Gibson
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- Eric
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Gibson
Bon, là si c'est pas de la référence incontournable...
Attention, je ne dis pas que tout Gibson est bon, mais qu'il fait partie de ces rares écrivains (avec Moorcock ou Ellison par exemple) à avoir fait faire un saut quantique au genre. il n'était certes pas seul, et Sterling y est au moins pour autant (je pense même qu'il est plus important dans le sens où c'est lui qui a impulsé la machine cyberpunk) mais c'est Gibson avec Neuromancien qui personnifie le mieux ce qui reste la dernière vraie poussée de croissance de la SF.
Il s'est un peu égaré après, mais Identification des Schémas est selon moi aussi important que Neuromancien.
Attention, je ne dis pas que tout Gibson est bon, mais qu'il fait partie de ces rares écrivains (avec Moorcock ou Ellison par exemple) à avoir fait faire un saut quantique au genre. il n'était certes pas seul, et Sterling y est au moins pour autant (je pense même qu'il est plus important dans le sens où c'est lui qui a impulsé la machine cyberpunk) mais c'est Gibson avec Neuromancien qui personnifie le mieux ce qui reste la dernière vraie poussée de croissance de la SF.
Il s'est un peu égaré après, mais Identification des Schémas est selon moi aussi important que Neuromancien.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
- blodhorn
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comme le nez au milieu de la figure
Gibson c'est du culte en barre avec les autres auteurs précédement cités. Sans que ce soit là un critère recevable, l'influence de son écriture sur les scénarios de nanar hollywoodien atteste de son importance (un peu comme K Dick)
S'il n'a pas lancé le cyberpunk ni n'en écrit le plus jusquau-boutiste des bouquins, il a le mérite d'en avoir écrit le bouquin de référence.
Respect pour monsieur Gibson donc
Gibson c'est du culte en barre avec les autres auteurs précédement cités. Sans que ce soit là un critère recevable, l'influence de son écriture sur les scénarios de nanar hollywoodien atteste de son importance (un peu comme K Dick)
S'il n'a pas lancé le cyberpunk ni n'en écrit le plus jusquau-boutiste des bouquins, il a le mérite d'en avoir écrit le bouquin de référence.
Respect pour monsieur Gibson donc
A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire
Pour l'instant je vais attendre d'en avoir lu un peu plus de sa plume pour me prononcer. Je n'ai que "Neuromancien" à mon tableau de chasse et si j'ai trouvé le livre pas mal du tout (après tout de même un début un peu pénible qui m'a fait craindre le pire) je ne peux pas dire que ce fut transcendant non plus.
En même temps lire "Neuromancien" cinq ans après avoir avalé "Le samourai virtuel" de Stephenson y a forcément comme une impression de régression.
En même temps lire "Neuromancien" cinq ans après avoir avalé "Le samourai virtuel" de Stephenson y a forcément comme une impression de régression.
- Eric
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Neuromancien a tracé la voie vers le cyberpunk dans l'imaginaire des lecteurs, et surtout des écrivains. Tout comme les Watchmen ont irrémédiablement changés la vision des super-héros, Neuromancien à fait franchir à la SF une ligne de non retour.
Après, il n'est plus décemment possible de se satisfaire d'une science fiction simpliste. Après le cyberpunk, il ne devrait par exemple plus être possible de réussir à faire publier un bouquin comme la saga des Traquemort.
Mais, hélas, il se trouve que c'est quand-même le cas.
Après, il n'est plus décemment possible de se satisfaire d'une science fiction simpliste. Après le cyberpunk, il ne devrait par exemple plus être possible de réussir à faire publier un bouquin comme la saga des Traquemort.
Mais, hélas, il se trouve que c'est quand-même le cas.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
- Eric
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Le cyberpunk a fait faire à la SF le même genre de saut quantique que la New Wave avait fait faire par rapport à l'Âge d'Or.
Des problématiques plus adultes, thématiques engagées, style plus mature. Et après des romans aussi bêbêtes que Traquemort ou le Dieu Nu, ressemblent maintenant à des anachronismes un peu embarrassants.
Mais ce n'est que mon avis.
Des problématiques plus adultes, thématiques engagées, style plus mature. Et après des romans aussi bêbêtes que Traquemort ou le Dieu Nu, ressemblent maintenant à des anachronismes un peu embarrassants.
Mais ce n'est que mon avis.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.