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Les Editions Oskar Jeunesse recherche des romans pour leur nouvelle collection Fantasy pour adolescents (11-15 ans).

La taille 200 000 signes minimum

Le contact : christineff@wanadoo.fr

Le simple fait de limiter le nombre de signes est signifiant.

Le_navire a écrit :Le simple fait de limiter le nombre de signes est signifiant.

De quoi ?

minimum hélène, pas maximum.

orcusnf a écrit :minimum hélène, pas maximum.

Ce qui ne change rien sur le fond...

Ben non, ça ne change rien.
la limitation n'est pas la même, c'est toujours une limitation. Et toute limitation dans les principes d'écriture suppose un formatage, donc des principes de publication qui ne tiennent pas strictement compte de la qualité du bouquin. On peut certes avoir d'excellents bouquins à plus de 200 000 signes, mais ça veut dire qu'entre un sublime à 150 000 et un pas mal à 200 000, on fait pas le bon choix. Y a dix ans, la limitation était dans l'autre sens, peut être que c'était pire, en tout cas on a vu ce que ça a appauvri la production.

Je sais, je sais, ça m'énerve toujours, c'est un combat d'arrière garde, tout ça.
Pardon, j'y peux rien, il y a des choses sur lesquelles on a du mal à se refaire.

Le_navire a écrit :Ben non, ça ne change rien.
la limitation n'est pas la même, c'est toujours une limitation. Et toute limitation dans les principes d'écriture suppose un formatage, donc des principes de publication qui ne tiennent pas strictement compte de la qualité du bouquin. On peut certes avoir d'excellents bouquins à plus de 200 000 signes, mais ça veut dire qu'entre un sublime à 150 000 et un pas mal à 200 000, on fait pas le bon choix. Y a dix ans, la limitation était dans l'autre sens, peut être que c'était pire, en tout cas on a vu ce que ça a appauvri la production.

Je sais, je sais, ça m'énerve toujours, c'est un combat d'arrière garde, tout ça.
Pardon, j'y peux rien, il y a des choses sur lesquelles on a du mal à se refaire.

Tous les AT comprennent des limitations et quasi tous les éditeurs se fixent des limites.
En tant qu'auteure, cela m'ennuie, je l'avoue, car j'écris des textes très courts et rentre mal dans les impératifs, mais je comprends aussi qu'il y a des coûts d'impression derrière.
Et, en tant qu'éditrice, je fixe des limites, donc je peux difficilement jeter la pierre aux autres. Un éditeur n'est pas censé offrir sa chance à tous les écrivains, mais à ceux qui lui correspondent...

Les AT pour des nouvelles, c'est normal, plus où moins, selon le nombre d'auteurs qu'on veut réunir en antho.
Pour le roman, les essais, etc, non, je ne trouve pas ça normal.