La play-list du moment.
Modérateurs : Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
Isolée, We Are Monster
"Face B"
Je continue de trouver l'album pas terrible, mais cette piste-là est juste parfaite.
"Face B"
Je continue de trouver l'album pas terrible, mais cette piste-là est juste parfaite.
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
Disco Not Disco. Post-punk, Electro & Leftfield Disco Classics, 1974-1986
Tout est dans le titre.
Avec entre autres :
DELTA 5 - "Mind Your Own Business"
JAMES WHITE & THE BLACKS - "Contort Yourself"
Tout est dans le titre.
Avec entre autres :
DELTA 5 - "Mind Your Own Business"
JAMES WHITE & THE BLACKS - "Contort Yourself"
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
D-I-Y. Do It Yourself. The rise of the independent music industry after punk
Re-tout est dans le titre.
Avec entre autres :
THE BUZZCOCKS - "Boredom"
THE FLYS - "Love and a Molotov Cocktail"
THROBBING GRISTLE - "Distant Dreams (Part Two)"
Re-tout est dans le titre.
Avec entre autres :
THE BUZZCOCKS - "Boredom"
THE FLYS - "Love and a Molotov Cocktail"
THROBBING GRISTLE - "Distant Dreams (Part Two)"
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
Encore la Xe de Mahler, pour comparer avec la version Gianandrea Noseda récemment acquise.
La version de Kurt Sanderling avec l'Ochestre Symphonique de Berlin (Est à l'époque, donc, enregistrement de 1979).
Je lui trouve quelques échos chostakoviens (logiques avec Sanderling). Quelle cohérence, quelle autorité dans ce flot musical. Je trouve le finale un poil (vraiment un poil) trop rapide. Mais que c'est magistral!
Décidément cette symphonie inachevée (dans son orchestration), belle et sinistre à donne le cafard, ne suscite guère de ratage (je n'en connais aucun pour l'instant) et j'ai du mal à déterminer ma version idéale. A part la version Wynn Morris, mais qui relève de la nostalgie auditive (il faut vraiment une réédition pour que je juge!).
Oncle Joe
La version de Kurt Sanderling avec l'Ochestre Symphonique de Berlin (Est à l'époque, donc, enregistrement de 1979).
Je lui trouve quelques échos chostakoviens (logiques avec Sanderling). Quelle cohérence, quelle autorité dans ce flot musical. Je trouve le finale un poil (vraiment un poil) trop rapide. Mais que c'est magistral!
Décidément cette symphonie inachevée (dans son orchestration), belle et sinistre à donne le cafard, ne suscite guère de ratage (je n'en connais aucun pour l'instant) et j'ai du mal à déterminer ma version idéale. A part la version Wynn Morris, mais qui relève de la nostalgie auditive (il faut vraiment une réédition pour que je juge!).
Oncle Joe
Exit Music par Brad Mehldau.
http://www.youtube.com/watch?v=-bLloLR8GZo
et je me vois dans l'obligation ...
http://www.youtube.com/watch?v=NczzWao_rVU
http://www.youtube.com/watch?v=-bLloLR8GZo
et je me vois dans l'obligation ...
http://www.youtube.com/watch?v=NczzWao_rVU
- Eric
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- Enregistré le : ven. déc. 16, 2005 1:03 pm
- Localisation : Paris
Gallows - Grey Britain
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
"There's an old Earth saying, Captain. A phrase of great power and wisdom. A consolation to the soul, in times of need : Allons-y !" (The Doctor)
http://melkine.wordpress.com/
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Toujours la Xe de Mahler... cette fois, par Simon Rattle dirigeant la Philarmonie de Berlin (un CD Emi enregistré en public en 1999).
Une transparence de l'orchestre, une gradation des effets difficilement surpassables. On sent sa gorge se nouer au dernier mouvement. Encore une réussite. Je vais avoir du mal à trancher... et pourquoi trancher?
Oncle Joe
Une transparence de l'orchestre, une gradation des effets difficilement surpassables. On sent sa gorge se nouer au dernier mouvement. Encore une réussite. Je vais avoir du mal à trancher... et pourquoi trancher?
Oncle Joe
- bormandg
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- Enregistré le : lun. févr. 12, 2007 2:56 pm
- Localisation : Vanves (300 m de Paris)
- Contact :
Béa Tristan (qui présente ses shows avec, parfois, des morceaux d'arguments SF même si ses chansons sont réalistes (elle m'a daté un autographe de 2282
)

"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."