Salon du livre = les foires aux auteurs bestiaux ?
Modérateurs : Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
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Pathologie Virprudens
Je ne suis pas méchant, je suis lucide. Si j'étais méchant, c'est que je m'en prendrais à quelqu'un qui ne sait pas ce qu'il fait. Or il agit sciemment : il mérite donc d'être traité à l'aune de ce qu'il inspire.
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2e réponse sur les débats
Tout d'abord merci à ceux qui ont été constructifs.
Mon deuxième message vise toutefois à reformuler quelques angles car la toxicité de quelque imbécile a réussi à totalement orienter le débat :
- A vous lire on dirait que je ne parle que d'une chose : faire payer les dédicaces. On me fera grâce d'avoir été plus large, plus nuancé. Je dis : on ne fait plus venir les auteurs que pour des dédicaces, or les auteurs sont les seuls à ne rien gagner sur ce coup là, ni financièrement, ni humainement, ni en terme d'image ou de promotion. Je dis donc, payez les auteurs pour venir, ou inventez autre chose, ou payez les pour faire autre chose, et signer alors à l'occasion. Je pose aussi des questions aux festivaliers sur le sens de la vente massive comme alibi officiel du culturel, etc. Je pose plusieurs problèmes, dont celui de la rémunération des auteurs, oui, à travers ce prisme.
- Si des auteurs veulent signer gratos, qu'ils le fassent. C'est leur droit. Je considère simplement que la dédicace massive est sans intérêt pour le lecteur et l'auteur.
- Des réactions ici m'ont fait réfléchir à propos du contact avec le lecteur. Je suis du milieu polar : nous sommes, nous sans l'esprit du fandom (cette nuance me semble importante). On a beaucoup écrit sur le fandom : son ghetto qui se plaint d'être un ghetto... mais qui a en revanche ses propres liens sociaux, ses propres usages, ses propres et différentes relations auteurs/lecteurs que nous n'avons nous pas de façon similaire dans le polar. Dans le polar, depuis 95, j'ai vu évoluer un "fandom" qui dérivé en une exploitation cynique des bénévoles et des auteurs. Je le maintiens. Et dans le polar il sort plus de 1600 nouveautés par an. Les auteurs ne sont plus que de la bidoche. Le polar est saturé. Alors on en est à faire de l'abattage et dans un milieu qui se dit de gauche (mais qui doit gagner sa vie, je le dis à l'adresse d'un crétin qui sévit ici) on reproduit un système inégalitaire d'exploitation humaine et de perversité économique (les marges) qu'on prétend dénoncer. Y'a problème.
- Il y a plusieurs années, je gagnais agréablement bien ma vie, même sans être riche : les a valoir étaient honnêtes, il y avait des a-côtés. Je n'étais pas le seul. Nous en vivions sans avoir à monter en charge jusqu'à la nausée les ateliers d'écriture, toutes les combines, les interventions. Aujourd'hui, (par exemple on me payait pour écrire des chroniques en France et à l'étranger dans des magazines papier, aujourd'hui c'est du blog officiel et c'est gratos, presque la moitié de mes revenus a disparu) c'est devenu très dur. Et même des conférences ou des ateliers sont payés à plus de 6 mois... Alors oui, on regarde où ça merde. Sur la page FB d'Ayerdhal j'ai répondu aussi au point qu'il lève justement : c'est la distrib qui fausse tout. Ben oui, mais moi je vois aussi que dans un festival, sans être bénévole, je suis celui qui ne gagne rien, or, et Fabrice le confirmera sans doute, je travaille directement ou indirectement tous les jours. TOUS LES JOURS et pas que 8h. Car le métier d'auteur pro, ce n'est pas qu'écrire, c'est aussi fabriquer les conditions pour placer ou inspirer l'écriture, qu'elle qu'elle soit, et c'est pas du 35 h. /semaine.
Enfin, j'insiste : mon billet appelle aussi et surtout à repenser les festivals, les salons dans leurs aspects financiers, culturels, même politiques (vis à vis du politique : vendre c'est pas de la culture, ça c'est l'amalgame des publicitaires de Virgin). Son audience me dépasse toutefois, je ne m'y attendais pas. Je sens que j'ai appuyé sur un abcès non dit. Des festivaliers et pas des moindres me disent du coup vouloir y réfléchir. Des auteurs (polar ; jeunesse) approuvent et relaient...
On ne peut pas faire intervenir l'auteur autrement, le faire mieux découvrir qu'en signant seulement ? On ne peut pas le faire moins signer (ou signer après un débat, un "live" quelconque genre, si vous y tenez aux signatures) et mieux valoriser son travail? Pourquoi enfin peut-on parler d'argent dans tous les domaines artistiques et pas en écriture ? Pourquoi cela doit-il être si fortement une vocation que c'est sale de parler de fric ? Regardez les anglo-saxons et sortons-nous les doigts du cloaque de la littérature sacralisée comme un hobby bourgeois. Le monde a évolué depuis le livre de poche, et les livres côtoient les surgelés dans le chariot.
Enfin message personnel pour l'abruti méprisable qui se reconnaîtra et qui a de la chance que je ne sois pas le modérateur (qu'il a tort de traiter de Bisounours car sinon ledit imbécile n'aurait pas la parole) car moi j'aurais tôt tiré la chasse sur lui : être de gauche et défendre ses intérêts ou poser la question des intérêts de sa "corporation" me semble cohérent, pauvre con.
Mon deuxième message vise toutefois à reformuler quelques angles car la toxicité de quelque imbécile a réussi à totalement orienter le débat :
- A vous lire on dirait que je ne parle que d'une chose : faire payer les dédicaces. On me fera grâce d'avoir été plus large, plus nuancé. Je dis : on ne fait plus venir les auteurs que pour des dédicaces, or les auteurs sont les seuls à ne rien gagner sur ce coup là, ni financièrement, ni humainement, ni en terme d'image ou de promotion. Je dis donc, payez les auteurs pour venir, ou inventez autre chose, ou payez les pour faire autre chose, et signer alors à l'occasion. Je pose aussi des questions aux festivaliers sur le sens de la vente massive comme alibi officiel du culturel, etc. Je pose plusieurs problèmes, dont celui de la rémunération des auteurs, oui, à travers ce prisme.
- Si des auteurs veulent signer gratos, qu'ils le fassent. C'est leur droit. Je considère simplement que la dédicace massive est sans intérêt pour le lecteur et l'auteur.
- Des réactions ici m'ont fait réfléchir à propos du contact avec le lecteur. Je suis du milieu polar : nous sommes, nous sans l'esprit du fandom (cette nuance me semble importante). On a beaucoup écrit sur le fandom : son ghetto qui se plaint d'être un ghetto... mais qui a en revanche ses propres liens sociaux, ses propres usages, ses propres et différentes relations auteurs/lecteurs que nous n'avons nous pas de façon similaire dans le polar. Dans le polar, depuis 95, j'ai vu évoluer un "fandom" qui dérivé en une exploitation cynique des bénévoles et des auteurs. Je le maintiens. Et dans le polar il sort plus de 1600 nouveautés par an. Les auteurs ne sont plus que de la bidoche. Le polar est saturé. Alors on en est à faire de l'abattage et dans un milieu qui se dit de gauche (mais qui doit gagner sa vie, je le dis à l'adresse d'un crétin qui sévit ici) on reproduit un système inégalitaire d'exploitation humaine et de perversité économique (les marges) qu'on prétend dénoncer. Y'a problème.
- Il y a plusieurs années, je gagnais agréablement bien ma vie, même sans être riche : les a valoir étaient honnêtes, il y avait des a-côtés. Je n'étais pas le seul. Nous en vivions sans avoir à monter en charge jusqu'à la nausée les ateliers d'écriture, toutes les combines, les interventions. Aujourd'hui, (par exemple on me payait pour écrire des chroniques en France et à l'étranger dans des magazines papier, aujourd'hui c'est du blog officiel et c'est gratos, presque la moitié de mes revenus a disparu) c'est devenu très dur. Et même des conférences ou des ateliers sont payés à plus de 6 mois... Alors oui, on regarde où ça merde. Sur la page FB d'Ayerdhal j'ai répondu aussi au point qu'il lève justement : c'est la distrib qui fausse tout. Ben oui, mais moi je vois aussi que dans un festival, sans être bénévole, je suis celui qui ne gagne rien, or, et Fabrice le confirmera sans doute, je travaille directement ou indirectement tous les jours. TOUS LES JOURS et pas que 8h. Car le métier d'auteur pro, ce n'est pas qu'écrire, c'est aussi fabriquer les conditions pour placer ou inspirer l'écriture, qu'elle qu'elle soit, et c'est pas du 35 h. /semaine.
Enfin, j'insiste : mon billet appelle aussi et surtout à repenser les festivals, les salons dans leurs aspects financiers, culturels, même politiques (vis à vis du politique : vendre c'est pas de la culture, ça c'est l'amalgame des publicitaires de Virgin). Son audience me dépasse toutefois, je ne m'y attendais pas. Je sens que j'ai appuyé sur un abcès non dit. Des festivaliers et pas des moindres me disent du coup vouloir y réfléchir. Des auteurs (polar ; jeunesse) approuvent et relaient...
On ne peut pas faire intervenir l'auteur autrement, le faire mieux découvrir qu'en signant seulement ? On ne peut pas le faire moins signer (ou signer après un débat, un "live" quelconque genre, si vous y tenez aux signatures) et mieux valoriser son travail? Pourquoi enfin peut-on parler d'argent dans tous les domaines artistiques et pas en écriture ? Pourquoi cela doit-il être si fortement une vocation que c'est sale de parler de fric ? Regardez les anglo-saxons et sortons-nous les doigts du cloaque de la littérature sacralisée comme un hobby bourgeois. Le monde a évolué depuis le livre de poche, et les livres côtoient les surgelés dans le chariot.
Enfin message personnel pour l'abruti méprisable qui se reconnaîtra et qui a de la chance que je ne sois pas le modérateur (qu'il a tort de traiter de Bisounours car sinon ledit imbécile n'aurait pas la parole) car moi j'aurais tôt tiré la chasse sur lui : être de gauche et défendre ses intérêts ou poser la question des intérêts de sa "corporation" me semble cohérent, pauvre con.
Cool, francis, je comprends que ça t'énerve (scuze, on se tutoie volontiers, ici) mais c'est qu'on connaît la bête, qu'on le sait meilleur que ce qu'il montre ici où il se venge de quelque malheur en endossant le costume avec de longs poils verts. Dans un monde sans troll, c'est un garçon charmant...
"Ils ne sont grands que parce que vous êtes à genoux"
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Pour le reste de ton discours, j'approuve.
Pire.
Je considère que l'on multiplie à l'envie les petits festivals du livre et qu'on joue sur la culpabilité des auteurs et des petits éditeurs : comment, mais regardez, on met de l'énergie, du bel enthousiasme à faire des choses et vous ne voulez pas venir ? Vous dites que vous perdriez votre temps ? Mais c'est vilain vous vivez grâce à nous, les lecteurs et les acteurs bénévoles du livre, si nous on se démène, vous pourriez tout de même faire un effort aussi vous ne seriez pas là sans nous, blablabla...
Quant aux grosses machines, j'ai dit plus haut tout le mal que j'en pensais. On finit par aboutir à des situations où l'on a d'une part, des acteurs au salaire régulier et confortable parfois, d'autre part, des bénévoles surexploités, et au milieu, des auteurs qui se retrouvent à mi-chemin entre les deux. Ils touchent un peu de sous pour leur boulot, certes, mais jamais au regard de l'énergie qu'on leur demande de fournir pour produire et du texte, et de la présence.
Mais ça me paraît cohérent avec la situation de l'édition en général. Où les salariés d'une structure éditoriale touchent un émolument en rapport avec leur capacités et leurs compétences, depuis le type qui charge les bouquins jusqu'à la secrétaire de direction ou le comptable, tandis que l'auteur, et, de plus en plus souvent, le directeur de collection, doivent dépenser des trésors d'imagination et courir dans toutes les directions à la fois pour dégotter de quoi vivre.
Pourquoi veux-tu que les organisateurs de salons, rémunérés à un salaire confortable par les institutions politiques qui se font de la pub sur le machin, se préoccupent de ce que touchent les auteurs ? Tu me dis que d'aucuns y réfléchissent ? Je te trouve optimiste. Ce n'est pas leur intérêt, et ce discours là, ces promesses, je les entends depuis des années. Je doute sincèrement que cela change quoi que ce soit.
Il n'y a que les auteurs qui peuvent faire bouger les choses. Si tout le monde se mettait à refuser de venir signer sans être par ailleurs rémunéré pour une intervention, là, on ferait en effet bouger les choses. On en est loin. Mais que des gens comme toi prennent position en ce sens, et on finira peut être par y arriver. A force (quoi que, hein ? Quand tu vois comment le Yal, qui se bat depuis des années, n'a que si peu réussi à faire évoluer le schmilblick... Bon. J'arrête d'être pessimiste deux secondes. Enfin, j'essaye...)
Pire.
Je considère que l'on multiplie à l'envie les petits festivals du livre et qu'on joue sur la culpabilité des auteurs et des petits éditeurs : comment, mais regardez, on met de l'énergie, du bel enthousiasme à faire des choses et vous ne voulez pas venir ? Vous dites que vous perdriez votre temps ? Mais c'est vilain vous vivez grâce à nous, les lecteurs et les acteurs bénévoles du livre, si nous on se démène, vous pourriez tout de même faire un effort aussi vous ne seriez pas là sans nous, blablabla...
Quant aux grosses machines, j'ai dit plus haut tout le mal que j'en pensais. On finit par aboutir à des situations où l'on a d'une part, des acteurs au salaire régulier et confortable parfois, d'autre part, des bénévoles surexploités, et au milieu, des auteurs qui se retrouvent à mi-chemin entre les deux. Ils touchent un peu de sous pour leur boulot, certes, mais jamais au regard de l'énergie qu'on leur demande de fournir pour produire et du texte, et de la présence.
Mais ça me paraît cohérent avec la situation de l'édition en général. Où les salariés d'une structure éditoriale touchent un émolument en rapport avec leur capacités et leurs compétences, depuis le type qui charge les bouquins jusqu'à la secrétaire de direction ou le comptable, tandis que l'auteur, et, de plus en plus souvent, le directeur de collection, doivent dépenser des trésors d'imagination et courir dans toutes les directions à la fois pour dégotter de quoi vivre.
Pourquoi veux-tu que les organisateurs de salons, rémunérés à un salaire confortable par les institutions politiques qui se font de la pub sur le machin, se préoccupent de ce que touchent les auteurs ? Tu me dis que d'aucuns y réfléchissent ? Je te trouve optimiste. Ce n'est pas leur intérêt, et ce discours là, ces promesses, je les entends depuis des années. Je doute sincèrement que cela change quoi que ce soit.
Il n'y a que les auteurs qui peuvent faire bouger les choses. Si tout le monde se mettait à refuser de venir signer sans être par ailleurs rémunéré pour une intervention, là, on ferait en effet bouger les choses. On en est loin. Mais que des gens comme toi prennent position en ce sens, et on finira peut être par y arriver. A force (quoi que, hein ? Quand tu vois comment le Yal, qui se bat depuis des années, n'a que si peu réussi à faire évoluer le schmilblick... Bon. J'arrête d'être pessimiste deux secondes. Enfin, j'essaye...)
"Ils ne sont grands que parce que vous êtes à genoux"
SPAM, bien sûr.
Pardon pour ces messages foncièrement inutiles, mais je vous sens crispés, là.
Pardon pour ces messages foncièrement inutiles, mais je vous sens crispés, là.
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
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- Enregistré le : mar. sept. 28, 2010 10:10 pm
@le navire
Ben oui, je suis d'accord avec toi. Pour la condition des directeurs de collection dans les grandes boîtes, vous allez voir ça va sortir bientôt, ce qui se passe chez certaines, et qui est un scandale : on leur refait des contrats où ils sont eux, juridiquement responsables en cas de pépins sur bouquin (genre procès). Bref, l'exploitation maxi. Les maisons d'éditions ne deviennent plus que des maisons de publication qui prennent le bénef, mais pas les risques, et sous-paient tout le monde. Et oui, les dérives continuent, et oui pour paraphraser, la phrase célèbre, l'émancipation des auteurs viendra des auteurs eux-mêmes.
Ben oui, je suis d'accord avec toi. Pour la condition des directeurs de collection dans les grandes boîtes, vous allez voir ça va sortir bientôt, ce qui se passe chez certaines, et qui est un scandale : on leur refait des contrats où ils sont eux, juridiquement responsables en cas de pépins sur bouquin (genre procès). Bref, l'exploitation maxi. Les maisons d'éditions ne deviennent plus que des maisons de publication qui prennent le bénef, mais pas les risques, et sous-paient tout le monde. Et oui, les dérives continuent, et oui pour paraphraser, la phrase célèbre, l'émancipation des auteurs viendra des auteurs eux-mêmes.
En même temps, tu vois Francis, je serais plus optimiste le jour où je verrai les auteurs descendre dans la rue pour une bonne manif, à l'occase d'u salon par exemple. Non qu'une manif à elle seule puisse être efficace, mais parce que c'est encore un milieu qui manque singulièrement de pluriel, si tu vois ce que je veux dire...
"Ils ne sont grands que parce que vous êtes à genoux"
- Eons
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Je l'ai fait pendant 2 ans. J'arrivais en gros à "rentabiliser" 3 h chaque jour sur 5 h de trajet AR (presque toute la partie TGV). Et 5 jours par semaine, ça finissait par être non négligeable.Fabien Lyraud a écrit :Généralement les transports c'est en train. Et donc il suffit d'avoir un ordinateur portable pour pouvoir consacrer un peu de temps à l'écriture durant ce temps là. Ou au moins à prendre des notes.
Le tout est d'avoir un bon équipement.
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
- Virprudens
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- Enregistré le : mer. févr. 07, 2007 11:34 am
- Localisation : Exception raised
Re: 2e réponse sur les débats
Modérateur !!!!francismizio a écrit :Enfin message personnel pour l'abruti méprisable qui se reconnaîtra et qui a de la chance que je ne sois pas le modérateur (qu'il a tort de traiter de Bisounours car sinon ledit imbécile n'aurait pas la parole) car moi j'aurais tôt tiré la chasse sur lui : être de gauche et défendre ses intérêts ou poser la question des intérêts de sa "corporation" me semble cohérent, pauvre con.
Je ne sais pas bien qui ça vise (en tout cas, ça doit pas être moi, parce que je n'ai jamais parlé de gauche et de droite), j'ai pas eu le courage de lire la fournée indigeste livrée par le monsieur, mais ça ressemble fort à de l'attaque personnelle.
'fin bon, moi je dis ça...
- Please, be polite.
- Go fuck yourself.
- Go fuck yourself.
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Re: 2e réponse sur les débats
Voilà. On se réveille doucement. Tout le monde a bien dormi et le monde est un peu plus beau qu'hier (mais plus froid aussi à cause de la météo...).Virprudens a écrit :Modérateur !!!!francismizio a écrit :Enfin message personnel pour l'abruti méprisable qui se reconnaîtra et qui a de la chance que je ne sois pas le modérateur (qu'il a tort de traiter de Bisounours car sinon ledit imbécile n'aurait pas la parole) car moi j'aurais tôt tiré la chasse sur lui : être de gauche et défendre ses intérêts ou poser la question des intérêts de sa "corporation" me semble cohérent, pauvre con.
Je ne sais pas bien qui ça vise (en tout cas, ça doit pas être moi, parce que je n'ai jamais parlé de gauche et de droite), j'ai pas eu le courage de lire la fournée indigeste livrée par le monsieur, mais ça ressemble fort à de l'attaque personnelle.
'fin bon, moi je dis ça...
J'imagine donc que ce matin en se levant, chacun n'aura retenu que la teneur du débat et les arguments des uns et des autres.
Et tous les mots déplacés se seront dissous dans le café ou dans le thé.
Zen quoi...
Et que les uns et les autres n'auront d'autre envie aujourd'hui que de discuter calmement, intelligemment et poliment autour de cette question autour des festivals et de leur organisation.
Ce serait dommage de locker le sujet non ?
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
- Don Lorenjy
- Messages : 1442
- Enregistré le : jeu. mars 09, 2006 9:03 am
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Pfff... comme d'hab je suis d'accord avec le Navire et donc avec Francis (sauf sur le VirTroll, parce qu'il avait prévenu qu'il trollerait et il n'a pas tourné sa veste à la première réprimande).
Juste un truc : la manif d'auteurs, sur le papier ça le fait (il paraît qu'il y a des millions de manuscrits qui dorment en France, ça fait des millions d'auteurs pour bourrer la rue (qui ne demande que ça)), surtout en SF puisqu'il paraît qu'il y a plus de gens qui en écrivent que de gens qui en lisent, mais en fait ça le fait pas, puisque si on compte les auteurs pro, même en comptant large selon les critères d'Aldaran, ça va même pas encombrer le trottoir.
Ce qui me déclenche une pensée intérieure rigolougnote : pour faire une manif, des auteurs y en aura pas, mais pour remplacer ceux qui feraient la grève des salons on en trouvera à la pelle (mécanique).
Juste un truc : la manif d'auteurs, sur le papier ça le fait (il paraît qu'il y a des millions de manuscrits qui dorment en France, ça fait des millions d'auteurs pour bourrer la rue (qui ne demande que ça)), surtout en SF puisqu'il paraît qu'il y a plus de gens qui en écrivent que de gens qui en lisent, mais en fait ça le fait pas, puisque si on compte les auteurs pro, même en comptant large selon les critères d'Aldaran, ça va même pas encombrer le trottoir.
Ce qui me déclenche une pensée intérieure rigolougnote : pour faire une manif, des auteurs y en aura pas, mais pour remplacer ceux qui feraient la grève des salons on en trouvera à la pelle (mécanique).
Les marques Don Lorenjy et Don Lo sont retirées des rayons
Re: 2e réponse sur les débats
Ne le fais pas. Autant toi t'es rigolo, autant là c'est malsain.Virprudens a écrit :Modérateur !!!!francismizio a écrit :Enfin message personnel pour l'abruti méprisable qui se reconnaîtra et qui a de la chance que je ne sois pas le modérateur (qu'il a tort de traiter de Bisounours car sinon ledit imbécile n'aurait pas la parole) car moi j'aurais tôt tiré la chasse sur lui : être de gauche et défendre ses intérêts ou poser la question des intérêts de sa "corporation" me semble cohérent, pauvre con.
Je ne sais pas bien qui ça vise (en tout cas, ça doit pas être moi, parce que je n'ai jamais parlé de gauche et de droite), j'ai pas eu le courage de lire la fournée indigeste livrée par le monsieur, mais ça ressemble fort à de l'attaque personnelle.
'fin bon, moi je dis ça...