Wall E

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Erion
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Message par Erion » jeu. août 21, 2008 3:21 pm

Transhumain a écrit :. Je n'y vois pas une grande subtilité Erion, y compris, et surtout, sur les "réseaux cognitifs". Si les robots y développent une personnalité, c'est qu'ils sont d'emblée humanisés. L'anthropomorphisme ici atteint des sommets.
Pas vraiment. Il faut bien voir comment le processus s'opère. Wall-E récupère des détritus qu'il sélectionne. Il a son propre mode de sélection (ainsi il jette la bague et garde la boîte). L'ensemble des sélections a formé sa personnalité. Comme il s'agit d'objets humains, de détritus, la personnalité de Wall-E a une empreinte humaine. Je pourrais développer, mais y'a énormément d'éléments précis qui montrent que la personnalité de Wall-E n'est pas totalement arbitraire. Et la forme de ses sentiments provient d'une comédie musicale.
A l'inverse, Eve, à son arrivée sur Terre, n'a aucun sentiment, pas de personnalité, juste des directives. C'est au contact avec un détritus (Wall-E), une anormalité qu'Eve évolue. Alors que dans son univers sur Axiom, Eve ne pouvait pas développer de personnalité. Ce n'est pas un hasard si ce sont les robots à réparer qui se révoltent, parce qu'ils ont une programmation qui s'est éloignée de l'origine (ils ne sont pas cassés à proprement parler).
Erion a écrit : L'essentiel du film, son moteur principal, c'est l'histoire d'amour entre Wall-E et Eve. POINT.
Euh, tu permets qu'on puisse interpréter un film sans le réduire à un seul et unique élément ? L'histoire d'amour est un moteur, pas le seul, puisqu'il s'agissait à l'évidence pour les scénaristes de montrer à leur jeune public combien le mode de vie qu'ils adoptent avec leurs parents contribue à faire de leur planète une poubelle (au fait, PIxar/Disney ne sont-ils pas les champions absolus des produits dérivés fabriqués par de la main d'oeuvre bon marché et poussant à la consommation à outrance ?) ?...), et combien la rencontre avec l'autre est primordiale. D'ailleurs, l'histoire d'amour n'a de sens qu'inscrite dans ce contexte précis, où les hommes jouent un rôle essentiel :
Alors, ton analyse serait peut-être exacte, mais elle se heurte à 2 faits objectifs que j'ai appris après avoir vu le film :
- Stanton lui-même dit que Wall-E c'est avant tout l'histoire d'amour des deux robots.

Mais bon, admettons que l'auteur ne soit pas maître de son discours, on va pas débattre la-dessus.

- Dans les projets préparatoires de Wall-E, l'histoire des deux robots était présente, mais il n'y avait PAS d'humains, uniquement des extra-terrestres, appelés "gels". Alors on peut sans doute deviser sur l'origine du changement, mais toujours est-il que l'histoire d'amour est totalement indépendante de l'existence des humains, puisqu'elle existait même s'il s'agissait d'extra-terrestres.

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crazy guide
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Message par crazy guide » jeu. août 21, 2008 3:30 pm

céline B a écrit : et quand je dis plus adultes, c'est pas avec du sesque mais avec de l'humour un peu plus subtil ! crazy guide tu n'es qu'une bande d'obsédé à toi tout seul :wink:
Non ! Je suis juste..... différent (c'est plus poliquement correct)

Pour être un chouia plus sérieux, je faisais cette remarque uniquement parce que je constate souvent que la différence entre littérature/BD/etc. classé "adulte" et le reste la principale différence c'est le sesque présent dans l'oeuvre.
Je veux dire par là qu'un DA avec une histoire complexe, philosophique, politique et ainsi de suite, tant qu'elle ne contient rien de "seskuel" ne sera pas classé adulte. En gros les gamins peuvent tout comprendre (y compris toutes les perversités de l'esprit que sont, par exemple, le foot et la politique) mais le sesque non; ils peuvent pas !
Je vous plains vous les êtres humains . . . . Obligés d'attendre l'aval de vos pères pour découvrir le plaisir à l'état brut. . .

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Erion
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Message par Erion » jeu. août 21, 2008 3:33 pm

Je rajoute en anglais, une interview de Stanton sur le sujet de son film :
http://www.moviesonline.ca/movienews_14899.html

MoviesOnline: Can you talk about the de-evolution of the humans on the floating cruise ship, the Axiom?
ANDREW STANTON: Honestly I just wanted to go with… I knew what I wanted humanity to be and I didn’t know exactly how to express it at first. It was something to amplify what was going on with the main point of the story of the movie, of the love story. I’m not one of those people that comes up with a theme and then writes to it. I like to go sort of with natural things that seem to be firing and then somewhere half way I realize what the theme is. I realized that what I was pushing with these two programmed robots was their desire to try and figure out what the point of living was and it took these really irrational acts of love to sort of discover them against how they were built. And I said, “That’s it, that’s my theme, ‘irrational love defeats life’s programming.’” I realized that’s a perfect metaphor for real life. We all fall into our habits, our routines, our ruts, and they’re actually used quite often, consciously or unconsciously, to avoid living, to avoid having to do the messy part of having relationships with other people, of dealing with the person next to us. That’s why we can all be in a room and on our cell phones and not have to deal with one another. I thought that’s a perfect amplification of the whole point of the movie so I just wanted to run with science in a way that would sort of logically project that. And when I found out by talking to John Hicks who was an advisor to NASA about long term residency in space, he told me this fact of they still are arguing about how exactly to correctly set it up so that when a human does go all the way to Mars and back, they won’t start losing their bones. Because with disuse, atrophy kicks in if you don’t simulate gravity just right the entire time. And that’s sort of a form of osteoporosis and you won’t get that back. And they actually said they’ve had arguments where they go, “If we don’t get this right, they’re just going to be a big blob.” And I said, “Oh my gosh, that’s perfect! That’s perfect!” I didn’t want it to be off putting. To be honest, in a very early version, I actually went so weird I made them like big blobs of jello because I thought jello was funny and they would just sort of wiggle and stuff. And there was sort of a Planet of the Apes conceit where they didn’t even know they were humans anymore and they found that out, but it was so bizarre I had to sort of pull back. I needed some more grounding. So as I pulled back, I go, “Look, I don’t want it to be offensive but I do think that if you had no reason to do anything anymore, if everything had been figured out, you know, health, regenerative food, all the other needs to get up, and technology made it that easy to never have to get up -- it’s kind of happening just with my remote in my living room – then I guess this would sort of set in. So I thought alright, I’ll make them big babies. There’s actually a scientific term that Peter Gabriel told me about. It’s called neoteny where there’s this belief that nature kind of figures out that you don’t have to use these parts of yourself anymore to survive so why give it to you? Why let you grow any farther? And I thought that’s perfect. It was almost again sort of a metaphor for it’s time to get up and grow up a little bit at the end.

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céline B
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Message par céline B » jeu. août 21, 2008 4:06 pm

crazy guide a écrit :Pour être un chouia plus sérieux, je faisais cette remarque uniquement parce que je constate souvent que la différence entre littérature/BD/etc. classé "adulte" et le reste la principale différence c'est le sesque présent dans l'oeuvre.
Je veux dire par là qu'un DA avec une histoire complexe, philosophique, politique et ainsi de suite, tant qu'elle ne contient rien de "seskuel" ne sera pas classé adulte. En gros les gamins peuvent tout comprendre (y compris toutes les perversités de l'esprit que sont, par exemple, le foot et la politique) mais le sesque non; ils peuvent pas !
Je vous plains vous les êtres humains . . . . Obligés d'attendre l'aval de vos pères pour découvrir le plaisir à l'état brut. . .
pour citer de nouveau du Miyazaki, je n'emmerais pas des enfants voir Princesse Mononoke ni même Nausicaa ou Pompoko car il y a des images ou des concepts qui leur échapperaient totalement (les tanukis victime de l'urbanisation et tout ce que ça imlpique derrière) ou des images violentes (Ashitaka décapitant les ennemis à coup de flèche, la décapitation du Dieu cerf, la mort de Nausicaa...).
Comment peut-on classer ces films "pour enfants" ? j'imagine mal. On devrait inventé un autre mot que films pour adultes qui a une connotation sesquelle :roll:
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rmd
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Message par rmd » jeu. août 21, 2008 4:45 pm

céline B a écrit :pour citer de nouveau du Miyazaki, je n'emmerais pas des enfants voir Princesse Mononoke ni même Nausicaa ou Pompoko car il y a des images ou des concepts qui leur échapperaient totalement
Mon fils a vu quasiment tous les ghibli (sauf mononoke, le tombeau des lucioles et quelques autres) entre 5 et 9 ans sans problème. Et après avoir vu nausicaa, il s'est enfilé les 7 tomes du manga. Je ne crois pas qu'il ait eu des problèmes de compréhension et il est tout à fait représentatif des gamins de son âge. Croire qu'un gamin de 8 ans ne peut pas comprendre des concepts politique/sociaux est une erreur.

Tiens, c'est comme croire que la littérature jeunesse doit etre simpliste.
Après des années de cérémonie du Thé, il n’y a rien de meilleur que de vomir de la Bière.

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céline B
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Message par céline B » jeu. août 21, 2008 6:06 pm

rmd a écrit :
céline B a écrit :pour citer de nouveau du Miyazaki, je n'emmerais pas des enfants voir Princesse Mononoke ni même Nausicaa ou Pompoko car il y a des images ou des concepts qui leur échapperaient totalement
Mon fils a vu quasiment tous les ghibli (sauf mononoke, le tombeau des lucioles et quelques autres) entre 5 et 9 ans sans problème. Et après avoir vu nausicaa, il s'est enfilé les 7 tomes du manga. Je ne crois pas qu'il ait eu des problèmes de compréhension et il est tout à fait représentatif des gamins de son âge. Croire qu'un gamin de 8 ans ne peut pas comprendre des concepts politique/sociaux est une erreur.

Tiens, c'est comme croire que la littérature jeunesse doit etre simpliste.
juste pour info, je fais des interventions sur l'environnement sur des classes en tre 8 et 12 ans (bon OK dans le 93 :roll: ) et je suis pas bien sûr que ton fils ne soit pas une exception ;)
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crazy guide
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Message par crazy guide » ven. août 22, 2008 8:38 am

céline B a écrit :
crazy guide a écrit :Pour être un chouia plus sérieux, je faisais cette remarque uniquement parce que je constate souvent que la différence entre littérature/BD/etc. classé "adulte" et le reste la principale différence c'est le sesque présent dans l'oeuvre.
Je veux dire par là qu'un DA avec une histoire complexe, philosophique, politique et ainsi de suite, tant qu'elle ne contient rien de "seskuel" ne sera pas classé adulte. En gros les gamins peuvent tout comprendre (y compris toutes les perversités de l'esprit que sont, par exemple, le foot et la politique) mais le sesque non; ils peuvent pas !
Je vous plains vous les êtres humains . . . . Obligés d'attendre l'aval de vos pères pour découvrir le plaisir à l'état brut. . .
pour citer de nouveau du Miyazaki, je n'emmerais pas des enfants voir Princesse Mononoke ni même Nausicaa ou Pompoko car il y a des images ou des concepts qui leur échapperaient totalement (les tanukis victime de l'urbanisation et tout ce que ça imlpique derrière) ou des images violentes (Ashitaka décapitant les ennemis à coup de flèche, la décapitation du Dieu cerf, la mort de Nausicaa...).
Comment peut-on classer ces films "pour enfants" ? j'imagine mal. On devrait inventé un autre mot que films pour adultes qui a une connotation sesquelle :roll:
Enfin quelqu'un qui comprend ce que j'essaye de dire !
Merci.

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Transhumain
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Message par Transhumain » ven. août 22, 2008 9:00 am

Erion a écrit : - Dans les projets préparatoires de Wall-E, l'histoire des deux robots était présente, mais il n'y avait PAS d'humains, uniquement des extra-terrestres, appelés "gels". Alors on peut sans doute deviser sur l'origine du changement, mais toujours est-il que l'histoire d'amour est totalement indépendante de l'existence des humains, puisqu'elle existait même s'il s'agissait d'extra-terrestres.
Que l'histoire d'amour des robots soit l'idée de base du film, à l'origine de tout le projet - son moteur essentiel, donc -, je le conçois, mais je te trouve bien péremptoire quand tu affirmes qu'elle est indépendante de l'existence des humains. Puisque tu écris, tu dois savoir qu'une oeuvre n'acquiert tout son sens qu'à mesure qu'elle se construit. Les types de Pixar voulaient une histoire d'amour entre robots, tout est parti de cette simple idée j'imagine, mais il se trouve qu'elle s'est exprimée dans un contexte très précis, qui doit donc être intégré dans toute tentative d'analyse, même comme ici, à la volée, sur un forum. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que les scénaristes ont habilement lié la romance robotique au destin de l'humanité.

Sur le développement de la personnalité de Wall-E et d'EVE : le scénario est certes assez intelligent, mais fantaisiste. On est plus dans la fable que dans la fiction scientifique, hein. Je ne sache pas qu'une cafetière programmable ait déjà rougi au contact de ses propriétaires... :oops:

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Message par systar » ven. août 22, 2008 9:30 am

Transhumain a écrit :Je ne sache pas qu'une cafetière programmable ait déjà rougi au contact de ses propriétaires... :oops:
"Le point de vue de la cafetière", dans Malgré le monde, de Limite.

Révise tes classiques, Transhu!!! 8)

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Erion
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Message par Erion » ven. août 22, 2008 9:32 am

Transhumain a écrit : Que l'histoire d'amour des robots soit l'idée de base du film, à l'origine de tout le projet - son moteur essentiel, donc -, je le conçois, mais je te trouve bien péremptoire quand tu affirmes qu'elle est indépendante de l'existence des humains. Puisque tu écris, tu dois savoir qu'une oeuvre n'acquiert tout son sens qu'à mesure qu'elle se construit. Les types de Pixar voulaient une histoire d'amour entre robots, tout est parti de cette simple idée j'imagine, mais il se trouve qu'elle s'est exprimée dans un contexte très précis, qui doit donc être intégré dans toute tentative d'analyse, même comme ici, à la volée, sur un forum. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que les scénaristes ont habilement lié la romance robotique au destin de l'humanité.
Comme l'explique Stanton, c'est à double étage. L'idée de base, c'était "et si on écrivait une histoire sur le dernier robot sur Terre". Point. Ensuite, est né l'histoire d'amour. Il est vrai que l'oeuvre acquiert son sens quand elle s'écrit, mais dans le passage que j'ai copié/collé, tu remarqueras que le thème majeur de Stanton tourne autour de cette histoire d'amour. Les humains y apparaissent (par la néoténie), mais à mes yeux, ils constituent bien un décor. Ils sont peu caractérisés, à part le capitaine et le couple (et encore, le couple est "générique"). Même si, l'une des répliques centrales des humains, c'est celle du capitaine "Define dancing", que je trouve superbe à de multiples points de vue.
Ce que je reproche à ton approche avec visée biblique (pour caricaturer), c'est qu'elle s'appuie en gros sur UN élément : le nom d'EVE. Alors, qu'à mon avis, on peut élaborer quelque chose de beaucoup plus concret à partir des déchets, des rebuts... du délaissé et du superficiel. Ce qui décide le capitaine de retourner sur Terre, ce n'est pas sa vie actuelle, ennuyeuse mais paradisiaque (consuméristiquement parlant), mais le désir de choses superficielles comme le fait de danser. Pas une notion morale de ce que doit être la vie, une vie juste ou tout ce qu'on veut, mais l'accessoire, ce qui n'est pas utile. C'est bien plus tard que ce désir se transforme en impératif moral.
Sur le développement de la personnalité de Wall-E et d'EVE : le scénario est certes assez intelligent, mais fantaisiste. On est plus dans la fable que dans la fiction scientifique, hein. Je ne sache pas qu'une cafetière programmable ait déjà rougi au contact de ses propriétaires... :oops:
C'est là où tu fais erreur. Je n'ai plus la référence sous la main, mais sur le net un chercheur en IA a fait tout un article pour expliquer à quel point la personnalité de Wall-E est réaliste au vu des découvertes actuelles. De même, un point essentiel, c'est que les autres robots ne prennent une personnalité qu'au CONTACT de Wall-E.
Un épisode me semble assez symptomatique. Quand Wall-E veut retrouver EvE sur l'Axiom, il passe devant une sorte de robot-vieux-fonctionnaire qui se contente de taper sur des boutons (ce qui n'est pas réaliste, on est d'accord). Wall-E passe et lui fait salut de la main avant de prendre l'ascenseur. En voyant ce geste, le robot engage une routine et essaie d'intégrer ce geste. Quand il reverra Wall-E, il lui dira au revoir.

Il était donc sans personnalité au début, et en acquière une au contact de Wall-E, même si c'est très limité. Et le processus, on le retrouve dans des tas de développement actuels.

C'est pourquoi dire que les robots sont anthropomorphes n'est pas exacts. Avant de croiser Wall-E, ils ne le sont pas, c'est après leur rencontre avec le robot, alors qu'il perturbe leur routine qu'ils intègrent de nouveaux éléments. Ces éléments sont humains, ou plus exactement, terriens.

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Broussaille
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Message par Broussaille » lun. août 25, 2008 8:39 pm

Bon en gros, un film qui déclenche une petite polémique à lui tout seul sur ce forum est, je considère, à voir.

Ce que j'irais faire dès que possible.

Bonne argumentation à tous.

P.S : je ne suis plus un gosse depuis des années, mais le SEUL DA qui m'a fait pleurer de toute ma vie apres Bambi, c'est Princesse Mononoke. Enfin bon, c'est surtout parce que je ne suis qu'un pauvre écolo-sur-la-fin tourné nihiliste sous la pression de mon propre pessimisme.
Si seuls mes sens me démontrent la réalité, alors le ciel est rose, le béton mou et chaud, mes amis de vagues batraciens à nageoires et l'air une paille de fer au goût de pamplemousse. Car ma réalité est Acide.

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Message par Eons » mar. août 26, 2008 8:32 am

Broussaille a écrit :Bon en gros, un film qui déclenche une petite polémique à lui tout seul sur ce forum est, je considère, à voir.

Ce que j'irais faire dès que possible.
Pense quand même à mettre un pantalon avant.
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr

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