent de deux mois bruts (un peu plus). Retenus en général à l'avance, sauf donc dans le cas du chômage (maintenant, je sais...). Vous payez moins d'impôts en France alors...? (mais je crois qu'on a un meilleur système de sécurité social, non?)(enfin, plus pour longtemps si Bart de Wever devient premier, mais ça, c'est une autre histoireSand a écrit :Quand on n'a ni conjoint ni gosse ni rien de spécial, en général, en France, impôts année pleine = un mois de salaire brut (environ).
Après, faut se gérer son budget en ayant ça en tête.
Et ne pas oublier les "petits trucs" pas prélevés tout de suite, mais faisant l'objet d'un rattrapage.

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Oui, c'est ça (un peu plus si on a un bon salaire, un peu moins pour un petit salaire)Quand on n'a ni conjoint ni gosse ni rien de spécial, en général, en France, impôts année pleine = un mois de salaire brut (environ).
Maintenant je ne sais pas si tu compte aussi les impôts locaux qui s'ajoutent et qui sont en ce moment en train d'exploser dans les villes et qui avant peu seront du même ordre de grandeur que les impôts sur le revenu
ça dépend ce qu'on met sous le mot "impôts", en fait.
Sur le seul impot sur le revenu, il faut savoir qu'il est progressif, on a des tranches. Sur les X premiers milliers d'euros, on paie un certain pourcentage, sur les milliers suivants, un autre pourcentage (plus elevé) et ainsi de suite pendant 6 ou 7 tranches. Le pourcentage de la tranche la plus élevée est appelé taux marginal (taux de la marge supérieure) et est souvent mis en avant sur le ton "les riches paient ce taux d'impots", ce qui est faux puisque ce pourcentage n'est appliqué qu'à la partie des revenus qui dépassent une certaine somme (borne inférieure de la dernière tranche), sur les premiers milliers d'euros de revenus, c'est le même pourcentage peu elevé que celui des bas salaires qui a été appliqué.
Donc le pourcentage global qu'on paie varie selon les revenus. Ce que j'ai indiqué n'est qu'une indication, pour les personnes qui gagnent "normalement", on va dire.
Ensuite, on a des parts. Le revenu est celui d'un foyer, il est ajusté au nombre de personnes dans le foyer. L'idée dessous, c'est que c'est pas pareil de vivre seul ou à 4 sur un salaire. Donc on divise le revenu par le nombre de parts du foyer (2 conjoints = 2 parts, les enfants valent une demi-part, une part entière à partir du 3e enfant)
Du coup, si on ne parle que des impots sur le revenu, un foyer sur deux ne paie pas d'impot.
Mais c'est plus difficile à expliquer en une phrase que "les riches se barrent !"
Sur le seul impot sur le revenu, il faut savoir qu'il est progressif, on a des tranches. Sur les X premiers milliers d'euros, on paie un certain pourcentage, sur les milliers suivants, un autre pourcentage (plus elevé) et ainsi de suite pendant 6 ou 7 tranches. Le pourcentage de la tranche la plus élevée est appelé taux marginal (taux de la marge supérieure) et est souvent mis en avant sur le ton "les riches paient ce taux d'impots", ce qui est faux puisque ce pourcentage n'est appliqué qu'à la partie des revenus qui dépassent une certaine somme (borne inférieure de la dernière tranche), sur les premiers milliers d'euros de revenus, c'est le même pourcentage peu elevé que celui des bas salaires qui a été appliqué.
Donc le pourcentage global qu'on paie varie selon les revenus. Ce que j'ai indiqué n'est qu'une indication, pour les personnes qui gagnent "normalement", on va dire.
Ensuite, on a des parts. Le revenu est celui d'un foyer, il est ajusté au nombre de personnes dans le foyer. L'idée dessous, c'est que c'est pas pareil de vivre seul ou à 4 sur un salaire. Donc on divise le revenu par le nombre de parts du foyer (2 conjoints = 2 parts, les enfants valent une demi-part, une part entière à partir du 3e enfant)
Du coup, si on ne parle que des impots sur le revenu, un foyer sur deux ne paie pas d'impot.
Mais c'est plus difficile à expliquer en une phrase que "les riches se barrent !"
- dracosolis
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je ne parle que des impots sur le revenu. Les taxes locales, c'est le maquis, entre la mairie le département la région, c'est nulle part pareil ; et avec l'Etat qui ne reverse pas ce qu'il doit aux régions et départements (et je voie pas où l'Etat prendrait cet argent, en plus...), ça ne va pas s'arranger.Papageno a écrit :Oui, c'est ça (un peu plus si on a un bon salaire, un peu moins pour un petit salaire)Quand on n'a ni conjoint ni gosse ni rien de spécial, en général, en France, impôts année pleine = un mois de salaire brut (environ).
Maintenant je ne sais pas si tu compte aussi les impôts locaux qui s'ajoutent et qui sont en ce moment en train d'exploser dans les villes et qui avant peu seront du même ordre de grandeur que les impôts sur le revenu
Et là c'est pas progressif et pas en fonction du nombre de personnes dans le foyer...

Quand j'ai commencé à bosser, j'ai eu la chance d'avoir des collègues du Trésor et des Impots en formation avec moi. Elles m'ont tout bien expliqué, ça me servira toute ma vie, merci les filles !
Sujet sensible en France les impôts, mais trop focalisé sur les imports sur le revenu à mon avis : au final, cet impot-là est probablement le "moins pire".
Sujet sensible en France les impôts, mais trop focalisé sur les imports sur le revenu à mon avis : au final, cet impot-là est probablement le "moins pire".
Sand a écrit :Quand j'ai commencé à bosser, j'ai eu la chance d'avoir des collègues du Trésor et des Impots en formation avec moi. Elles m'ont tout bien expliqué, ça me servira toute ma vie, merci les filles !
Sujet sensible en France les impôts, mais trop focalisé sur les imports sur le revenu à mon avis : au final, cet impot-là est probablement le "moins pire".
Oooooh, la chance! J'ai tout découvert sur le tas, et je dois dire que je bénie presqu'autant le "tax-on-web" prérempli que le GPS, parce que c'était vraiment la galère avant pour remplir ce truc.
Par contre, juste pour vous faire râler un peu, les impôts locaux sont moins importants ici. Quand on n'est pas propriétaire, on a juste une taxe hygiène et une taxe déchets à payer, et dans une ville de moyenne taille comme la mienne, ça représente 265€ par ans (moins quand on est en couple)(pas juste, encore une fois, mais bon).
- Soslan
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Il a évoqué les rêves, ça reléve dont de ces associations oniriques qui ont fondé la poésie surréalisteCachou a écrit :Je crois que je ne me lasserai jamais de tes associations d'idées!Lensman a écrit :Bon, après une heure de conversation téléphonique sur les garages et les rêves, je retourne lire.
Oncle Joe

Transition facile, j'ai fait un rêve troublant cette nuit, même si contrairement aux délires racontés quelques dizaines de pages plus loin son interêt était nul du point de vue de l'imaginaire.
Ca se passait chez les plus anciens amies de mes parents que j'ai connu, dont la fille cadette était ma meilleure amie et que j'ai perdu de vue après le divorce de mes parents et ses suites financières (je suis pris dans le rôle de Cosette ?).
Sauf que là tout n'était q'uun élement de décor, comme s'il n'y avait jamais eu de séparation et n'avait donc pas lieu à des retrouvailles. Et l'intrigue était une histoire ordinaire d'amourette naissante avec une femme légérement plus âgée que moi.
Ca fait trés cliché verlainien tout ça, mais ce qui m'a marqué et causé l'émotion est l'humanité que le rêve mettait derrière ce personnage féminin. Bien autre chose que les héros et héroïnes, les envoûteuses et les monstres ce mes rêves de môme, et que les personnages bien de chair des rêves récents qui viennent en général, assez platement, du réel.
Je me suis fait l'hypothése, fort probable, que cette alchimie onirique inhabituellement réussie était tous simplement une résurgence déformée de mon chantier romanesque actuel (manuscrit+notes pour quelques projets suivants).
Quand des personnages commencent à échapper à votre contrôle, je crois que c'est assez bon signe. Sans être une garantie de réussite, bien sûr.
"La Lune commence où avec le citron finit la cerise" (André Breton)
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