Un remake pour Waterworld ?
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Un remake pour Waterworld ?
La chaîne américaine SyFy serait actuellement en train de négocier les droits du film avec Universal pour en faire un remake, pour le grand ou le petit écran.
Waterworld était en sorti en 1995 avec pour acteur principal Kevin Costner et il est rentré dans l'histoire du cinéma pour avoir coûté extrêmement cher.
Le synopsis : A la suite d'une catastrophe écologique, la Terre est recouverte par les océans. Les rares survivants vivent sur des atolls artificiels, rêvant d'une contrée mythique, Dryland, recouverte de vastes forêts et de profondes vallées.
(Source)
Waterworld était en sorti en 1995 avec pour acteur principal Kevin Costner et il est rentré dans l'histoire du cinéma pour avoir coûté extrêmement cher.
Le synopsis : A la suite d'une catastrophe écologique, la Terre est recouverte par les océans. Les rares survivants vivent sur des atolls artificiels, rêvant d'une contrée mythique, Dryland, recouverte de vastes forêts et de profondes vallées.
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- Eons
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Ils devraient plutôt adapter Déluge, de Baxter, qui peut être vu comme une préquelle de Waterworld.
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
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Ben, on pourrait considérer que Waterworld est une mauvaise séquelle de Déluge, mais comme il est d'à peu près 15 ans antérieur, c'est difficile.
Et puis, « préquelle » ne signifie pas obligatoirement « mauvais » !
Déluge est d'ailleurs un très bon bouquin, que je recommande à ceux qui ne connaissent pas encore. Le seul reproche que je ferai à Baxter, c'est que l'origine des eaux est un peu capillotractée (même si on a au moins le droit à une explication scientifique, contrairement à Waterworld ).
Et puis, « préquelle » ne signifie pas obligatoirement « mauvais » !
Déluge est d'ailleurs un très bon bouquin, que je recommande à ceux qui ne connaissent pas encore. Le seul reproche que je ferai à Baxter, c'est que l'origine des eaux est un peu capillotractée (même si on a au moins le droit à une explication scientifique, contrairement à Waterworld ).
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Une préquelle quand même bien radicale... j'ai encore en mémoire l'inévitable scène finale.Eons a écrit :Ils devraient plutôt adapter Déluge, de Baxter, qui peut être vu comme une préquelle de Waterworld.
Par contre, adapté tel quel ça ferait quand même un film très verbeux et un peu confus dans le suivi des personnages.
C'est drôle comme de nombreux romans récents semblent bien plus adaptables au format "série" qu'au format "long métrage".
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"Il aura fallu des millions d'années à l'espèce humaine pour descendre des arbres et seulement dix de plus pour se mettre en vitrine." R. Powers
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- Eons
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Ça, c'est un oxymore.Sylvaner a écrit :adapté tel quel
Si on adapte, c'est qu'on ne laisse pas tel quel.
D'ailleurs, rares sont les romans transposables à l'écran sans de sérieuses adaptations.
Le Dune d'Harrison, par exemple, est plus fidèle au livre – donc moins "adapté" – que celui de Lynch, mais il est aussi beaucoup plus soporifique.
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Le Dune de Lynch est pourtant pas mal soporifique... A chaque fois que la voix off disait "Le Dormeur doit se reveiller", je sursautais d'un air coupableEons a écrit :Le Dune d'Harrison, par exemple, est plus fidèle au livre – donc moins "adapté" – que celui de Lynch, mais il est aussi beaucoup plus soporifique.
Je me demande ce qu'aurait donne une adaptation par Jodorowsky. Dommage que ca ne soit pas fait.
… ça reste effectivement le film d'un monde parallèle…Davidian a écrit :
Je me demande ce qu'aurait donne une adaptation par Jodorowsky. Dommage que ca ne soit pas fait.
Ces réflexions (hum) que nous menons fréquemment à propos des "adaptations" cinématographiques rappellent à quel point l' "adaptation" d'une œuvre littéraire au cinéma, bien que ce soit une tentation à laquelle il est impossible de résister, est à la base un non-sens. L'écrit à son système, et un texte littéraire est un texte littéraire, point. Passer au film, c'est faire tout autre chose. Plutôt que d'"adaptation", je trouve le terme "variation" plus… adapté (hum). On fait un film "autour", "à partir', d'un roman. Mais "adaptation" est un terme trop précis, qui ne convient presque jamais, à mon sens. J'écris tout de même "presque", parce que je vois quelques cas particuliers réussis, avec certains types d'œuvres écrites. Par exemple, les roman d'Ira Levin, dont Un bébé pour Rosemary me semble mériter le nom d'adaptation, avec sans doute même un "plus" amené par le génie du réalisateur. Même chose pour Ces garçons qui venaient du Brésil, du même écrivain. L'écriture de Levin s'y prête.
Oncle Joe
Ou parlé d’œuvre "inspiré de" voir "dérivé de"... mais après c'est du débat de sémanticien, ça ne change pas grand chose au fond :pLensman a écrit :… ça reste effectivement le film d'un monde parallèle…Davidian a écrit :
Je me demande ce qu'aurait donne une adaptation par Jodorowsky. Dommage que ca ne soit pas fait.
Ces réflexions (hum) que nous menons fréquemment à propos des "adaptations" cinématographiques rappellent à quel point l' "adaptation" d'une œuvre littéraire au cinéma, bien que ce soit une tentation à laquelle il est impossible de résister, est à la base un non-sens. L'écrit à son système, et un texte littéraire est un texte littéraire, point. Passer au film, c'est faire tout autre chose. Plutôt que d'"adaptation", je trouve le terme "variation" plus… adapté (hum). On fait un film "autour", "à partir', d'un roman. Mais "adaptation" est un terme trop précis, qui ne convient presque jamais, à mon sens. J'écris tout de même "presque", parce que je vois quelques cas particuliers réussis, avec certains types d'œuvres écrites. Par exemple, les roman d'Ira Levin, dont Un bébé pour Rosemary me semble mériter le nom d'adaptation, avec sans doute même un "plus" amené par le génie du réalisateur. Même chose pour Ces garçons qui venaient du Brésil, du même écrivain. L'écriture de Levin s'y prête.
Oncle Joe
Vinze 101010
In theory there's no difference between theory and practice, but in practice there is.
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