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heu... ouais.... mais si les papillons trichent ?Fall-E a écrit :mais bon c'est pas grave on s'en fout y'a des papillons et tout et des fois l'eau elle est fraiche alors c'est sympa je veux dire c'est pas comme si ça valait pas le coup
C'est pas le libre-arbitre qui pose problème, c'est le surplus de connerie crasse livré avec et que personne n'a pensé à jeter juste après l'arrivée du colis.MF a écrit :même pas...Lensman a écrit :Si une espèce considère qu'elle abime quelque chose, c'est qu'elle possède un sens esthétique qui lui permet de le constater. C'est toujours mieux que d'être une espèce balourde qui ne se rend compte de rien...
Je dis une bêtise?
p'tain de libre arbitre qui faiche...
Mais s'il n'y a pas de constatation du tout ? N'est-ce pas plus angoissant ?bormandg a écrit : En plus du sens esthétique, un minimum de sens moral ferait une différence. Si la constatation est totalement cynique elle n'apporte rien.
Pour les éventuels observateurs extérieurs, un balourd qui ne se rend compte de rien est moins destructeur que le cynique qui détruit en connaissance de cause, non?Lensman a écrit :Mais s'il n'y a pas de constatation du tout ? N'est-ce pas plus angoissant ?bormandg a écrit : En plus du sens esthétique, un minimum de sens moral ferait une différence. Si la constatation est totalement cynique elle n'apporte rien.
Heu... en fait non, puisqu'on n'a pas conscience de l'idée de pouvoir être angoissé...
Tu as raison: il vaut mieux ne s'apercevoir de rien, tout court. Tout autre cas de figure est source de problèmes...
Oncle Joe
... ça reste à voir... ça dépend du balourd, et ça dépend du cynique. Il ne peut pas y avoir de réponse automatique...bormandg a écrit : Pour les éventuels observateurs extérieurs, un balourd qui ne se rend compte de rien est moins destructeur que le cynique qui détruit en connaissance de cause, non?
D'ailleurs le second veillera à détruire plus.
Edgar Wallace, à tout hasard, l'auteur anglais ?JDB a écrit :Grand, grand frisson ontologique de la métaphysique de la mort qui tue.
Dans le cadre de "Baskerville", je m'intéresse à un écrivain anglais prolifique, dont pas mal de livres ont été traduits en français mais sont aujourd'hui épuisés et trouvables seulement d'occase, et en plus bientôt DP.
Je lis certaines de ses traductions, et j'en repère quelques-unes, dues à un traducteur coté et lui aussi bientôt DP. De l'excellent travail, me dis-je, et ça mérite une redécouverte en bonne et due forme, de l'auteur comme du traducteur, tous les deux bien oubliés de nos jours.
Je commence à me documenter, et qu'est-ce que je découvre ? Le traducteur a fini ses jours dans la ville où j'ai passé mon enfance !
Le grand frisson, vous dis-je.
JDB
