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Je me pose une question existentielle, une vraie de vraie... pourquoi les auteurs comme Dan Brown, Bernard Werber, Guillaume Musso ou Marc Lévy (etc...) ont souvent mauvaise presse auprès d'une partie de la population et encensé par une autre partie ?
Leurs livres souvent considérés comme de la littérature de hall de gare, ces écrivains vendent pourtant beaucoup (ce n'est pas un critère de qualité, je sais !).
Donc est ce un problème de forme, de fond. A moins que ce soit leur réussite qui déplaise ?

oh le beau !
Toi tu aimes les films de gladiateurs...

yogo a écrit :Leurs livres souvent considérés comme de la littérature de hall de gare, ces écrivains vendent pourtant beaucoup

quel meilleur endroit pour vendre beaucoup qu'un hall de gare ?

Hall you need is love.

Salut,

Je me fiche pas mal qu'un roman se vende ou pas. Par contre, quand il y a deux approximations syntaxiques dès la première page d'un roman, j'ai un peu de mal.

A+

Patrice

Patrice a écrit :Salut,

Je me fiche pas mal qu'un roman se vende ou pas. Par contre, quand il y a deux approximations syntaxiques dès la première page d'un roman, j'ai un peu de mal.

A+

Patrice

Elitiste !

Oncle Joe

Patrice a écrit :Salut,

Je me fiche pas mal qu'un roman se vende ou pas. Par contre, quand il y a deux approximations syntaxiques dès la première page d'un roman, j'ai un peu de mal.

A+

Patrice

S'il n'y en a que deux, ce roman est excreptionnellement bien écrit.

bormandg a écrit :

Patrice a écrit :Je me fiche pas mal qu'un roman se vende ou pas. Par contre, quand il y a deux approximations syntaxiques dès la première page d'un roman, j'ai un peu de mal.

S'il n'y en a que deux, ce roman est excreptionnellement bien écrit.

… ou l'éditeur dispose d'un bon relecteur/correcteur (ce qui se fait de plus en plus rare…).

Eons a écrit :

bormandg a écrit :

Patrice a écrit :Je me fiche pas mal qu'un roman se vende ou pas. Par contre, quand il y a deux approximations syntaxiques dès la première page d'un roman, j'ai un peu de mal.

S'il n'y en a que deux, ce roman est excreptionnellement bien écrit.

… ou l'éditeur dispose d'un bon relecteur/correcteur (ce qui se fait de plus en plus rare…).

Il en existe encore?

yogo a écrit :Je me pose une question existentielle, une vraie de vraie... pourquoi les auteurs comme Dan Brown, Bernard Werber, Guillaume Musso ou Marc Lévy (etc...) ont souvent mauvaise presse auprès d'une partie de la population et encensé par une autre partie ?

Est-il si difficile d'envisager que beaucoup de gens ont des goûts de chiotte ou un niveau d'exigence qualitatif peu élevé ou sont des feignasses, et que c'est pour cette raison que des auteurs comme Musso ou Meyer vendent en masse des bouquins mal écrits, pas franchement originaux, mais faciles à lire ?

...

Oui, ce matin, je suis pleine de nuances, de diplomatie et de politiquement correct.

Lisore a écrit :

yogo a écrit :Je me pose une question existentielle, une vraie de vraie... pourquoi les auteurs comme Dan Brown, Bernard Werber, Guillaume Musso ou Marc Lévy (etc...) ont souvent mauvaise presse auprès d'une partie de la population et encensé par une autre partie ?

Est-il si difficile d'envisager que beaucoup de gens ont des goûts de chiotte ou un niveau d'exigence qualitatif peu élevé ou sont des feignasses, et que c'est pour cette raison que des auteurs comme Musso ou Meyer vendent en masse des bouquins mal écrits, pas franchement originaux, mais faciles à lire ?

...

Oui, ce matin, je suis pleine de nuances, de diplomatie et de politiquement correct.

Ta remarque me semble tout à fait raisonnable et tranche la question. C'est tout à fait ça. Certes, on pourrait te reprocher l'expression "goûts de chiotte" en la voyant comme méprisante, mais si on remplace pas "goûts peu exigeants en matière artistique, parce que peu concernés par cet aspect des choses, pour quelque raison que ce soit", tout s'explique clairement, et il n'y a pas à en faire un problème, en principe.

Oncle Joe

On pourrait également ajouter que, sur ce forum, on n'a pas à envisager des auteurs qui écrivent des "thrillers", des bouquins pseudo ésotériques, ou des bluettes sentimentales, qui ne rentrent pas dans le cadre du sujet? D'accord, cea laisse notre épouvantail habituel en lice; mais cela élimine les autres, non?

bormandg a écrit :

Eons a écrit :

bormandg a écrit :

Patrice a écrit :Je me fiche pas mal qu'un roman se vende ou pas. Par contre, quand il y a deux approximations syntaxiques dès la première page d'un roman, j'ai un peu de mal.

S'il n'y en a que deux, ce roman est excreptionnellement bien écrit.

… ou l'éditeur dispose d'un bon relecteur/correcteur (ce qui se fait de plus en plus rare…).

Il en existe encore?

Avec certitude, au moins un : moi. Mais comme je ne suis pas payé pour le faire, si je maintiens la qualité, c'est au détriment de la quantité.

Eons a écrit :

bormandg a écrit :

Eons a écrit :

bormandg a écrit :

Patrice a écrit :Je me fiche pas mal qu'un roman se vende ou pas. Par contre, quand il y a deux approximations syntaxiques dès la première page d'un roman, j'ai un peu de mal.

S'il n'y en a que deux, ce roman est excreptionnellement bien écrit.

… ou l'éditeur dispose d'un bon relecteur/correcteur (ce qui se fait de plus en plus rare…).

Il en existe encore?

Avec certitude, au moins un : moi. Mais comme je ne suis pas payé pour le faire, si je maintiens la qualité, c'est au détriment de la quantité.

Désolé, mais tu ne saurais être compté comme relecteur-correcteur: tu es éditeur. Que tu assumes la fonction en sus de ta fonction priincipale ne fait pas de toi un membre de l'espèce disparue. A moins que tu ne sois embauché comme tel par un autre éditeur.