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On va tous mourir !

Posté : jeu. mars 15, 2012 12:44 pm
par Lensman

Posté : jeu. mars 15, 2012 12:48 pm
par MF
Ah, le pré-apo fait un retour remarqué !

Dire que cela me réjouit serait un euphémisme...

Posté : jeu. mars 15, 2012 1:27 pm
par Lensman
MF a écrit :Ah, le pré-apo fait un retour remarqué !

Dire que cela me réjouit serait un euphémisme...
Si on ajoute par dessus un retour du pré-ado, le rajeunissement est complet !

Oncle Joe

Posté : jeu. mars 15, 2012 2:33 pm
par bormandg
MF a écrit :Ah, le pré-apo fait un retour remarqué !

Dire que cela me réjouit serait un euphémisme...
Autrement dit une façon polie et atténuée de dire que tu exultes?

Posté : jeu. mars 15, 2012 2:45 pm
par Eons
La communauté mondiale pourrait être proche d'un point de non-retour dans ses efforts pour empêcher une catastrophe due aux changements dans l'atmosphère de la Terre.
Il se peut même que ce point de non-retour soit DÉJÀ franchi, vu les dégazages massifs de méthane en cours depuis l'été dernier dans l'Arctique. Image

La question n'est plus de savoir si la catastrophe aura lieu, mais quelle sera son amplitude.

Posté : jeu. mars 15, 2012 4:14 pm
par bormandg
Eons a écrit :
La communauté mondiale pourrait être proche d'un point de non-retour dans ses efforts pour empêcher une catastrophe due aux changements dans l'atmosphère de la Terre.
Il se peut même que ce point de non-retour soit DÉJÀ franchi, vu les dégazages massifs de méthane en cours depuis l'été dernier dans l'Arctique. Image

La question n'est plus de savoir si la catastrophe aura lieu, mais quelle sera son amplitude.
Ou même de savoir si quelqu'un envisage de faire quelque chose pour essayer de limiter la dite amplitude . :twisted:

Posté : jeu. mars 15, 2012 4:24 pm
par Lensman
bormandg a écrit :
Eons a écrit :
La communauté mondiale pourrait être proche d'un point de non-retour dans ses efforts pour empêcher une catastrophe due aux changements dans l'atmosphère de la Terre.
Il se peut même que ce point de non-retour soit DÉJÀ franchi, vu les dégazages massifs de méthane en cours depuis l'été dernier dans l'Arctique. Image

La question n'est plus de savoir si la catastrophe aura lieu, mais quelle sera son amplitude.
Ou même de savoir si quelqu'un envisage de faire quelque chose pour essayer de limiter la dite amplitude . :twisted:
Et même si des gens l'envisagent, il y a les problèmes de coordination et d'hamonisation... même quand ils sont de bonne volonté...

Oncle Joe

Posté : jeu. mars 15, 2012 4:48 pm
par bormandg
Lensman a écrit :
bormandg a écrit :
Eons a écrit :
La communauté mondiale pourrait être proche d'un point de non-retour dans ses efforts pour empêcher une catastrophe due aux changements dans l'atmosphère de la Terre.
Il se peut même que ce point de non-retour soit DÉJÀ franchi, vu les dégazages massifs de méthane en cours depuis l'été dernier dans l'Arctique. Image

La question n'est plus de savoir si la catastrophe aura lieu, mais quelle sera son amplitude.
Ou même de savoir si quelqu'un envisage de faire quelque chose pour essayer de limiter la dite amplitude . :twisted:
Et même si des gens l'envisagent, il y a les problèmes de coordination et d'hamonisation... même quand ils sont de bonne volonté...

Oncle Joe
Mets ta phrase au conditionnel, mais ce serait effectivement le cas. 8)

Posté : jeu. mars 15, 2012 5:42 pm
par Eons
bormandg a écrit :
Eons a écrit :La question n'est plus de savoir si la catastrophe aura lieu, mais quelle sera son amplitude.
Ou même de savoir si quelqu'un envisage de faire quelque chose pour essayer de limiter la dite amplitude . :twisted:
Ben, la principale inconnue étant le nomlbre de milliards de tonnes de méthane qui risquent de dégazer, si le point de non-retour est effectivement déjà passé, on ne peut plus guère agir qu'à la marge. Si le réchauffement moyen ne dépasse pas +5 ou +6°, on peut peut-être sauver 1° ou 2° en agissant très vite ("très vite" étant extrêment improbable), mais à +10° on est mal, à 15° on est très mal, et à 20° et plus, bonsoir la compagnie.

Posté : ven. mars 16, 2012 9:06 am
par MF
Eons a écrit :
bormandg a écrit :
Eons a écrit :La question n'est plus de savoir si la catastrophe aura lieu, mais quelle sera son amplitude.
Ou même de savoir si quelqu'un envisage de faire quelque chose pour essayer de limiter la dite amplitude . :twisted:
Ben, la principale inconnue étant le nomlbre de milliards de tonnes de méthane qui risquent de dégazer, si le point de non-retour est effectivement déjà passé, on ne peut plus guère agir qu'à la marge. Si le réchauffement moyen ne dépasse pas +5 ou +6°, on peut peut-être sauver 1° ou 2° en agissant très vite ("très vite" étant extrêment improbable), mais à +10° on est mal, à 15° on est très mal, et à 20° et plus, bonsoir la compagnie.
la question n'est pas "comment faire pour éviter le relargage du méthane piégé ?" (*) mais "comment faire pour récupérer le méthane relargué ?"

avec un double effet kiss cool : récupération d'un combustible et réduction de la quantité de GES émise par ce phénomène (sous réserve de ne pas relarguer le CO2 lors de l'utilisation du méthane-carburant)

et ce n'est pas de la SF ; il y a réellement des gens qui bossent la-dessus

(*) il EST et SERA relargué ; il est trop tard pour l'éviter

Posté : ven. mars 16, 2012 10:08 am
par Eons
MF a écrit :la question n'est pas "comment faire pour éviter le relargage du méthane piégé ?" (*) mais "comment faire pour récupérer le méthane relargué ?"

avec un double effet kiss cool : récupération d'un combustible et réduction de la quantité de GES émise par ce phénomène (sous réserve de ne pas relarguer le CO2 lors de l'utilisation du méthane-carburant)

et ce n'est pas de la SF ; il y a réellement des gens qui bossent la-dessus
J'espère que ce n'est pas aux projets d'exploitation des clathrates que tu penses, parce que, primo, commencer à tripoter des glaces à la limite du point de fusion ou même déjà en surfusion présente de sérieux risques de déclencher des dégazages supplémentaires ; et secundo, comparé aux dégazages spontanés en cours et à venr, ce n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan.

Et sinon, phénomène naturel qui s'étale sur des kilomètres carrés (et même plutôt des centaines de km²), vouloir récupérer ses effluents, ou du moins plus qu'une infime partie d'iceux, ce n'est même pas de la SF mais de la fantaisie.

Posté : ven. mars 16, 2012 11:39 am
par MF
Eons a écrit :Et sinon, phénomène naturel qui s'étale sur des kilomètres carrés (et même plutôt des centaines de km²), vouloir récupérer ses effluents, ou du moins plus qu'une infime partie d'iceux, ce n'est même pas de la SF mais de la fantaisie.
tu manques cruellement d'ambition...

... on parle ici de milliers de km2

il y a même des fantaisistes qui imaginent couvrir de vastes surfaces de géomembranes triple couches, avec une partie supérieur photovoltaïque (*) et deux couches dédiées à la récupération des effluents gazeux relargués...

... sont-ils niais !!!!!

tout le monde sait que c'est impossible et qu'ils nagent en pleine science-fiction !!!!!


Image

(*) avec comme conséquence secondaire de bloquer le rayonnement photonique et de substituer à l'effet miroir des surfaces gelées qui ne le sont plus

Posté : ven. mars 16, 2012 2:09 pm
par Eons
MF a écrit :
Eons a écrit :Et sinon, phénomène naturel qui s'étale sur des kilomètres carrés (et même plutôt des centaines de km²), vouloir récupérer ses effluents, ou du moins plus qu'une infime partie d'iceux, ce n'est même pas de la SF mais de la fantaisie.
tu manques cruellement d'ambition...

... on parle ici de milliers de km2
J'ai eu la flemme de vérifier et je ne voulais pas surestimer. Merci de renforcer mon argument. :wink:
MF a écrit :il y a même des fantaisistes qui imaginent couvrir de vastes surfaces de géomembranes triple couches, avec une partie supérieur photovoltaïque (*) et deux couches dédiées à la récupération des effluents gazeux relargués...

... sont-ils niais !!!!!
En effet. D'ici que ce soit réalisable (et surtout… financé et réalisé !) à une telle échelle, il sera trop tard !

Posté : ven. mars 16, 2012 2:32 pm
par MF
Eons a écrit :
MF a écrit :il y a même des fantaisistes qui imaginent couvrir de vastes surfaces de géomembranes triple couches, avec une partie supérieur photovoltaïque (*) et deux couches dédiées à la récupération des effluents gazeux relargués...

... sont-ils niais !!!!!
En effet. D'ici que ce soit réalisable (et surtout… financé et réalisé !) à une telle échelle, il sera trop tard !
alors, et dans l'ordre :
- pour le réalisable, les pilotes industriels existent et s'avèrent opérationnels ;
- pour le finançable, je me demande ce que tu n'as pas compris dans l'économie du projet ? tu as une idée des coûts de développement et d'exploitation des gisements gaziers offshore en Norvège, par exemple ? et une idée des risques que courent ces gas plant dans le cadre du dérèglement climatique ?

allez, cadeau avant que tu ne retournes à l'édition...
Image

Posté : ven. mars 16, 2012 8:17 pm
par Pontiac
On croit toujours en l'homme ??? :lol: