Tu confonds. Ici, c'est bleu et blanc, pas noir et orange...Sillage a écrit : Ce qui m'étonne, c'est que vous le surnommez dieu d'un coté et, de l'autre, vous lui posez les même questions qu'à n'importe quel autre écrivain ou acteur du monde de l'édition.
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- dracosolis
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je sens que sillage a pas fini d'ouvrir grands ses joulis yeux néophytes...Sand a écrit :Tu confonds. Ici, c'est bleu et blanc, pas noir et orange...Sillage a écrit : Ce qui m'étonne, c'est que vous le surnommez dieu d'un coté et, de l'autre, vous lui posez les même questions qu'à n'importe quel autre écrivain ou acteur du monde de l'édition.
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J'ai honte, mais je me suis demandée quelques secondes pourquoi Sand parlait de l'OM...dracosolis a écrit :je sens que sillage a pas fini d'ouvrir grands ses joulis yeux néophytes...Sand a écrit :Tu confonds. Ici, c'est bleu et blanc, pas noir et orange...Sillage a écrit : Ce qui m'étonne, c'est que vous le surnommez dieu d'un coté et, de l'autre, vous lui posez les même questions qu'à n'importe quel autre écrivain ou acteur du monde de l'édition.
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- orcusnf
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mais les dieux sont d'un banal... c'est plus sympa d'être un mortel.Ce qui m'étonne, c'est que vous le surnommez dieu d'un coté et, de l'autre, vous lui posez les même questions qu'à n'importe quel autre écrivain ou acteur du monde de l'édition.
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Surtout quand on n'a pas d'âme !orcusnf a écrit :mais les dieux sont d'un banal... c'est plus sympa d'être un mortel.Ce qui m'étonne, c'est que vous le surnommez dieu d'un coté et, de l'autre, vous lui posez les même questions qu'à n'importe quel autre écrivain ou acteur du monde de l'édition.
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- orcusnf
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ouais, c'est vrai. Moi j'en suis aware, comme jean claude sansame.Hoêl a écrit :Surtout quand on n'a pas d'âme !orcusnf a écrit :mais les dieux sont d'un banal... c'est plus sympa d'être un mortel.Ce qui m'étonne, c'est que vous le surnommez dieu d'un coté et, de l'autre, vous lui posez les même questions qu'à n'importe quel autre écrivain ou acteur du monde de l'édition.
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Il se surnomme dieu tout seul.Sillage a écrit :Ce qui m'étonne, c'est que vous le surnommez dieu d'un coté
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Au sommaire : La pointe d'argent de Cook, Black Man de Morgan, Navigator de Baxter, Cheval de Troie de Wells & The Labyrinth Index de Stross.
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Je fréquente les sites de critiques anglosaxon. J'y lis qu'il y a des auteurs ambitieux qui s'appellent Richard Calder, Steve Aylett, Liz Williams, Elisabeth Bear, Jay Lake, Tobias Buckhell ou Jeffrey Thomas. Où sont donc publiés ces auteurs là chez nous ? Je lis aussi que dans le domaine de la nouvelle des gens comme Andrew Cox pour Interzone ou John Klima pour Electric Velocipede veulent publier une SF plus littéraire. As - t - on un relais de ces initiatives chez nous ?La science-fiction fait partie du paysage littéraire, et plus largement du paysage culturel contemporain. Elle n'est pas passée de mode en général, elle est moins lue et achetée dans le détail, ce qui implique que ce que représente la science-fiction actuellement est moins motivant, moins adapté (et là, oui, moins à la mode) qu'à certains moments du passé.
A mes yeux, elle n'est pas en train de mourir, comme le western en son temps, mais il va falloir une réadaptation éditoriale et un courant plus costaud que le NSO pour porter des textes forts, comme le paradigme social des années 60/70 ou l'explosion cyberpunk des années 80. J'ai confiance. Il suffit que la SF reprenne son souffle
On est bloqué dans le paradigme postmoderne des années 90. Celui de Greg Egan ou de RC Wilson. Celui qui veut rompre avec la tradition du genre, avec ses aspects littéraires. Celui qui se complet dans l'intimisme et qui souhaite réduire le genre à la seule littérature d'idée. La SF littérature d'idée, c'est devenu une véritable antienne. A-t-on oublié à ce point que c'est aussi une littérature d'images et une littérature d'univers ? Lorsque l'on parle de littérature d'idées, on ajoute que la SF est une littérature qui doit faire réfléchir sur la société etc... Franchissant ainsi le Rubicon de la littérature de concept et de la littérature d'idéologie.
Si vous voulez faire de la littérature d'idées voilà quelques thèmes que j'aimerais voir traité en SF :
Le langage trahit-il la pensée ?
L’objectivité de l’histoire suppose-t-elle l’impartialité de l’historien ?
Que gagne-t-on à échanger ?
Le développement technique transforme-t-il les hommes ?
Est-il absurde de désirer l’impossible ?
Y a-t-il des questions auxquelles aucune science ne répond ?
Ah oui c'est les sujets de philo du bac. Mais il y a là dedans de la matière pour des centaines de chefs d'oeuvres du genre. J'arrète la mauvaise fois. Mais en tout cas retrouver le chemin des grands thèmes philosophiques universels ne ferait pas de mal au genre. Ca nous changerais des défonçages de portesouvertes au bulldozer.
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Tiens, on nous a cloné Pierre Stolze.Fabien Lyraud a écrit :A-t-on oublié à ce point que c'est aussi une littérature d'images et une littérature d'univers ? Lorsque l'on parle de littérature d'idées, on ajoute que la SF est une littérature qui doit faire réfléchir sur la société etc... Franchissant ainsi le Rubicon de la littérature de concept et de la littérature d'idéologie.
Gérard Klein a répondu parfaitement à ton semblant d'opposition, en parlant d'icône. La SF est iconique (l'icone rassemblant l'image et l'idée).
Dire que la SF n'est QUE une littérature d'idée ou QUE une littérature d'image, c'est louper l'essentiel. L'image sans idée ne mène pas à grand chose.
"There's an old Earth saying, Captain. A phrase of great power and wisdom. A consolation to the soul, in times of need : Allons-y !" (The Doctor)
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Pour autant que je sache, Egan ne parle QUE de thèmes philosophiques.Mais en tout cas retrouver le chemin des grands thèmes philosophiques universels ne ferait pas de mal au genre
Qu'il passe par la science ne doit pas nous rendre aveugle à son propos majeur, ni considérer que c'est le but de sa litterature.
Petit teaser: il n'écrit pas Océanique pour nous parler de la chimie du cerveau.
Quant au fait que tu les considères universels, ma foi cela dénote d'un humano-centrisme qu'il faut fuir à mon avis. Appelons les des thèmes philosophiques humains, restons humble. C'est d'une présomption qui confine à la folie que de considérer que ce qui est spécifique à l'espèce humaine est universel.
Pas d'accord non plus avec ton opposition littérature d'idées / litterature d'images et d'univers. Je les place du même coté de la barrière, la vraie frontière selon moi étant la littérature de fond (idées, images, univers; etc..) et la litterature de forme.
Trop d'auteurs de SF n'ont simplement rien à dire, même s'il le font avec une maitrise absolue de la forme.
C'est un vieux débat.
Modifié en dernier par gutboy le mar. juin 23, 2009 4:58 pm, modifié 1 fois.
Listen now. Whoever you are, with these eyes of yours that move themselves along this line of text; whoever, wherever, whenever. If you can read this sentence, this one fragile sentence, it means you're alive. (Jeff Noon - Falling out of cars)
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Un début de réponse ici.Fabien Lyraud a écrit :Que gagne-t-on à échanger ?
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