Des centaines de trous noirs sillonnent la Voie Lactée ?
Posté : ven. janv. 11, 2008 8:30 am
Des centaines de trous noirs d'une masse de plusieurs milliers de fois celle du soleil pourraient sillonner la Voie Lactée, notre galaxie, à grande vitesse, selon une étude présentée mercredi aux Etats-Unis.
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Se basant sur des observations avec des télescopes aux rayons-X et des preuves théoriques, des astronomes ont simulé des fusions entre des trous noirs stellaires, a expliqué l'un de ces scientifiques, Kelly Holley-Bockelmann, de l'université Vanderbilt à Nashville (Tennessee, sud).
Les trous noirs de la taille d'une étoile sont très nombreux dans les amas globulaires, un groupe stellaire très dense, contenant typiquement une centaine de milliers d'étoiles.
Utilisant des modèles ordinateurs très sophistiqués intégrant la théorie de la relativité d'Einstein, ces astronomes ont calculé que ces fusions entre les trous noirs pourraient engendrer des centaines de trous noirs de masse intermédiaire.
L'énergie dégagée les catapulterait en dehors des amas globulaires à des vitesses allant jusqu'à 4.000 kilomètres à la seconde, nettement plus que ce qui avait été prédit jusqu'alors.
Ces trous noirs dont la masse est plusieurs fois la masse de celle du soleil, sillonneraient à grande vitesse notre galaxie dans l'espace interstellaire sans attache à un système stellaire.
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Se basant sur des observations avec des télescopes aux rayons-X et des preuves théoriques, des astronomes ont simulé des fusions entre des trous noirs stellaires, a expliqué l'un de ces scientifiques, Kelly Holley-Bockelmann, de l'université Vanderbilt à Nashville (Tennessee, sud).
Les trous noirs de la taille d'une étoile sont très nombreux dans les amas globulaires, un groupe stellaire très dense, contenant typiquement une centaine de milliers d'étoiles.
Utilisant des modèles ordinateurs très sophistiqués intégrant la théorie de la relativité d'Einstein, ces astronomes ont calculé que ces fusions entre les trous noirs pourraient engendrer des centaines de trous noirs de masse intermédiaire.
L'énergie dégagée les catapulterait en dehors des amas globulaires à des vitesses allant jusqu'à 4.000 kilomètres à la seconde, nettement plus que ce qui avait été prédit jusqu'alors.
Ces trous noirs dont la masse est plusieurs fois la masse de celle du soleil, sillonneraient à grande vitesse notre galaxie dans l'espace interstellaire sans attache à un système stellaire.
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