Avatar
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- Lisore
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Vu. Dans une salle comble, ce qui est exceptionnel pour un dimanche matin dans mon bled.
C'est très beau, rien à dire là-dessus. La musique est naze, là aussi, je suis d'accord. L'histoire ne casse pas des briques mais n'est pas non plus totalement neuneu.
Non, ce qui m'embête, c'est le manque d'émotions, de ressenti, d'émulation, de tout ce que vous voulez. J'ai trouvé ça froid et je n'ai jamais réussi à rentrer dans le film. Dommage.
C'est très beau, rien à dire là-dessus. La musique est naze, là aussi, je suis d'accord. L'histoire ne casse pas des briques mais n'est pas non plus totalement neuneu.
Non, ce qui m'embête, c'est le manque d'émotions, de ressenti, d'émulation, de tout ce que vous voulez. J'ai trouvé ça froid et je n'ai jamais réussi à rentrer dans le film. Dommage.
...!
Avatar est un joli film. Je ne l'ai vu qu'en 2D pour cause de salle bondée à Strasbourg (un seul ciné en 3D, qui n'est même pas le multiplexe géant de 21 salles !)
C'est donc très joli, du très grand spectacle qui doit en foutre plein les yeux au point d'en faire mal à la tête en 3D. Esthétique superbe, décors prodigieux, des idées pas forcément neuves (les arbres géants, les rochers qui flottent, etc) mais assez bien recyclés, même si le coup de la "connexion USB" est original, et pas assez exploité, comme l'évoquait l'un des membres ci-dessus.
Il y a une foule de détails très intéressants mais très secondaires dans la description des Na'vis et de l'histoire générale, des petits machins visuels qui passent comme ça mais qui font preuve d'une vraie recherche et d'une véritable construction du cadre, qui rende cet univers crédible et pas seulement fait de pixels. Pour ce qui est de la trame générale, par contre, c'est gentillet, presque un prétexte, à rapprocher de Pocahontas (qui a été évoqué aussi dans les pages précédentes, que je n'ai jamais vu mais dont je connais la trame générale) avec des personnages forcément très stéréotypés (le vilain pas beau militaire qui tire plus vite qu'il ne réfléchit, la gentille scientifique, les seconds rôles qui meurent nécessairement, l'industriel cupide, etc...) et des Na'vis très humains malgré leurs spécificités (bon, après, on voit mal le bonhomme dans son avatar craquer pour une grenouille gluante à six pattes...)
Je ne parlerai pas de chef d'oeuvre, ni encore moins de nanar. C'est du grand spectacle, du grand divertissement, du blockbuster plein d'effets spéciaux bourrés de dollars, mais pour une fois, ça a une connotation positive. Avatar n'est pas le énième blockbuster de l'été où on casse la planète et où le président des USA sauve finalement son pays, et le chien de sa gamine sur fond de bannière étoilée. Certes, la finesse n'est pas absolue dans le scénario, mais Avatar dépayse, fait voyager et dans un certain sens rêver, même si tout n'est pas là pour en faire un bijou cinématographique absolu. On passe un bon moment scotché dans notre fauteuil en vivant le film et cela fait partie de ce qu'on cherche en allant au cinéma voir ce genre de film !
C'est donc très joli, du très grand spectacle qui doit en foutre plein les yeux au point d'en faire mal à la tête en 3D. Esthétique superbe, décors prodigieux, des idées pas forcément neuves (les arbres géants, les rochers qui flottent, etc) mais assez bien recyclés, même si le coup de la "connexion USB" est original, et pas assez exploité, comme l'évoquait l'un des membres ci-dessus.
Il y a une foule de détails très intéressants mais très secondaires dans la description des Na'vis et de l'histoire générale, des petits machins visuels qui passent comme ça mais qui font preuve d'une vraie recherche et d'une véritable construction du cadre, qui rende cet univers crédible et pas seulement fait de pixels. Pour ce qui est de la trame générale, par contre, c'est gentillet, presque un prétexte, à rapprocher de Pocahontas (qui a été évoqué aussi dans les pages précédentes, que je n'ai jamais vu mais dont je connais la trame générale) avec des personnages forcément très stéréotypés (le vilain pas beau militaire qui tire plus vite qu'il ne réfléchit, la gentille scientifique, les seconds rôles qui meurent nécessairement, l'industriel cupide, etc...) et des Na'vis très humains malgré leurs spécificités (bon, après, on voit mal le bonhomme dans son avatar craquer pour une grenouille gluante à six pattes...)
Je ne parlerai pas de chef d'oeuvre, ni encore moins de nanar. C'est du grand spectacle, du grand divertissement, du blockbuster plein d'effets spéciaux bourrés de dollars, mais pour une fois, ça a une connotation positive. Avatar n'est pas le énième blockbuster de l'été où on casse la planète et où le président des USA sauve finalement son pays, et le chien de sa gamine sur fond de bannière étoilée. Certes, la finesse n'est pas absolue dans le scénario, mais Avatar dépayse, fait voyager et dans un certain sens rêver, même si tout n'est pas là pour en faire un bijou cinématographique absolu. On passe un bon moment scotché dans notre fauteuil en vivant le film et cela fait partie de ce qu'on cherche en allant au cinéma voir ce genre de film !
Tell them stories !
Tiens j'ai oublié de dire ça ici, alors que ç'avait aussi été mon 1er sentiment à la sortie du film. J'avais bêtement qualifié ça d'un "manque d'âme". Un peu à cause de la musique, un peu à cause des clichés et passages obligés, un peu à cause de tout le temps passé à s'émerveiller sur l'esthétique et pas sur les personnages ?Lisore a écrit :Non, ce qui m'embête, c'est le manque d'émotions, de ressenti, d'émulation, de tout ce que vous voulez. J'ai trouvé ça froid et je n'ai jamais réussi à rentrer dans le film. Dommage.
Tous avec moi pour fonder le fan club de Kevin J Anderson et du communisme, le meilleur auteur de SF de tous les temps et le meilleur système social jamais appliqué de tous les temps ! \o/
- bormandg
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Pas encore vu, donc je ne saurais juger de la pertinence de ton avis, Stef. Sauf que je suis choqué quand tu écris:

Tu as lu Frank Herbert et la série du Programme conscience? Elle s'appelle comment, la planète inséminée par Nef?e nom de la planète, en fait. Pandora : jamais dans toute l’histoire de l’humanité, si on réussit à explorer l'espace, on n’appellera une planète comme cela. Du moins pas avant d’avoir découvert dessus un équivalent de la boîte de Pandore. C’est un nom trop négatif, donc,ce nom est stupide.


"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Jeu vidéo borderlands.
Comment s'appelle la planète où se passe l'histoire ?
Pandora
Plus que "on n'appellerait jamais une planète comme ça paske c'est négatif" (alors que l'idée est justement de dire que cette planète est dangereuse voire létale pour tout homme), moi je pense plutôt "on n'appellerait jamais une planète comme ça paske c'est un putain de cliché".
Comment s'appelle la planète où se passe l'histoire ?
Pandora

Plus que "on n'appellerait jamais une planète comme ça paske c'est négatif" (alors que l'idée est justement de dire que cette planète est dangereuse voire létale pour tout homme), moi je pense plutôt "on n'appellerait jamais une planète comme ça paske c'est un putain de cliché".
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- bormandg
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AMA, les américains aiment ce nom et ne lui trouvent aucune connotation négative. 

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- Stéphane
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Ben non : comment tu peux appeler une planète en rapport avec le mythe de Pandore tant que tu ne sais pas que c'est une boîte de Pandore ? Éventuellement, après qu'une catastrophe soit survenue, ça pourrait être son surnom, mais l'appeler comme ça dès le début, j'y crois peu.
Mais c'est évidemment du détail.
Mais c'est évidemment du détail.
Les Américains sont des ignares (comme la plupart des Français qui ne savent sûrement pas qui est Pandore d'ailleurs).bormandg a écrit :AMA, les américains aiment ce nom et ne lui trouvent aucune connotation négative.
- bormandg
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Je répète mon opinion, Stef: les américains ne se réfèrent pas au mythe de Pandore; en tout cas Nef ne connaissait que les mythes chrétiens, alors....
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Comme aurait dit Sturgeon: 99% des américains sont des ignares; 99% des n'importe-quoi aussi, d'ailleurs.Stéphane a écrit : Les Américains sont des ignares (comme la plupart des Français qui ne savent sûrement pas qui est Pandore d'ailleurs).

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Désolé Georges, je n'ai pas lu Programme conscience. Du coup, je ne vois pas de quoi tu parles.bormandg a écrit :Je répète mon opinion, Stef: les américains ne se réfèrent pas au mythe de Pandore; en tout cas Nef ne connaissait que les mythes chrétiens, alors....
Mais m'étonnerait que les Américains connaissent mieux un des romans les moins connues de Herbert qu'un mythe grec. Mais je me trompe peut-être encore.
- bormandg
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Je ne prétends pas que Cameron ait pris une référence dans les romans de Herbert; après tout, la Pandora de Herbert et Ransom est une planète liquide, et je ne crois pas que les varechs de cette Pandora aient leurs équivalents dans Avatar. Le seul point est que, pas plus que Herbert, je ne vois pas pourquoi Cameron aurait été gêné par la référence au mythe de la boîte de Pandore. Je pense que la sonorité du nom lui a plus importé que la référence qu'il n'avait pas. Mais peut-être n'est ce pas le cas.Stéphane a écrit :Désolé Georges, je n'ai pas lu Programme conscience. Du coup, je ne vois pas de quoi tu parles.bormandg a écrit :Je répète mon opinion, Stef: les américains ne se réfèrent pas au mythe de Pandore; en tout cas Nef ne connaissait que les mythes chrétiens, alors....
Mais m'étonnerait que les Américains connaissent mieux un des romans les moins connues de Herbert qu'un mythe grec. Mais je me trompe peut-être encore.
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