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Zut, je l'ai déjà en papier. Je dois le brûler pour le remplacer par des pixel recyclés ?

Don Lorenjy a écrit :Zut, je l'ai déjà en papier. Je dois le brûler pour le remplacer par des pixel recyclés ?

Non, tu dois jeter ton PC par la fenêtre et garder cette vieille relique de Princesse de Clèves

marc a écrit :

Don Lorenjy a écrit :Zut, je l'ai déjà en papier. Je dois le brûler pour le remplacer par des pixel recyclés ?

Non, tu dois jeter ton PC par la fenêtre et garder cette vieille relique de Princesse de Clèves

Nicolas, on en tient un : je mets les fers au feu ?

Don Lorenjy a écrit :

marc a écrit :

Don Lorenjy a écrit :Zut, je l'ai déjà en papier. Je dois le brûler pour le remplacer par des pixel recyclés ?

Non, tu dois jeter ton PC par la fenêtre et garder cette vieille relique de Princesse de Clèves

Nicolas, on en tient un : je mets les fers au feu ?

en plus si ça se trouve, c'est un prof.

Heu , je tiens à signaler que tous les profs n'apprécient pas ce pensum !
Moi , les états d'âme d'une miss qui ne veut pas s'engager parce qu'elle a peur d'être déçue et de souffrir , ça me fait penser à n'importe quel feuilleton à l'eau de rose pour midinettes ! Lisez plutôt Mme Bovary , vous y verrez ce que deviennent les midinettes qui trans gressent , et c'est autrement plus intéressant , sans omettre que c'est autrement mieux écrit !

Il ne s'agit pas de trouver ça génial et à lire par pur plaisir, juste de le considérer comme un élément de culture à ne pas négliger d'un revers de manche pour faire hype.

Madame Bovary, je n'ai jamais réussi à dépasser l'arrivée de Charbovary à l'école. Dans le genre pénible à lire, pour moi et à ce moment-là, ça se posait un peu là aussi. Mais je ne décrie pas pour autant : c'est moi qui ai un problème avec ce texte (où je croyais retrouver le souffle de Salambo).

Don Lorenjy a écrit :Il ne s'agit pas de trouver ça génial et à lire par pur plaisir, juste de le considérer comme un élément de culture à ne pas négliger d'un revers de manche pour faire hype.

Madame Bovary, je n'ai jamais réussi à dépasser l'arrivée de Charbovary à l'école. Dans le genre pénible à lire, pour moi et à ce moment-là, ça se posait un peu là aussi. Mais je ne décrie pas pour autant : c'est moi qui ai un problème avec ce texte (où je croyais retrouver le souffle de Salambo).

Ca c'est sûr que chercher un souffle chez Emma ça relève de la gageure ! Mais si tu considères l'histoire de cette non-héroïne comme celle d'une victime de ses lectures qui considère la réalité à travers le crible de ce qu'elle a (mal) lu , tu y verras peut-être un écho de ce que de nombreux membres de ce forum doivent éprouver : le sentiment plus ou moins vif que la littérature donne une idée du monde autrement plus intéressante que la réalité , et que le retour à celle-ci est , somme toute , souvent décevant .

Tu expliques très bien l'intérêt, et ça donne une envie de le lire qui ne résiste pas (pour moi) aux premières pages.

Et je suis sûr que tu pourrais faire pareil pour la Princesse