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Un article sur le numérique chez Bragelonne et Le Bélial

Posté : mar. févr. 01, 2011 11:38 am
par jerome
Actualitte vient de faire un article sur le numérique chez Bragelonne et Le Bélial.

Je vous mets le début :
Le Bélial a lancé en août 2010 sa plateforme de vente d’ebooks, suivi de près par les Éditions Bragelonne. Tous deux spécialisés dans les livres de science-fiction et de fantasy, ils font le point sur les ventes des derniers mois.

Bragelonne s’est lancé, le 24 novembre dernier, dans la commercialisation de ses premiers e-books. Depuis ce lancement en novembre, 108 références sont disponibles au rythme de cinq ajouts hebdomadaires chez les principaux revendeurs numériques et 10.000 ventes ont été réalisées depuis, nous informe Alexandre Levasseur, en charge du numérique. Et non 20.000. En l'occurrence, il s'agissait d'une incompréhension, puisque 20.000 représentait le CA, au moment de l'interview mi-décembre. Depuis, le nombre de ventes numériques s'élève bien à 10.000 ex, soit 50.000 € de CA, un chiffre dont Alexandre Levasseur « ne rougit pas ».

Posté : mar. févr. 01, 2011 2:52 pm
par Herbefol
Ça commence à faire une moyenne par titre qui est loin d'être ridicule sur si peu de temps. Après faudra voir sur la longueur, à la façon dont évolue les chiffres si ce sont essentiellement les nouveautés régulièrement proposées qui sont vendues ou bien si le fond tourne correctement (de ce que j'en ai entendu dire Légende se ballade continuellement dans les meilleures ventes de ibookstore).

Posté : mar. févr. 01, 2011 7:55 pm
par Jean-Claude Dunyach
Herbefol a écrit :Ça commence à faire une moyenne par titre qui est loin d'être ridicule sur si peu de temps. Après faudra voir sur la longueur, à la façon dont évolue les chiffres si ce sont essentiellement les nouveautés régulièrement proposées qui sont vendues ou bien si le fond tourne correctement (de ce que j'en ai entendu dire Légende se ballade continuellement dans les meilleures ventes de ibookstore).
Et il faudra attendre aussi qu'Amazon s'y mette. Parce que, là, la situation risque d'évoluer. Je pense qu'ils occuperont très vite plus de la moitié du marché, en France (comme aux USA). Je suppose - mais je peux me tromper - que c'est pour ça qu'on leur a gentiment demandé d'attendre un peu avant de s'y mettre. Leur arrivée risquerait de foutre un sacré bordel. Que j'appelle de tous mes voeux, je dois dire, mais j'ai un mauvais fond.