Ce sous-ensemble existe déjà : http://homosf.free.fr/Lensman a écrit : Vivement uns solide étude génétique sur l'utilité et la pérennité de l'ultra-minorité SF dans l'espèce humaine! (et comble du raffinement, on pourrait étudier à part le sous-ensemble "homosexuel(le)s amateurs de SF").
Oncle Joe
News16:homosexualité, génétique et survie des espèces
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Définition du ministère de la santé : "L’épidémiologie est l’étude de la distribution des maladies chez l’homme et des facteurs qui les influencent."crazy guide a écrit :Si je peux me permettre Bull je crois que ce qui gène MF c'est le mot "épidémiologique", et rien d'autre.
Il fait l'association épidémie = maladie (comme le fond 99% des gens) ce qui l'amène à être en désaccord avec l'usage de ce terme dans ce contexte.
ou plus naturellement "Branche de la médecine qui étudie les divers facteurs conditionnant l'apparition, la fréquence, le mode de diffusion et l'évolution des maladies affectant des groupes d'individus."
Si tu préfères celle du ministère de l'écologie, tu peux prendre ou encore "Etude épidémiologique : étude visant à évaluer la distribution des maladies et des facteurs qui y contribuent sur les populations humaines (exposition, etc.)". J'en vends.
Ce que j'essaye de faire comprendre à Bull qui des US a du perdre le contexte franco-fraçais, c'est que, dès que tu affectes de l'adjectif "épidémiologique" le substantif "études", et que tu parles d'"étude épidémiologique", 99,99 % des lecteurs considéreront, à raison, que l'on se place dans le contexte de la santé et/ou de la médecine.
Et donc que l'homosexualité est une maladie.
Les 0,01% restants sont dans le microcosme de la recherche.
je suis la seule à avoir ricané pour cet intérêt pour l'homosexualité uniquement quand elle est masculine ?Une constante qui ne cesse de surprendre les biologistes s'intéressant à l'évolution, est la persistance de l'homosexualité, notamment masculine, aux travers les âges, les civilisations et mêmes les espèces animales.
(non que je m'en plaigne, hein. Pour une fois qu'on nous fout la paix).
Et, à ce propos, Bull, est-ce qu'on sait pourquoi cette constante ne cesse de surprendre les scientifiques ?Salomé a écrit :je suis la seule à avoir ricané pour cet intérêt pour l'homosexualité uniquement quand elle est masculine ?Une constante qui ne cesse de surprendre les biologistes s'intéressant à l'évolution, est la persistance de l'homosexualité, notamment masculine, aux travers les âges, les civilisations et mêmes les espèces animales.
(non que je m'en plaigne, hein. Pour une fois qu'on nous fout la paix).
Je ricane aussi,Salomé a écrit :je suis la seule à avoir ricané pour cet intérêt pour l'homosexualité uniquement quand elle est masculine ?Une constante qui ne cesse de surprendre les biologistes s'intéressant à l'évolution, est la persistance de l'homosexualité, notamment masculine, aux travers les âges, les civilisations et mêmes les espèces animales.
(non que je m'en plaigne, hein. Pour une fois qu'on nous fout la paix).
mais hélas j'ai peur que ça tienne simplement au fait que les attirances et le consentement des femelles sont accessoires pour l'immense majorité des hommes à travers les siècles.
Comment, d'un sujet parti sur des hypothèses scientifiques, a-t-on pu descendre jusqu'ici ? Parce que, sauf erreur de ma part, nous avons là un... sondage. M'est avis qu'on pourrait être un peu moins catégorique, cher Transhumain, quand on s'appuie sur ce que des personnes interrogées disent avoir fait ou pas (qui, d'après moi, peut tout aussi bien se trouver à l'opposé de ce qu'elles ont réellement fait).Transhumain a écrit : N'importe quoi. Selon la récente grande enquête sur la sexualité des Français, seulement 4% des hommes et des femmes de 18 à 69 ans interrogés disent avoir eu au moins une relation homosexuelle au cours de leur vie (source : http://www.science.gouv.fr/index.php?qc ... ives,159,4,,,,). Et seulement 1% des femmes et 1,6% des hommes interrogés ont eu une relation homosexuelle au cours des 12 derniers mois. Faut arrêter de fantasmer.
L'homosexualité n'est pas sale non plus, que je sache. J'ai cru comprendre qu'elle était même considérée comme "normale" à certaines époques reculées. Qu'on ait décidé de la marginaliser pour diverses raisons (religieuses et militaires entre autres) fait déjà grincer des dents. Que des biologistes soient surpris par sa persistance est inquiétant. Dommage que tu n'aies pas la réponse au sujet de cette surprise, Bull (j'entrave que dalle à l'anglais, donc ne me donnes pas de pistes pour m'auto-renseigner... ).Transhumain a écrit :Euh, en France, la population est majoritairement blanche. Et dans le monde, comme en France, elle est majoritairement hétérosexuelle. Ce n'est pas sale, tu sais.
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Une enquête, oui. Mais ce sont les seules infos à notre disposition qui soient à peu près fraîches. En revanche, nous ignorons d'où viennent les 10% de Sand, qui a pourtant prétendu avoir des chiffres.Aldaran a écrit : Comment, d'un sujet parti sur des hypothèses scientifiques, a-t-on pu descendre jusqu'ici ? Parce que, sauf erreur de ma part, nous avons là un... sondage. M'est avis qu'on pourrait être un peu moins catégorique, cher Transhumain, quand on s'appuie sur ce que des personnes interrogées disent avoir fait ou pas (qui, d'après moi, peut tout aussi bien se trouver à l'opposé de ce qu'elles ont réellement fait).
Merci Aldaran, tu m'as ouvert les yeux !Aldaran a écrit :L'homosexualité n'est pas sale non plus, que je sache.
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C'est surprenant d'un point de vu biologique parce que l'homosexualité ne facilite pas la reproduction et donc la pérennité du ou des gênes concernés (si facteur génétique il y a).Aldaran a écrit :Que des biologistes soient surpris par sa persistance est inquiétant.
Je ne vois pas en quoi c'est inquiétant comme position.
Ce que je trouve surprenant, c'est que vous avez l'air de penser que la sexualité humaine a pour unique but la reproduction, et ne peut s'expliquer que par la reproduction.C'est surprenant d'un point de vu biologique parce que l'homosexualité ne facilite pas la reproduction et donc la pérennité du ou des gênes concernés (si facteur génétique il y a).
Il me semble à moi que reproduction et sexualité sont deux choses bien distinctes.
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C'est vrai. D'ailleurs tu es sûrement née dans un chou.Salomé a écrit : Ce que je trouve surprenant, c'est que vous avez l'air de penser que la sexualité humaine a pour unique but la reproduction, et ne peut s'expliquer que par la reproduction. Il me semble à moi que reproduction et sexualité sont deux choses bien distinctes.