Andrevon, la SF et le nucléaire
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Andrevon, la SF et le nucléaire
Un papier signé Jean-Pierre Andrevon dans Libération d'aujourd'hui: "On vous l'avait bien dit et vous regardiez ailleurs", consacré, on s'en doute, à la catastrophe nippone (et pas ni mauvaise).
Il y évoque Heinlein, Del Rey et la science-fiction politique française des années 70...
http://www.liberation.fr/monde/01012326 ... z-ailleurs
Oncle Joe
Il y évoque Heinlein, Del Rey et la science-fiction politique française des années 70...
http://www.liberation.fr/monde/01012326 ... z-ailleurs
Oncle Joe
JPA, avec le recueil Ne coupez pas, a exploré une bonne par des risques auxquels nous sommes aujourd'hui confrontés.
Lisez Jusqu'à la victoire finale, car c'est un ode superbe à la vie.
Lisez Ne coupez pas pour vivre ce qui se passe après une catastrophe.
Lisez les Coupures de presses du futur pour rire, jaune, de la dernière crise du virus AH1N1
Lisez La muraille Occident pour imaginer ce que serait Lampedusa si...
JPA, comme d'autres, l'avait dit, écrit, décrit.
Mais les politiques ne lisent pas de SF...
Lisez Jusqu'à la victoire finale, car c'est un ode superbe à la vie.
Lisez Ne coupez pas pour vivre ce qui se passe après une catastrophe.
Lisez les Coupures de presses du futur pour rire, jaune, de la dernière crise du virus AH1N1
Lisez La muraille Occident pour imaginer ce que serait Lampedusa si...
JPA, comme d'autres, l'avait dit, écrit, décrit.
Mais les politiques ne lisent pas de SF...
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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Re: Andrevon, la SF et le nucléaire
"Pour faire le pédant", dit-il...Lensman a écrit : Il y évoque Heinlein, Del Rey
... bien plus centrale dans son propos qui, du coup, me gène un peu.Lensman a écrit : et la science-fiction politique française des années 70...
S'il me semble légitime de parler de "décryptage" à propos de Heinlein (dont « Il arriveJean-Pierre Andrevon a écrit :La SF, c'est d'abord le présent qui regarde le futur. Qui essaie de le...
pas tant de le deviner (on n'est pas devins !) que de le décrypter.
que ça saute » a été écrit en février 1940, à peine plus d'un an après la découverte de
la fission en chaîne de l'uranium par Hahn et Meitner), et de Del Rey (dont la nouvelle
initiale, « Nerves », date en fait en 42), il n'y avait plus grand chose de "caché" dans la
problématique nucléaire au début des années 70. Comme le rappelle d'ailleurs Andrevon,
c'était plutôt le temps des grandes manifs sur la question.
Sur le nucléaire comme sur pas mal d'autres sujets, la "SF politique française" de
l'époque se contentait donc largement, il me semble, d'accompagner un discours
militant. Pourquoi pas, d'ailleurs : je préfère personnellement une SF plus spéculative,
mais cette approche a aussi son utilité. En revanche, elle se démode forcément assez
vite ; s'en réclamer quarante ans après pour commenter une actualité tragique a pour
moi un côté pathétique.
"On vous l'avait bien dit" : c'est le refrain réac des anciens combattants fatigués.
La science-fiction mérite mieux que ça. La question nucléaire aussi.
- bormandg
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Re: Andrevon, la SF et le nucléaire
Je ne suis pas d'accord, elle ne se démode pas, pas quand l'actualité la reflète. Ce que dit JPA, et qui est tout à fait vrai, c'est que, tant par la fiction (SF militante) que par l'action politique, le refus d'admettre que cela risquait de se produire (et ça a commencé dès 1985) était une cécité volontaire des gouvernants. Qu'il faut dénoncer.caliban a écrit :"Pour faire le pédant", dit-il...Lensman a écrit : Il y évoque Heinlein, Del Rey
... bien plus centrale dans son propos qui, du coup, me gène un peu.Lensman a écrit : et la science-fiction politique française des années 70...
S'il me semble légitime de parler de "décryptage" à propos de Heinlein (dont « Il arriveJean-Pierre Andrevon a écrit :La SF, c'est d'abord le présent qui regarde le futur. Qui essaie de le...
pas tant de le deviner (on n'est pas devins !) que de le décrypter.
que ça saute » a été écrit en février 1940, à peine plus d'un an après la découverte de
la fission en chaîne de l'uranium par Hahn et Meitner), et de Del Rey (dont la nouvelle
initiale, « Nerves », date en fait en 42), il n'y avait plus grand chose de "caché" dans la
problématique nucléaire au début des années 70. Comme le rappelle d'ailleurs Andrevon,
c'était plutôt le temps des grandes manifs sur la question.
Sur le nucléaire comme sur pas mal d'autres sujets, la "SF politique française" de
l'époque se contentait donc largement, il me semble, d'accompagner un discours
militant. Pourquoi pas, d'ailleurs : je préfère personnellement une SF plus spéculative,
mais cette approche a aussi son utilité. En revanche, elle se démode forcément assez
vite ; s'en réclamer quarante ans après pour commenter une actualité tragique a pour
moi un côté pathétique.
"On vous l'avait bien dit" : c'est le refrain réac des anciens combattants fatigués.
La science-fiction mérite mieux que ça. La question nucléaire aussi.
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Re: Andrevon, la SF et le nucléaire
Tu rigoles ? Tu as relu un peu de cette "nouvelle science-fiction politique française"bormandg a écrit : Je ne suis pas d'accord, elle ne se démode pas
des années 70, récemment ? Nous seulement on se fout de savoir pourquoi ils
avaient tué Jules Verne, mais lui est encore bien vivant !
Pas vraiment — au-delà de la notion même de risque nucléaire, qu'ils sont loin d'avoirpas quand l'actualité la reflète.
identifiée (pour le coup, Heinlein est bien plus pertinent !), laquelle de leurs analyses de
l'époque vois-tu "reflétée" dans l'actualité, précisément ?
Non. D'abord, le "vous" du titre, ceux qui "regardaient ailleurs", c'est le lecteurCe que dit JPA, et qui est tout à fait vrai, c'est que, tant par la fiction (SF militante)
que par l'action politique, le refus d'admettre que cela risquait de se produire (et ça a
commencé dès 1985) était une cécité volontaire des gouvernants. Qu'il faut dénoncer.
de base de Libé, ce sont les électeurs qui se sont laissés voler le débat. On a la
démocratie qu'on mérite.
D'autre part, les gouvernants, eux, sont pas aveugles, et pas même vraiment menteurs
ou cachottiers sur ce coup-là : l'essentiel de l'information sur le nucléaire est disponible
depuis longtemps pour quiconque veut s'intéresser à la question. Tout au plus sont-ils
évasifs et paternalistes. Mais on le savait quand on les a élus.
Sous réserve d'un minimum de style et d'efficacité, la "dénonciation" ou, mieux encore,
l'appel à un réveil civique pourrait être l'un des rôles de la science-fiction, et plus
généralement de la littérature. Mais un discours à contretemps sur le mode du "on
vous l'avait bien dit" a-t-il jamais convaincu qui que ce soit ?
- bormandg
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Re: Andrevon, la SF et le nucléaire
C'est effectivement vrai de la plus grande partie de la SF politique des années 70. AMA, tu peux quand même en exclure JPA. Qui n'a jamais prétendu "avoir tué Jules Verne".caliban a écrit :Tu rigoles ? Tu as relu un peu de cette "nouvelle science-fiction politique française"bormandg a écrit : Je ne suis pas d'accord, elle ne se démode pas
des années 70, récemment ? Nous seulement on se fout de savoir pourquoi ils
avaient tué Jules Verne, mais lui est encore bien vivant !
Disponible... vite dit. Je veuxbien reconnaître que la plus grande partie est légalement accessibe à qui sait aller chercher dans les textes non interdits d'accès, mais peu diffusés... Cachée derrière une masse énorme de textes lénifiants sur le ton "si c'était dangereux, on vous le dirait; puisqu'on ne vous le dit pas, ce n'est pas dangereux"....caliban a écrit :Pas vraiment — au-delà de la notion même de risque nucléaire, qu'ils sont loin d'avoir identifiée (pour le coup, Heinlein est bien plus pertinent !), laquelle de leurs analyses de l'époque vois-tu "reflétée" dans l'actualité, précisément ?pas quand l'actualité la reflète.
Non. D'abord, le "vous" du titre, ceux qui "regardaient ailleurs", c'est le lecteurCe que dit JPA, et qui est tout à fait vrai, c'est que, tant par la fiction (SF militante) que par l'action politique, le refus d'admettre que cela risquait de se produire (et ça a commencé dès 1985) était une cécité volontaire des gouvernants. Qu'il faut dénoncer.
de base de Libé, ce sont les électeurs qui se sont laissés voler le débat. On a la
démocratie qu'on mérite.
D'autre part, les gouvernants, eux, sont pas aveugles, et pas même vraiment menteurs ou cachottiers sur ce coup-là : l'essentiel de l'information sur le nucléaire est disponible depuis longtemps pour quiconque veut s'intéresser à la question. Tout au plus sont-ils évasifs et paternalistes. Mais on le savait quand on les a élus.
Jusqu'au jour où ça pète. Je me suis trompé de date tout à l'heure: ça a commencé en 1979.
Pourrait être? Dans certains exemples, et JPA en fait partie, tu peux écrire EST.caliban a écrit :Sous réserve d'un minimum de style et d'efficacité, la "dénonciation" ou, mieux encore, l'appel à un réveil civique pourrait être l'un des rôles de la science-fiction, et plus généralement de la littérature. Mais un discours à contretemps sur le mode du "on vous l'avait bien dit" a-t-il jamais convaincu qui que ce soit ?
Et, même s'il commence par rappeler qu'il en parle depuis 40 ans, je ne pense pas que son texte soit à ranger dans les "on vous l'avait bien dit"; "ça fait quarant ans qu'on vous le répète, il serait temps de réagir", ce n'est pas la même phrase ni le même argument....
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
il y à quand meme une question qui me gene à propos du débat sur le nucleaire : en sortir , ok, bien , ça me plais ... mais je suis peut etre un peu chiant , il y à un truc qui me gene : on met quoi à la place???
parce qu'il faut bien dire que les solutions proposées me semblent largement utopiques ( au sens : quand ça ne decuplerais pas le prix du kw/h , ça sera une cata ecologique dans une vingtaine d'années , ou la fabrication du systeme pollue monstrueusement (ok , en etant bien debile ça on peut s'en foutre , c'est pas fais chez nous....rigolez pas , j'ai entendu cet argument ... mais j'ai aussi entendu un elu vert expliquer qu'une autoroute etait moins polluante qu'une voie ferrée...)
parce que bon , faut pas rever , la consommation ne baissera pas ... avant que les lampes à basse conso eponge la surconso des ecrans plats (ok , ça s'arrange avec les nouveau modeles...)
parce qu'il faut bien dire que les solutions proposées me semblent largement utopiques ( au sens : quand ça ne decuplerais pas le prix du kw/h , ça sera une cata ecologique dans une vingtaine d'années , ou la fabrication du systeme pollue monstrueusement (ok , en etant bien debile ça on peut s'en foutre , c'est pas fais chez nous....rigolez pas , j'ai entendu cet argument ... mais j'ai aussi entendu un elu vert expliquer qu'une autoroute etait moins polluante qu'une voie ferrée...)
parce que bon , faut pas rever , la consommation ne baissera pas ... avant que les lampes à basse conso eponge la surconso des ecrans plats (ok , ça s'arrange avec les nouveau modeles...)
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Quand il y a des marrée noires on entend jamais personne parler de sortir du thermique. Or le réchauffement climatique est un problème majeur. Tous les ans il y a des marées noires au quatre coins du globe, des rafinerie qui explosent ou qui prennent feu. Et on en fait pas des montagnes alors que oui, il y a un vrai problème.
Les accidents nucléaires comme Tchernobyl ou l'accident japonais sont liés à des erreurs humaines. Il semblerait que des protocoles n'aient pas été respecté. En cas d'alerte sismique, les réacteur auraient du être arrêté, or ils ne l'ont pas été pour permettre à l'entreprise privée qui a racheté la centrale de se faire plus de pognon.
On est tributaire de choix technologique et économique qui pour la plupart date de la fin du dix neuvième siècle. Et si l'on veut sortir du nucléaire et abandonner en même temps le thermique, il faudrait remettre en cause ces choix là avec entre autre une casse sociale balancerait des milliers d'ouvriers et de techniciens au chômage.
Les accidents nucléaires comme Tchernobyl ou l'accident japonais sont liés à des erreurs humaines. Il semblerait que des protocoles n'aient pas été respecté. En cas d'alerte sismique, les réacteur auraient du être arrêté, or ils ne l'ont pas été pour permettre à l'entreprise privée qui a racheté la centrale de se faire plus de pognon.
Le paradoxe c'est que pour développer les énergies renouvelables on a besoin du nucléaire. Tous les pays qui ont tenté une sortie du nucléaire ont tous reconstruit des centrales au fuel ou au charbon extrêmement polluante.parce qu'il faut bien dire que les solutions proposées me semblent largement utopiques ( au sens : quand ça ne decuplerais pas le prix du kw/h , ça sera une cata ecologique dans une vingtaine d'années , ou la fabrication du systeme pollue monstrueusement (ok , en etant bien debile ça on peut s'en foutre , c'est pas fais chez nous....rigolez pas , j'ai entendu cet argument ... mais j'ai aussi entendu un elu vert expliquer qu'une autoroute etait moins polluante qu'une voie ferrée...)
On est tributaire de choix technologique et économique qui pour la plupart date de la fin du dix neuvième siècle. Et si l'on veut sortir du nucléaire et abandonner en même temps le thermique, il faudrait remettre en cause ces choix là avec entre autre une casse sociale balancerait des milliers d'ouvriers et de techniciens au chômage.
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Re: Andrevon, la SF et le nucléaire
Evaisifs ? Paternalistes ?caliban a écrit :D'autre part, les gouvernants, eux, sont pas aveugles, et pas même vraiment menteurs ou cachottiers sur ce coup-là : l'essentiel de l'information sur le nucléaire est disponible depuis longtemps pour quiconque veut s'intéresser à la question. Tout au plus sont-ils évasifs et paternalistes. Mais on le savait quand on les a élus.
Ou plutôt Inconscients ?
Ou bel et bien conscients des réalités économiques ?
Sinon comment expliquer la différence entre la LOI n° 2003-699 du 30 juillet 2003 relative à la prévention des risques technologiques et naturels et à la réparation des dommages et la LOI n° 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire.
Le risque nucléaire n'est pas technologique ?
Un risque technologique de gravité "désastreuse" n'est pas acceptable, quelle qu'en soit la probabilité d'occurrence (doctrine de l'Etat ; c.f. par exemple support de formation pour l'utilisation de la démarche MMR).
Mais ça ne s'applique pas aux CNPE ?
Comment expliquer que nous ayons su réagir après l'accident d'AZF mais pas après celui de Tchernobyl ?
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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Ah bon ?Fabien Lyraud a écrit :Le paradoxe c'est que pour développer les énergies renouvelables on a besoin du nucléaire. Tous les pays qui ont tenté une sortie du nucléaire ont tous reconstruit des centrales au fuel ou au charbon extrêmement polluante.
On est tributaire de choix technologique et économique qui pour la plupart date de la fin du dix neuvième siècle. Et si l'on veut sortir du nucléaire et abandonner en même temps le thermique, il faudrait remettre en cause ces choix là avec entre autre une casse sociale balancerait des milliers d'ouvriers et de techniciens au chômage.
Les ruptures technologiques, ça n'existe pas ?
Allez, je remonte vite dans ma De Dion-Bouton tant qu'il me reste de la vapeur...
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- bormandg
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Re: Andrevon, la SF et le nucléaire
Les réactions nécessaires étaient totalement différentes: l'accident d'AZF posait un problème de soins après accident terminé et de prévention d'une répétition, celui de Tchernobyl posait un problème de protection immédiate des populations contre une menace à plus ou moins court terme (retombées, zones infectées).MF a écrit : Comment expliquer que nous ayons su réagir après l'accident d'AZF mais pas après celui de Tchernobyl ?
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Heu.. excuse moi, Fabien, mais ça me fait mal au cul de lire de telles conneries.Fabien Lyraud a écrit :Les accidents nucléaires comme Tchernobyl ou l'accident japonais sont liés à des erreurs humaines.. Il semblerait que des protocoles n'aient pas été respecté. En cas d'alerte sismique, les réacteur auraient du être arrêté, or ils ne l'ont pas été pour permettre à l'entreprise privée qui a racheté la centrale de se faire plus de pognon.
Les réacteurs, à Fukushima, ont été arrêtés.
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
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