Absolument pas.Bull a écrit :Euh, là tu te mets HS sur ton propore message.
Où vois-tu un jeu de mots ?Bull a écrit :Je récapitule :
Etape 5 :
Jeux de mot sur : le comment ces individus auraient resisté aux bactéries commensales initialement pathogènes.
Je ne suis JAMAIS sorti du sujet, c'est toi qui es parti au quart de tour sur le mot "épidémie".Bull a écrit :Avec un argumentaire tout à fait juste, mais n'ayant aucun rapport avec la "controverse" initiale : les flores commensale initialement pathogènes ou pas :
C'est à toi qu'il faut poser la question.Bull a écrit :-Eons : En cas d'épidémies, pas de mutation des humains, mais sélection des résistants.
Ben oui. Evidemment.
Si tu veux parler du Choléra, par exemple, c'est le plus bel exemple historique connu.
Des centaines de milliers de morts par deshydratation. Des millions et des millions même.
Ceux qui survivent ?
Ben les "chanceux" qui ont des sécretions un peu épaissies. Des muqueuses visqueuses, quoi.
Puis, après les épidémies, ces chanceux se multiplient et repeuplent la France.
Ces "chanceux", ce sont les "mucoviscidoses hétérozygotes", ce qui explique qu'environ un français sur 20 (ce qui est une prévalence GIGANTESQUE) soit hétérozygote alors que la forme homozygote ne donne généralement pas d'enfants.
Donc oui, les grandes épidémies avec des pathogènes+++, cela a existé, tué beaucoup de monde, et amener à une certaine sélection naturelle.
Mais pourquoi parler de ces épidémies ?
Nous sommes d'accord, il n'y a d'ailleurs que toi qui en aies parlé.Bull a écrit :Volonté de noyer le poisson ?
J'espère vraiment que non.
Le sujet était flore commensale, pathogène à l'origine ?
Vibrio cholerae n'est pas devenu un commensal de l'homme. Même pas des patients atteint de mucoviscidose.
Et tu reviens à ton affirmation initiale sans avoir apporté le moindre élément allant dans ce sens, tu t'es borné à essayer de noyer le poisson en dérivant et en m'accusant de la dérive.Bull a écrit :Non, toujours pas, nos bactéries commensales ne sont des pas bactéries initialement pathogènes auxquelles nous nous serions adaptés. Que ce soit par mutation ou sélection naturelle (hypothèse défendu par ce cher Eons).
Et avant d'écrire cette dernière phrase, tu aurais surtout dû TE relire.Bull a écrit :Eons, c'est plutôt toi qui aurais dû relire ce que j'avais écrit...
Je résume donc :
1) des humains ont été contaminés (que ce soit par épidémie, simple contact, etc.) par des bactéries pathogènes.
2) une partie de la population a résisté, et a donc transmis ses gènes de résistance à sa descendance.
3) ces bactéries, donc non pathogènes pour les individus résistants, peuvent présenter des avantages pour ceux-ci, contribuant encore à renforcer leur descendance au détriment des autres.
4) la population héberge désormais ces bactéries en permanence et profite desdits avantages.
5) Si ces bactéries permettent, par exemple, de mieux digérer telle ou telle plante, ce sont désormais des bactéries commensales.