Evidemment, si on ne fixe pas de prix, ça va être difficile de vendre... Je n'appelle pas ça une règle... si on ne vend pas une fois le prix accepté, c'est que l'on n'est pas fait pour cette activité, et on peut se retrouver avec des problèmes relationnels avec le client potentiel, auquel on a fait perdre son temps, on se demande bien pourquoi!... ce n'est pas ce que j'appelle vraiment des règles...bormandg a écrit : En clair : pour toi, s'il n'y a pas LA LOI N° 81-766 à laquelle tu fais référence (en l'occurence la loi Lang je suppose); il n'y a donc AUCUNE loi. N'étant pas somis à la loi Lang, le marché du livre d'occasion ne serait, à tes yeux, soumis à AUCUNE loi puisque tu considère que l'ensemble des lois françaises se réduit à celle ci.
Pourtant il y a un certain nombres de lois sur la pratique de la vente d'occasion, qui ne peut être qu'exceptionnellement pratiquée par un non-professionnel et dans certaines limites de quantité et de prix: obligation de déclaration, obligation de fixer un prix, obligation de vendre une fois le prix accepté, plus des lois interdisant à un marchand déclaré de biens d'occasion de revendre au delà d'un certain coefficient multiplicateur, etc... Que certaines de ces lois ne soient appliquées que de façon très partielle, que des tolérances plus ou moins légales se multiplient, n'autorise pas à prétendre qu'il n'y a aucune règle.
Les limites de prix, je ne comprends pas: quand un truc est trop cher, il est difficile de trouver un client, c'est tout, mais j'ai du mal à voir ça comme une règle... c'est plutôt une évidence...
Pourrais-tu me donner un exemple PRÉCIS, concret, de règle dans le domaine du livre d'occasion, qui te paraît au moins grossièrement appliquée à, et à peu près suivie par, l'ensemble des concernés? (Je dis en gros, hein).
...A par celle, basique effectivement, et là je suis d'accord, qu'il faut vendre à son interlocuteur une fois que l'on s'est mis d'accord sur le prix! Mais là, c'est un peu la base du commerce... de tout échange, quasiment!
Oncle Joe