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Vu hier, c'est moins mauvais que ce à quoi je m'attendais.

mais encore ?

rmd a écrit :Vu hier, c'est moins mauvais que ce à quoi je m'attendais.

C'est un peu un truisme, ça. Un peu plus de précision?
Surtout, rassure nous: toute cette saleté d'humanité crève à la fin, notamment les gosses?
Oncle Joe

Lensman a écrit :C'est un peu un truisme, ça. Un peu plus de précision?
Surtout, rassure nous: toute cette saleté d'humanité crève à la fin, notamment les gosses?
Oncle Joe

Et les chiens ? Est-ce que les chiens crèvent enfin ?

Ahah, je savais que ça intéresserait quelques pervers.

Malheureusement, quelques enfants survivent, ainsi que la reine d'angleterre. Mais on voit plein de chretiens se faire écraser par le dôme de la basilique saint-pierre, ça compense.


C'est un peu trop long, évidemment manichéen, un symbolisme religieux simpliste (des arches avec l'embarquement des animaux, le méchant qui se sacrifie à la fin), mais moins chargé de pathos que la moyenne des films du genre: on n'a même pas le droit au couplet patriotique et au drapeau américain, les scènes larmoyantes sont plutôt courtes.

C'est évidemment très réussi visuellement, on arrive à un niveau de précision dans les détails assez bluffant: lorsque l'un des immeuble s'écroule, on voit le mobilier de chaque bureau bouger.

Signe des temps (?) : le président américain est noir, on ne voit pas le président francais.

on ne voit pas le président francais

Même pas sous le dôme de Snt Pierre ?

rmd a écrit :Signe des temps (?) : le président américain est noir, on ne voit pas le président francais.

On ne voit jamais le président français, sauf dans Mars Attacks.
Et un président noir, il y en a déjà eu. Notamment dans un autre film catastroph(iqu)e, Deep Impact (Morgan Freeman, en l'occurrence).

rmd a écrit : Signe des temps (?) : , on ne voit pas le président francais.

Le principe du plan américain c'est de cadrer en prenant le milieu des cuisses comme bas de l'écran.
Tout ce qui est en dessous du milieu des cuisses d'O'Bama ne peut pas se voir à l'écran => D'où l'invisibilité du président français.


PS : Toi, toi, tu vas avoir des gros problèmes, toi !

Vu aussi.
D'accord avec rmd pour le visuel bluffant.
Et je suis tout aussi enthousiaste que lui mais pas pour les mêmes raisons. C'est plutôt le côté comique qui m'a marqué. Même pas eu besoin de noter les quelques répliques qui deviendront très certainement cultes, elles sont gravées à jamais dans ma mémoire.
Mozinor va se régaler.

Lisore a écrit :

rmd a écrit :Signe des temps (?) : le président américain est noir, on ne voit pas le président francais.

On ne voit jamais le président français, sauf dans Mars Attacks.
Et un président noir, il y en a déjà eu. Notamment dans un autre film catastroph(iqu)e, Deep Impact (Morgan Freeman, en l'occurrence).

Ah on le voit aussi dans "The Monster X Attacks the G8 Summit" (oui apparemment c'est un vrai film)
voir : http://www.nanarland.com/play_video.php?vid=222

un président noir on en voit un aussi dans le 5eme élément aussi

Petit spoiler. Je n'ai pas vu le film, mais j'ai ouïe dire qu'il serait suivi d'une possible série tv titrée 2013, autour des survivants. Ce n'est donc pas une vraie fin du monde s'il y a des survivants ; boulot fait à moitié, bâclé une fois encore.

On ne voit pas le président ? Mais, est-ce que l'on a droit au discours du président, comme dans ID4 ?

Vinze a écrit :

Lisore a écrit :

rmd a écrit :Signe des temps (?) : le président américain est noir, on ne voit pas le président francais.

On ne voit jamais le président français, sauf dans Mars Attacks.
Et un président noir, il y en a déjà eu. Notamment dans un autre film catastroph(iqu)e, Deep Impact (Morgan Freeman, en l'occurrence).

Ah on le voit aussi dans "The Monster X Attacks the G8 Summit" (oui apparemment c'est un vrai film)
voir : http://www.nanarland.com/play_video.php?vid=222

Tu m'as devancé.

Oui, tout le début est assez spectaculaire sur grand écran, visuellement très impressionnant même si bon, au bout du troisième avion qui décolle en catastrophe d'un aéroport qui s'écroule, on a compris, quoi. Après, la deuxième partie, où sont regroupées toutes les scènes sentimentales/patriotiques/psychologiques est tout à fait navrante, comme toujours chez Emmerich, du coup c'est un peu long


(PS SPOILER : Y'a que moi ça a a choqué que tous les survivants applaudissent l'écrivain à la fin du film, alors que bon il a juste réparé le bazar qu'il a fichu et qu'il a probablement tué des miliers de personnes avec ses conneries ?)