Combien rapporte un premier roman de SF à son auteur ?
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- Don Lorenjy
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Naon, c'est normal : il dit qu'on fait comme on veut, et on n'est pas habitués...Le_navire a écrit :Est-ce bien normal qu'en tant qu'éditeur, je pige pas la moitié du discours de notre ami IFF ?
Peut être que je devrais me reconvertir dans le cochon à truffes.
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- crazy guide
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moi il me rappelle quelqu'un et ça me rend méfiantecrazy guide a écrit :Je ne suis pas éditeur, et moi il me fait peur notre ami IFF (sans doute une trop bonne orthographe pour être honnete)Le_navire a écrit :Est-ce bien normal qu'en tant qu'éditeur, je pige pas la moitié du discours de notre ami IFF ?
Peut être que je devrais me reconvertir dans le cochon à truffes.
- Roland C. Wagner
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dracosolis a écrit :moi il me rappelle quelqu'un et ça me rend méfiantecrazy guide a écrit :Je ne suis pas éditeur, et moi il me fait peur notre ami IFF (sans doute une trop bonne orthographe pour être honnete)Le_navire a écrit :Est-ce bien normal qu'en tant qu'éditeur, je pige pas la moitié du discours de notre ami IFF ?
Peut être que je devrais me reconvertir dans le cochon à truffes.
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Oh, je ne vois pas du tout de qui vous voulez parler.
L'affaire Herbefol
Au sommaire : La pointe d'argent de Cook, Black Man de Morgan, Navigator de Baxter, Cheval de Troie de Wells & The Labyrinth Index de Stross.
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Re: Combien rapporte un premier roman de SF à son auteur ?
Désolé de ne pas avoir vu le sujet avant.IFF a écrit :Let's talk money, honey!
Par exemple, combien me versera (par l'intermédiaire de son comptable) :
- Gilles Dumay ?
C'est une question plus compliquée qu'il n'y paraît.
Pour un premier roman francophone j'offre entre 1500 et 8000 euros, ça dépend du projet, de la collection où le livre va paraître, du tirage, du prix du vente, etc.
Cela dit, je ne vais pas donner les à-valoir des auteurs Denoël sans leur accord ; s'ils veulent intervenir, libre à eux.
GD
PS : J'ai déjà fait au moins deux offres à plus de 15 000 euros sur des premiers romans, mais étrangers.
Merci à Gilles Dumay pour ses réponses.
Un article (déjà posté ?) de l'Express intitulé "Ce que gagnent les écrivains".
NB : le continuum SFFF n'est pas évoqué, excepté la milliardaire Rowling (et Houellebecq... ah non, lui c'est un maudit mundane).
Diagnostic d'un jeune éditeur qui monte, agacé par cette omerta : "Le cinéma et la musique s'assument comme industrie. L'édition, elle, se vit comme un pan de la culture, avec un grand C. Dans ce monde-là, parler d'argent, c'est sale."
Je ne sais pas qui est ce jeune éditeur, mais c'est bien envoyé, même si déjà su.
Le versant financier du livre reste fort brumeux, déjà en raison de l'idiosyncrasie relevée par le "jeune éditeur" — dans ce milieu "parler d'argent, c'est sale" ; ensuite à cause des pratiques boutiquières et cachotières de certains éditeurs (l'édition est un commerce, certes, et même l'éditeur ne connaît pas forcément l'état exact des stocks, les comptes en temps réel, certes itou, mais... ) ; enfin parce que l'écrivain lui-même trouve que c'est sale, etc. ou qu'il a peur du fisc ou qu'il n'a pas envie d'en parler (c'est son droit).
Il nous faudrait le journal auto-fictionnel d'un auteur science-fictif. Ou les mémoires d'un vénérable éditeur du milieu.
Un article (déjà posté ?) de l'Express intitulé "Ce que gagnent les écrivains".
NB : le continuum SFFF n'est pas évoqué, excepté la milliardaire Rowling (et Houellebecq... ah non, lui c'est un maudit mundane).
Diagnostic d'un jeune éditeur qui monte, agacé par cette omerta : "Le cinéma et la musique s'assument comme industrie. L'édition, elle, se vit comme un pan de la culture, avec un grand C. Dans ce monde-là, parler d'argent, c'est sale."
Je ne sais pas qui est ce jeune éditeur, mais c'est bien envoyé, même si déjà su.
Le versant financier du livre reste fort brumeux, déjà en raison de l'idiosyncrasie relevée par le "jeune éditeur" — dans ce milieu "parler d'argent, c'est sale" ; ensuite à cause des pratiques boutiquières et cachotières de certains éditeurs (l'édition est un commerce, certes, et même l'éditeur ne connaît pas forcément l'état exact des stocks, les comptes en temps réel, certes itou, mais... ) ; enfin parce que l'écrivain lui-même trouve que c'est sale, etc. ou qu'il a peur du fisc ou qu'il n'a pas envie d'en parler (c'est son droit).
Il nous faudrait le journal auto-fictionnel d'un auteur science-fictif. Ou les mémoires d'un vénérable éditeur du milieu.
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