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Laurent Genefort

Posté : lun. janv. 30, 2012 9:51 am
par jerome
On a demandé à Laurent de nous parler de son actualité :

Pour les projets en tant qu'auteur:
- la traduction "Les Premiers-Nés" (L'Odyssée du temps-3) de Clarke-Baxter sortira en avril prochain chez Bragelonne
- le roman de fiction spéculative "Points chauds" sortira en mai au Bélial'.
- le guide de poche "Aliens, mode d'emploi" sortira en mai au Bélial'
- l'intégrale d'Omale (2 volumes) sortira en fin d'année chez Denoël 'Lunes d'encre'. Je compte ensuite écrire un roman inédit qui se déroulera en Aire hodgqine.
- la réédition du roman "Les Peaux-épaisses" sortira en fin d'année chez Critic.
- Je compte également reprendre un livre de fiction spéculative commencé il y a quelques années, "Le Parc humain".


Dédicace/Salon/conférence :
11 février : Zone franche à Bagneux
12 mai : Les Futuriales à Aulnay sous bois.

Plus d'info : www.omale.fr

Posté : ven. juin 12, 2015 10:53 am
par alephaleph
Laurent Genefort sera en dédicace le vendredi 12 juin à 18h00 à la librairie à La dimension fantastique 106 rue La Fayette, 75010 Paris pour la sortie de son
nouveau roman Lum’en, publié au Bélial.

Posté : ven. févr. 10, 2017 9:40 am
par jerome
Alors que Laurent a une double activité avec Spire et Etoiles sans issue, il est en interview sur Actualitté.


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Posté : jeu. janv. 11, 2018 11:29 am
par alephaleph
La suite de Spire et la réédition des Chasseurs de sève, aux éditions Critic et une novella pour le Bélial’ pour Laurent Genefort .

Posté : dim. juil. 01, 2018 8:37 pm
par jerome
Laurent Genefort en interview sur wefuzz...
À mon sens, c’est l’un des thèmes les plus importants, les plus centraux de la science-fiction, et en même temps le plus difficile à traiter. Il y a trois types d’« autres » : le mutant/post-humain (l’autre issu de notre évolution), l’IA (l’autre issu de notre technologie), et l’alien. L’altérité de ce dernier est par essence plus irréductible. Pour moi, la science-fiction n’est jamais aussi bonne, aussi « science-fictionnelle », que lorsqu’elle traite de l’altérité, car l’humain n’est alors pas traité en lui-même mais par rapport à l’Autre – et à son environnement en général. La SF est une littérature du décentrement. L’alien, comme l’IA ou le mutant, permet de décentrer l’humain. C’est une démarche presque galiléenne.